Apports Et Limites De La Theorie Des Couts De Transaction

d’entreprises L’Etat et la politique industrielle Chap. 7 : intelligence économique, intelligence territoriale et EI D. Le système d’évaluation des cours Examen Travaux à réaliser Contrôles surprise Cours Chapitre 1 : Objet, méthodes et apports de l’EI Section 1 : Objet de l’EI I. Origine de l’EI L’EI est apparue avec la révolution industrielle c’est-à-dire à la fin du 19ème siècle, le développement de l’industrie a créé une nouvelle dynamique du système productif que les économistes

systèmes relève de champs disciplinaires multiples, nous retiendrons un cadre théorique économico-financier, reposant principalement sur les théories de l'agence1 et des coûts de transaction2, pour identifier les mécanismes composant le système de gouvernement et en proposer une typologie. 1.1. Le cadre théorique Le fondement commun aux différentes théories économico-financières du gouvernement de l'entreprise se situe dans le principe d'efficacité. Un système de gouvernement est d'autant plus efficace

|Théorie des Organisations | |Note de Cours & T.D | | | | | | | INTRODUCTION :

Interro 1 après dossier 5. Interro 2 lors de l’avant dernière séance, juste avant les vacances de printemps.. Références : L’Economie des organisations, Ménard ; L’Economie des coûts de transaction, Stéphane Saussier Dossier 1 : Le rôle des marchés Texte 2 du dossier 1 et texte 2 du dossier 2 Marché = détermination de prix conciliant les plans du vendeur et de l’acheteur, mais dans la réalité le marché n’assure pas forcément une coordination (c'est-à-dire la comptabilité des plans des agents

constituée comme discipline scientifique. À ce titre, il est naturel de s’orienter vers la littérature théorique financière pour chercher les grilles de lecture qui permettent, éventuellement, d’appréhender ce comportement. Une telle recherche si elle se limite, dans un premier temps, à la lecture des manuels de base de la discipline, conduira à un résultat relativement étrange. Si ces ouvrages proposent des outils censés permettre d’effectuer des choix d’investissement optimaux – l’optimum correspondant

Samy Jost La théorie des coûts de transaction de W illiamson et la surveillance des banques dans l’UE euryopa Institut européen de l’Université de Genève Le catalogue général des publications est disponible sur le site de l’Institut européen: www.unige.ch/ieug Publications euryopa Institut européen de l’Université de Genève 2, rue Jean-Daniel Colladon • CH-1204 Genève Télécopie/fax +41 22 –379 78 52 euryopa vol. 27-2004 ISBN 2-940174-28-8 ISSN 1421-6817 © Institut européen de l’Université

stratégique II- quelques applications organisationnelles : A- structure et organisation B- description de postes C- gestion des compétences Introduction générale : La théorie des organisations veut rassembler tout ce qui tend à une meilleure compréhension du phénomène de l’organisation. Le terme théorie est sans doute paradoxal pour un domaine où si peu est connu avec certitude qu’il n’existe même pas de définition communément acceptée de son objet. Le problème se complique du fait

limitée à la seule externalisation. Dans un premier temps, après avoir tenté de définir l’externalisation, nous présenterons les principales théories expliquant le choix de cette forme d’organisation. Dans un second temps, quatre études de cas fourniront des informations plus complètes sur cette pratique et sur les motivations de cette décision. I - LES THEORIES D’EXTERNALISATION EXPLICATIVES DE LA DECISION Le choix d’une organisation particulière doit permettre de répondre à la question

THEORIE DES COUTS DE TRANSACTION VERSUS THEORIE DES CONTRATS INCOMPLETS : QUELLES DIVERGENCES ? M’hand FARES Stéphane SAUSSIER A paraître dans Revue Française d’Economie, 2/3ième trimestre, 2001 "I do not think that bounded rationality is necessary for a theory of organization" Oliver D. HART [1990], page 700. "If some of the central and critical ideas in transaction-cost economics as formulated by Williamson have been captured, others, equally important, have been missed. In particular

holiste 2- définition : Un système est un ensemble d’element pouvant définir différents états, il se caracterise par la nature de ses éléments, sa structure et son comportements 3- les caractéristiques : Jean Louis Lemoigne : dans son ouvrage « théorie générale du système », il met en évidence une modélisation systémique. Il dit : Un système est, identifiable en le compartimentant, actifs par ses facteurs de production, regulé, de plus le système s’informe sus ses propres comportements, mais il