Apprendre La Comptabilité Tunisienne

inspirèrent un billet caustique dans le The Times Higher Education Supplement du 25 Mars 1994. Notre réorientation vers les Sciences de Gestion, plus pragmatiques, et vers l‟Entrepreneuriat en particulier relève de la même dynamique critique. Autant apprendre à pécher à celui qui a faim plutôt que de chercher à lui donner un poisson… 21 économistes néo-sraffaiens et néo-marxiens alors qu‟elle permettait d‟éclairer « le problème de la transformation ». Cette préoccupation combinée pour une approche

marche, encourant une ‘perte acceptable’ dans la foulée. Vraiment, consacrer quelques mois à un projet entrepreneurial, est-ce si risqué que cela? 10 Il en existe, hélas, beaucoup d’autres. Voir l’ouvrage d’Alain Fayolle, Entrepreneuriat - Apprendre à entreprendre, 2ème édition, Dunod, 2012. 15 L’approche particulière du risque par les entrepreneurs est illustrée par une expérience réalisée par Saras Sarasvathy. En comparant cette approche avec celle de banquiers, une profession particulièrement

beau-père autant qu’il le faudra pour que la solidarité qui les lie devienne fait médiatique. La mauvaise nouvelle vient en effet de tomber : la justice reconnaît Boudou coupable de fraude fiscale, d’abus de biens sociaux et de tenue non régulière de comptabilité. Il aurait ainsi détourné quelque 8 millions de francs (environ 1,2 million d’euros) entre 1995 et 1998, mais pas seulement. À cette coquette somme sont aussi venus s’ajouter 370 000 euros retrouvés en espèces au domicile du prévenu, où les limiers

REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L’EDUCATION EXPLORONS ENSEMBLE L’ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE Manuel d’économie 3ème année de l’enseignement secondaire « Economie et Gestion » www.mastertunisie.com Elaborateurs Mounira Mahfoudh Kaouthar Bouraoui Raoudha Kooli Inspectrice principale Conseillère pédagogique Professeur formatrice Evaluateurs Ghazi Boulila Mohamed Trabelsi Universitaire Universitaire Centre National Pédagogique Photo de couverture : Vincent

1980 dans l'introduction du tome 1 de son fascicule de droit administratif général, il affirmait qu'un exposé de droit administratif sénégalais ne présentait aucun intérêt. Pour connaître le droit administratif sénégalais, disait-il, il fallait apprendre le droit administratif français. Très rapidement, un an après, il prit le contre-pied de cette position en étudiant et en commentant la jurisprudence de la Cour suprême de 1960 à 1981 «en elle-même » (Grandes décisions de la jurisprudence

française importante. D'autres communautés étrangères existèrent au même moment, italienne, grecque, israélite, etc. Toutes avaient en commun une « lingua franca » qui était le français. L'élite égyptienne, puis la classe moyenne, envoya ses enfants apprendre le français. Le code napoléonien servit de base aux institutions égyptiennes modernes. Jusqu'en 1956, année de la crise du canal de Suez, la langue française joua un rôle important en Égypte, y compris sous le protectorat britannique. Avec le

permettant de résoudre des exercices ! Malgré les difficultés, mon plaisir consiste à faire comprendre les mathématiques en partant d’exercices tirés de la réalité quotidienne. Ainsi au moment de l’introduction de l’euro j’en ai profité pour leur apprendre à traiter des fonctions ; de même j’essaie de montrer comment l’arithmétique conduit à la cryptographie et à la sécurité des cartes bancaires. Ce que j’aime dans cette discipline c’est son côté “carré”. Les mathématiques paraissent indépendantes

gouvernements échouent souvent à fournir les « basiques » au peuple, et où les initiatives privées notamment celles des IMF sont plus que les bienvenues. L’exemple de la microfinance au Maroc est une vraie success story de laquelle il faut s’inspirer et apprendre pour les autres pays arabes. Cependant, comme pour le cas du Maroc qui risque de connaître des changements majeurs dans l’organisation des IMF dans les années à venir, il ne faut pas non plus oublier de toujours remettre en question l’organisation

MarcelZARDONI ZARDONI Marcel Maître Aziz BENKIRANE Publicité Comptabilité Morad ZLOURHI Abdelaziz TOUHAM Direct : +212 22 54 47 23 Conception graphique m.zlourhi@foodmagazine.ma Samir AHCHOUCH Direct : +212 54 47 26 Mostafa BEN522 CHARFA s.ahchouch@foodmagazine.ma Direct : +212 22 54 47 24 Publicité m.bencharfa@foodmagazine.ma Mostafa BEN CHARFA Direct :Stagiaire +212 522 54 47 24 Kawtar SABIR m.bencharfa@foodmagazine.ma Ambre GOEPFERT Comptabilité Direct : +212 TOUHAM 522 54 47 23 Abdelaziz a.goepfert@foodmagazine

de tous les bonimenteurs de la pensée unique. Dans leurs discours, l’école est désignée comme étant la responsable de l’incapacité des jeunes à intégrer le monde du travail. Pêlemêle, ils l’accusent de transmettre des savoirs inutiles, de ne plus apprendre les savoirs fondamentaux, de cultiver l’indiscipline et la paresse, etc. Afin de contrer cette école et pour mieux plier les jeunes au marché de l’emploi, d’aucuns rêvent de « fabriquer » des hommes conformes aux besoins dictés par les intérêts de