Apport Des Théories De La Firme Au Contrôle De Gestion

possibilités d’action ......................................................20 1. Le repérage des différentes possibilités d’action ..........................................................20 2. La définition d’une équation de développement de la firme ........................................20 3. La détermination de la cible de marketing....................................................................20 4. Le positionnement marketing ..........................................................

Quentin Jamrozik Gestion de production Université Panthéon Sorbonne UFR 06 Année : 2011-2012 Introduction I. Les systèmes pré-tayloristes A) L’artisanat 1. Définition 2. Le fonctionnement 3. Les limites 4. L’artisanat a-t-il disparu de nos jours

tendance a été favorisée ces dernières années par la libéralisation du commerce et des régimes d’investissement. L’IDE est une activité par laquelle un investisseur résidant dans un pays obtient un intérêt durable et une influence significative dans la gestion d’une entité résidant dans un autre pays. Cette opération peut consister à créer une entreprise entièrement nouvelle (investissement de création) ou, plus généralement, à modifier le statut de propriété des entreprises existantes (par le biais de

limitée à la seule externalisation. Dans un premier temps, après avoir tenté de définir l’externalisation, nous présenterons les principales théories expliquant le choix de cette forme d’organisation. Dans un second temps, quatre études de cas fourniront des informations plus complètes sur cette pratique et sur les motivations de cette décision. I - LES THEORIES D’EXTERNALISATION EXPLICATIVES DE LA DECISION Le choix d’une organisation particulière doit permettre de répondre à la question

une économie et le reste du monde. On recense trois types de flux de biens, de services et de capitaux. A- Elaboration de la balance des paiements Elle enregistre les échanges d’un pays avec l’extérieur : les flux entrants et sortants. Elle apporte des explications sur les variables économiques et financière fondamentales : l’importance de l’inflation apportée, le degré de compétitivité, permet d’anticiper les évolutions des taux de changes. Elle permet aux opérateurs de marché de connaître

2. Rôle et place de l’entrepreneur dans la théorie économique A.L'entrepreneur, acteur économique a. Cantillon et Say b. Le retour de l'incertitude c. Entrepreneur et transparence du marché d. L'entrepreneur bouscule la théorie libérale B. L'entrepreneur, prisonnier de la dynamique de l'accumulation a. K.Marx b. Schumpeter II. L’entreprise en théories 1. L’entreprise comme unité de production. A. La firme comme une boite noire B. La firme-acteur de l'économie industrielle C. Les approches

évoluent selon un enveloppement perpétuel des écoles et des théories les unes par les autres. Chaque mouvement se développe en réaction contre celui qui le précède. D’un point de vue historique, les différentes approches de l’organisation se sont développées à partir de la seconde révolution industrielle. Avant cette date, le mode de production était artisanal. Il n’était pas question en ce temps ni d’organisation ni de théories. Et qu’au fur et à mesure que la vie économique évoluait, les

École doctorale : Sciences économique et de gestion Les effets de la multibancarisation sur le financement des PME par les banques. par Ayman BADREDDINE thèse de doctorat en Sciences de gestion sous la direction de Fabrice ROTH Présentée et soutenue publiquement le 12 Mai 2011 Membres du jury : Michel HADDAD, Professeur, Université Saint-Joseph de Beyrouth (Liban) Jacques LIOUVILLE, Professeur, Université de Strasbourg Fabrice ROTH, Professeur, Université Jean Moulin Lyon 3 Alain

divisions doivent être autonomes et jugées d’après la rentabilité du capital investi d’où l’instauration des méthodes de reporting (dans ces divisions, il y a uniformisation des méthodes de gestion, des méthodes de calcul des coûts, des budgets et des centres de profit). Certaines fonctions et certains contrôles doivent être centralisés (finances, publicité…). La Direction générale ne doit pas s’occuper de l’exploitation mais de la politique générale. L’organigramme doit prévoir des passerelles

Chapitre 2 Concurrence et efficacité : notions économiques 1 Section 1 Introduction : Une ou plusieurs notions de concurrence 1 Section 2 La concurrence comme un « état » du marché 1 Sous-section 1 Marché, équilibre et optimum 1 Sous-section 2 La théorie pur du monopole 2 Sous-section 3 Les conditions de la concurrence sont elles nécessaires et/ou suffisantes 6 Paragraphe 1 Position du problème 6 Section 3 Monopole, imitation et concurrence 7 Chapitre 3 La concurrence comme « norme » : fondements