Apparition Maupassant Registres Dominants

à la rime ; le vers chute sur une rime féminine très riche (reprise inversée des sons des rimes masculines antérieures) et en totale opposition sémantique avec le reste du poème, au moment où la 1ère personne, enfin, apparaît. C'est la première apparition d'un mot subjectif à la rime. L'infléchissement de la rigueur est audible mais reste discret : la tristesse n'est pas de l'âme; elle s'affiche, elle est indiquée à la vue des autres; elle n'est pas prise en charge par l'élocuteur. Maîtrise de la

l’industrie, de la spéculation ou comme une activité d’amateur. Mais dans la seconde partie du siècle, la situation du roman sera tout autre car : ▪ Hausse des parutions (+136% de 1876 à 1885) Les chiffres de tirages sont éloquents Cause : Apparition d’un nouveau public situé entre le public lettré parisien et les lecteurs de romans feuilleton. ▪ Dans les nouvelles facultés de lettres (Sorbonne), on compte de + en + d’étudiants ▪ L’histoire littéraire apparaît dans les lycées car il

spatial et temporel resserré, un nombre restreint de personnages, réduits à quelques traits permanents et typiques, une action dense et fortement structurée. Elle a le souci de la vraisemblance* et reste ancrée dans le réel, même si elle adopte le registre fantastique*. La nouvelle est souvent le récit d’une crise, mais elle présente des formes diverses. On peut retenir par exemple : - Les nouvelles à chute : elles se terminent de façon inattendue, la chute est énoncée en quelques mots qui modifient

et rhétorique, mais, en principe, langagière. Car la question de langue, le conflit parmi les partisans de dimotiki et de katharevousa, fait partager les esprits intellectuels parmi les genres bas, et les genres élevés respectivement, selon le registre de langue choisi. Le paysage littéraire aux XIXe et XXe siècles se diversifie un peu. Le rôle de la Critique, des écrivains intellectuels et des philologues n’est pas moins significatif. En particulier, ces derniers, fidèles aux idées du passé

troisième paragraphe ? Qu’en conclure sur son identité ? II. Créer une ambiance, mettre le lecteur en attente 1) Par quel(s) moyen(s) Gautier plonge-t-il son lecteur dans l’histoire aux débuts de ces trois nouvelles ? 2) Quels sont les sentiments dominants dans La Morte amoureuse ? Relevez les termes de chacun de ces champs lexicaux. 3) Quel rapport entretiennent les deux personnalités du narrateur ? 4) Quel est le cadre spatio-temporel du Chevalier double ? À quels récits cela peut-il faire penser

p. 2 Dominante : lecture-découverte de l'objet livre Séance 2 › Entrer dans un récit réaliste p. 3 Dominante : lecture analytique Séance 3 › Une héroïne toute simple p. 4 Dominante : lecture analytique Séance 4 › L’écriture du récit court p. 6 Dominante : langue Séance 5 › Les expansions du nom p. 7 Dominante : langue Fiche élève 1 p. 8 Séance 6 › Un personnage mis à l’épreuve p. 9 Dominante : lecture analytique Séance 7 › Les paroles rapportées p. 11 Dominante : langue

antiques : narration en vers des exploits guerriers d’un héros exceptionnel. Ex : La Chanson de Roland (1070), qui raconte les exploits du neveu de Charlemagne, contre les Sarrasins. 2. La naissance du « roman » Au XII° et au XIII° siècle, apparition d’œuvres narratives appelées du nom de la langue utilisée : le « roman » (langue populaire orale, qui s’oppose au latin, utilisé pour les œuvres écrites, mais réservé aux clercs savants) : les plus célèbres sont celles écrites par Chrétien de Troyes

bon exemple des productions macabres ou fantastiques du romantisme noir (début 19ème siècle), un couple en promenade tombe sur une charogne, qui devient le sujet du poème, revisite du carpe diem chanté par Ronsard mais avec une dimension macabre dominante, inverse valeurs et exprime volonté transformation horrible en objet esthétique, véritable thème du poème = fonction de l’art et pouvoir artiste de recomposer le réelProjet de lecture : comment Baudelaire mélange le beau et le laid (la

grand chef d’œuvre des romans de cette veine. Le mot « libertin » vient du latin « libertinus », qui signifie « affranchi ». Il a désigné d’abord les « esprits forts », les libres penseurs, qui rejettent les préceptes de l’Eglise, puis la morale dominante (liée à la religion). Il s’agit donc d’une attitude philosophique indépendante, en rupture avec le modèle en cours. Mais le libertinage concerne aussi les mœurs et désigne celui dont la sexualité libérée et inconstante n’est pas liée forcément à

couronnes héraldiques, ses beffrois, ses clochetons, tout le peuple gothique des sommets d’églises que dominait la flèche aiguë de la cathédrale, surprenante aiguille de bronze, laide, étrange et démesurée, la plus haute qui soit au monde. MAUPASSANT, Bel-Ami, 1885. 1. Identifier le type de texte 1. Quelle est la nature (descriptive, narrative, argumentative) de l'extrait ci-dessus ? À quoi le voyez-vous ? Justifiez votre réponse par un repérage précis. 2. Questions complémentaires 1