Appétit

Maxime Du Camp I Pour l’enfant, amoureux de cartes et d’estampes, L’univers est égal à son vaste appétit. Ah ! que le monde est grand à la clarté des lampes ! Aux yeux du souvenir que le monde est petit ! Un matin nous partons, le cerveau plein de flamme, Le cœur gros de rancune et de désirs amers, Et nous allons, suivant le rythme de la lame, Berçant notre infini sur le fini des mers : Les uns, joyeux de fuir une patrie infâme ; D’autres, l’horreur de leurs berceaux, et quelques-uns,

Il se mettait à table et, pour se mettre en appétit, il commençait son repas par quelques douzaines de jambons, de langues de bœuf fumé, d'œufs de poisson, d'andouilles et par d'autres mets salés qui aiguisent la soif. Pendant ce temps, quatre de ses gens lui jetaient dans la bouche l'un après l'autre, et continuellement, de pleines pelletées de moutarde. Rabelais, Gargantua, 1534. C'est le roi Midas, raconte-t-on, qui avait caché ses oreilles d'âne dans un bonnet, mais ce secret avait été

les portions sont particulièrement copieuses. Les autres pourront choisir les yeux fermés dans notre menu sans risque de se tromper. La carte des desserts réjouira certainement les plus gourmands. Le staff du restaurant d’Agadir vous souhaite bon appétit. Lundi 1er Juin 2005 Menu gastronomique du jour, De quoi satisfaire les affamés ! Pâté de thon au melon Bouillabaisse à votre discrétion Grande coupe de fruits au genièvre 150,00 DH Entrées : Soupe chinoise avec les fruits de mer 47,00

les filles s’inquiétèrent  mais elles rentrèrent quand même. La sorcière murmura : «vous voulez de la soupe ? » .Les filles répondirent « Humm… Oui !! ».La sorcière leur servit un petit bol pour chacune d’elles, puis la sorcière ajouta : «  bonne appétit !! ». Les filles burent la soupe et chuchotèrent : «  elle n’est pas vraiment très bonne… ». Par la suite, un dé fille se plaignit de maux de ventre. Puis les autres se plaignirent de maux de gorge, de mal de tête .... La sorcière répéta : « venait

marquis et le commandant eux-mêmes, lui parurent des animaux curieux qu’il n’avait pas eu jusque-là l’occasion d’étudier. Il regarda avec l’intérêt d’un naturaliste leurs masques figés dans une grimace, où il retrouvait leurs occupations et leurs appétits ; il écouta leurs bavardages vides, comme il aurait cherché à surprendre le sens du miaulement d’un chat ou de l’aboiement d’un chien. À cette époque, il s’occupait beaucoup d’histoire naturelle comparée, ramenant à la race humaine les observations

{draw:frame} {text:soft-page-break} _L__e Masque_ {draw:frame} {text:soft-page-break} Bohémiens en voyage La tribu prophétique aux prunelles ardentes Hier s'est mise en route, emportant ses petits Sur son dos, ou livrant à leurs fiers appétits Le trésor toujours prêt des mamelles pendantes. Les hommes vont à pied sous leurs armes luisantes Le long des chariots où les leurs sont blottis, Promenant sur le ciel des yeux appesantis Par le morne regret des chimères absentes.

dis-je, en son char remontait, Un misérable Coq à point nommé chantait. Aussitôt notre Vieille encor plus misérable S'affublait d'un jupon crasseux et détestable, Allumait une lampe, et courait droit au lit Où de tout leur pouvoir, de tout leur appétit, Dormaient les deux pauvres Servantes. L'une entr'ouvrait un oeil, l'autre étendait un bras ; Et toutes deux, très malcontentes, Disaient entre leurs dents : Maudit Coq, tu mourras. Comme elles l'avaient dit, la bête fut grippée. Le réveille-matin

Car les comportements humains évoluent nécessairement en parallèle avec les progrès des sciences, qui ouvre et transforme l’esprit. Ce sont les étapes successives de la science qui guident la société et l’humanité. La religion n’échappe pas aux appétits de la science, et comme dit le Traité de Sociologie, la sociologie, doit « instituer la religion de l’humanité ». Et Comte de se mettre en peine d’imaginer et de réglementer cette nouvelle religion, avec ses rites, ses textes, ses cérémonies, sa

déclaration, ne fit pas exception, et sans pitié, mangea tout cru la pauvre brebis. La chèvre, plus maline que les autres, déclara: - Tu as dévoré ces deux innocentes, mais tu ne pourrai me manger, je ne suis pas a ton gout. Je sais que tu as fort appétit, et c'est pourquoi je vais t'aider: j'ai piégé de l'autre coté de la colline ce matin deux énormes cerfs, que je comptait manger seule, mais étant donner les circonstances, je te les offre. Je serai là à ton retour et je t'indiquerai d'autres pièges

cœur faux, corrompu, ingrat. - Si j’avais de l’esprit, reprit la Bête, je vous ferais un grand compliment pour vous remercier, mais je suis stupide, et tout ce que je puis vous dire, c’est que je vous suis bien obligé. La belle soupa de bon appétit. Elle n’avait presque plus peur du monstre ; mais elle manqua mourir de frayeur, lorsqu’il lui dit : « La Belle, voulez-vous être ma femme ? » Elle fut quelques temps sans répondre : elle avait peur d’exciter la colère du monstre en le refusant ;