Apparition Julien Sorel

Des Grieux qui « avai[t] le défaut d’être excessivement timide et facile à déconcerter (…) [s’avança] vers la maîtresse de [son] cœur. » L’antithèse entre le portrait morale et l’action du narrateur souligne sa complète transformation. De même pour Julien qui « oublia une partie de sa timidité » ou bien pour Colin : « Je n’oserai pas ! » dit Colin. Et puis, il lâcha Alise et alla inviter Chloé. » Ici, Boris Vian souligne ironiquement grâce au contraste entre le discours de Colin et ses actes, les efforts

historiques tiennent une place importante. Au fil des siècles, les auteurs imaginèrent une grande diversité de protagonistes en ayant l’intention d’intriguer le lecteur. Cette curiosité du lecteur vis-à-vis du personnage s’éveille dès la première apparition de celui-ci dans le récit. Notamment grâce à divers moyens telle que l’utilisation de la première personne du singulier (« je »). Nous nous interrogeons alors : l’utilisation de la première personne dans un roman est-elle le moyen le plus utile

: « la vérité, l'âpre vérité » 1 mélangés à ce côté psychologique et mettant en scène des personnages jeunes en particulier, aux traits romantiques, rêvant de gloire et d’ambition. L’histoire que relate ce texte réaliste est celle d’un certain Julien Sorel, le destin le fait fils d’un simple charpentier, doté d’une estimable culture au moyen de sa mémoire prodigieuse et exceptionnelle qui lui permet d’apprendre l’Ancien Testament et le latin par cœur. Son modèle ainsi que celui de son auteur, bien

Le roman au XIXe siècle I. Le personnage, reflet de son auteur Au 19e siècle : avènement du romantisme et donc apparition du personnage romantique, souvent triste, morose, désenchanté, déprimé. Proche de la nature, il est en déconnection avec les changements politiques de l’époque (Napoléon). La mort est une issue pour ces personnages. Dans son œuvre René, Chateaubriand emploie le « je » pour offrir une plus grande possibilité d’identification au lecteur. René, personnage extrêmement sensible

actes et par leur physiques. Dans d'autre romans, la vie que mène l'auteur est innovatrice. Le héros ne se distingue pas forcément par ses actions, mais aussi par la vie qu'il mène. Cela se voit notamment dans Le rouge et le noir de Stendhal où Julien Sorel passe par une ascension sociale forte, une vie contenant un amour qui n'est pas ordinaire et une fin tragique le menant à une mise à mort. Le personnage principal peut être considéré comme une figure héroïque lorsqu'il réussit ces objectifs, et

déçoit l'attente du lecteur et détourne le thème romanesque de la première rencontre et du « coup de foudre ». On retrouve ce procédé dans d'autres romans de Stendhal. Dans Le Rouge et le Noir, Madame de Rénal a un éclat de rire qui vexe beaucoup Julien Sorel ; Lucien subit à peu près la même humiliation. Le caractère comique de la scène est accentué par une accélération du rythme : forte ponctuation, détachement de petits groupes de syllabes. Exemple : « Son cheval, qui glissa, tomba, et le jeta par

: le genre romanesque. La recherche du plan : Il convient donc de suivre ici un plan dialectique où vous évaluerez la thèse implicitement proposée (thèse /antithèse/ synthèse). I - LE ROMAN A BESOIN DE HÉROS : • de destins exceptionnels (Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir de Stendhal) • de personnalités hors du commun (Mme de Merteuil dans Les Liaisons dangereuses de Laclos) • de passions absolues (Des Grieux dans Manon Lescaut de Prévost) • le rythme romanesque et la nécessité de

personnelles. En partant des textes du corpus, vous vous demanderez si la tâche du romancier, quand il crée des personnages, ne consiste qu'à imiter le réel. Vous vous appuierez aussi sur vos lectures personnelles et les œuvres étudiées en classe.   Julien Sorel, Milady, la Thénardier : nombreux sont les personnages de roman qui n'inspirent pas de sympathie. Ce type de personnage n'a-t-il pour fonction que de susciter le rejet du lecteur ? Vous répondrez à cette question dans un développement composé en

fonction de leurs actions, de leur amour, de leur sacrifice pour un idéal et de leur ambition. L’amour de Madame de Rênal, créature angelique, est un mélange entre l’amour maternel et l’amour pour le jeun homme Julien Sorel. La parisienne Mathilde de la Mole, aussi amoureuse de Julien Sorel, est un exemple du courage, sacrifice pour l’homme aimé. La fin du roman la présente comme un personnage dramatique qui emporte dans ses mains la tête de son amant décapité. C’est la scène qui émouvoit beaucoup

arriver à moi à travers le livre, qui quand Julien a eu le succès mineur dans sa vie, c'était malgré se. Il essaie fort d'être conforme au modèle qu'il a choisi pour se dans une situation particulière, mais il est si mauvais à maintient son acte, cela finalement, il vacille et révèle sa vraie nature et sa vraie faiblesse. C'est dans ces moments de faiblesse que sa vraie humanité transparaît profiter lui loin plus que tous ses efforts hypocrites. Julien Sorel obtient seulement quelque chose après avoir