Apologues Celebres

les esclavagistes peuvent être chrétiens. – Arguments 5 et 6 : décalage entre l’argument et l’exemple. Contre l’esclavage ■ Condorcet, Réflexions ➜ p. 350-351 ■ Montesquieu, De l’esprit des lois sur l’esclavage des Nègres Cet extrait célèbre de De l’esprit des lois permet de travailler sur le rôle de l’ironie dans l’argumentation. En face de ce texte où Montesquieu avance masqué, est proposé un texte de Condorcet où l’esclavage est directement dénoncé. 190 Une indignation camouflée

Fouquet (surintendant des finances), Jean de la Fontaine (1621-1695) restera fidèle à son mécène et ami lorsque celui-ci sera emprisonné par Louis XIV. D’abord auteur de contes « galants » et de pièces de circonstances, La Fontaine deviendra surtout célèbre pour ses fables, qui le mèneront à l’Académie française en dépit de l’opposition du roi. S’inspirant le plus souvent de fables antiques grecques et romaines, mais aussi de fables indiennes ou italiennes, La Fontaine les « orne », les enrichit. Grâce

: détail anormal, il est inquiet et se questionne. Le chien est gêné, il évite de répondre, il minimise.
- La liberté est un trésor, le loup est affligé par le mot «attaché». Morale : Mieux vaut vivre affamé qu’attaché ! 

Conclusion

      Cet apologue est fondé sur un dialogue qui laisse au lecteur tirer lui-même la morale. Le plaisir que le lecteur éprouve à sa lecture tient à la réelle modernité de ce poème hétérométrique de 41 vers. L'argumentation du chien échoue puisqu'il néglige les contraintes

Pour Rousseau, les Fables de La Fontaine ne jouent pas leur rôle éducatif parce qu'elles donnent à voir ce qu'il ne faut pas faire. Elles permettent aux enfants mûrs de comprendre la vie par apologues, ceux qui ne sont pas assez matures y voient surtout des contes avec des animaux. Il est plus facile pour un enfant de comprendre l’existence avec des personnages ayant un caractère marqué (très rusé pour le renard). Ces personnages sont souvent des animaux pour faciliter la compréhension de cette caractéristique

œuvres de Diderot (1713-1784) : Le Supplément au voyage de Bougainville (1772, dialogue philosophique ; Le neveu de Rameau (1762, roman dialogué qui aborde les thèmes de la morale, de l’argent, de l’honnêteté). 3) L’apologue : L’apologue, du grec apologus, « petit récit », est un récit allégorique, plus ou moins court, en vers ou en prose, à visée morale (implicite ou explicite). La fonction première de l’apologue est de divertir au moyen d’un récit plaisant censé susciter la curiosité du lecteur

dans l'insatisfaction du "désir demeuré désir", pour reprendre parodiquement la formule de René Char.        Une interprétation esthétique ?        Le texte peut tout aussi bien s’interpréter sur le plan esthétique. On peut le considérer comme un apologue illustrant la quête poétique de l'Inconnu. La "déesse" du poème serait comme une allégorie de la Nature ou d'une autre quelconque figure ontologique ("Grand Tout" panthéiste, transcendance monothéiste, infini, "obscur objet  du désir", "opulence

( équilibre argumentatif, inversion dans la distribution de la parole ; ( aucune conclusion de l’auteur, pas de modalisation, pas de narrateur « juge » . b. Deux stratégies argumentatives solides ( argumentation par persuasion (apologue = induction, lexique du sentiment) : MOI ; ( argumentation par référence à l’expérience (conventions sociales, autodépréciation mais justification claire et riche en arguments) : LUI ; c. Un texte délibératif ( jeu des pronoms (« moi »/ « lui »

Convaincu de l’erreur judiciaire, Voltaire la dénonce dans son Traité sur la tolérance, écrit à l’occasion de la mort de Jean Calas. Voltaire bénéficie alors d’une telle renommée qu’on parle de « l’affaire » dans toute l’Europe. Grâce au combat du célèbre homme de lettres, le Conseil du roi casse les jugements prononcés contre les Calas et le 9 mars 1765, le Parlement de Paris réhabilite Jean Calas et restitue les biens à sa famille. Texte Titre et forme d’une prière : étonnant pour Voltaire qui

Éléments pour une introduction: (présentation du texte: n‘oubliez pas de présenter auparavant l’auteur et les fables en général) Fable très célèbre, qui ouvre le second recueil des Fables, publié en 1778, « Les Animaux malades de la Peste » est pourtant inconnue des livres d’Esope et de Phèdre: La Fontaine s’est probablement inspiré d’Haudent, qui a publié ses Apologues en 1547. L’Épître « A Madame de Montespan », au seuil du VIIe livre, annonçait un art plus luxueux que celui du premier recueil mais aussi

siècle – 1688 – chapitre intitulé « Des Jugements » - remarque 118 – V° édition - Jean de La Bruyère -1645-1696].Fénelon, à n'en pas douter, s'y entend en grimoire : il marche sur les traces de l'humaniste anglais Thomas More [1478-1535], l'auteur du célèbre ouvrage publié en 1516 « L'utopie ou le traité de la meilleure forme de gouvernement ». Un livre qui s'achève par ces mots : « il y a dans la république utopienne bien des choses que je souhaiterais voir dans nos cités. Je le souhaite plutôt que je