Apologue Tolérance

d’un Turc et d’une Arménienne, il incarne enfant » et sa « tête aux cheveux clairs » (p. 11) sont le signe d’une exigence originelle sur laquelle ni le temps ni le les conflits ou les massacres, conserve une âme et une espérance d’enfant. la tolérance et le multiculturalisme mis en avant dans tout le livre. Son « regard ébloui », ses « traits lisses de vieil triste réalisme des gens raisonnables, ni la résignation n’ont cours. Ossyane, malgré l’horreur du monde alentour, malgré S’il n’est

La tolérance pousse à s’interroger sur ses limites. Dès le 18ème siècle, les précurseurs des Lumières, tel John Locke, ont commencé à définir la tolérance. Ils la voyaient comme la vertu qui porte à accepter ce qui est contraire à la morale. La tolérance fut ensuite l’objet de nombreuses études, dont celle de Jean Rostand, écrivain français du 20ème siècle. Le monde n’a su se mettre d’accord sur ses bornes. Jusqu’où peut-elle aller ? Où sont ses limites pour ne pas outrager autrui ? Que ce soit

représentent pas grand monde mais n'hésitent pas à paralyser tout le pays pour satisfaire des intérêts purement corporatistes, pour beaucoup hors du temps, sans strictement aucun souci du bien de la collectivité. - je suis fatigué que notre tolérance vis à vis des autres cultures nous amène à considérer comme normal que l'Arabie Saoudite finance chez nous des mosquées, où l'on prêche la haine de l'Occident, avec les subsides qu'elle tire du pétrole, alors qu'elle proscrit sur son sol la

religieuse àOn voit la bétise par rapport à la naiveté sur la rapidité de la convertion et l’efficacité des jésuites àLa seul personne a changer d’avis est Mlle de saint-yves mais qui le fait par revirement amoureux  III. Un débat autour de la tolérance 1) Thèse sur le relativisme ou la supérorité d’une religion sur une autres • 2 thèses dans ce dialogue : -1 représente par l’ingenuàrelativisme « je suis de ma religion et vous de la votre » comparaison qui mes les religion sur une égalité

qui participent à l'art de persuader par un récit qui plait et instruit d'une leçon toujours en faveur de la tolérance. Ce passage est tiré du 2e chapitre de ce conte. « ou la destinée » est une réflexion sur la vie faite de temps forts et faibles. I Le récit est plaisant car il est fantaisiste et invraisemblable. II Les enseignements à tirer de ce conte : une invitation à la tolérance sur l'inconstance des femmes. I Le récit est plaisant car il est fantaisiste et invraisemblable. A Le

une société. C’est ce qui lui permet d’avancer.Vous ne les connaisez pas. Apprenez à les connaître, ils sont comme nous. Intelligent, même parfois plus intelligent que nous.Comme le dit Pauline Vaillancourt dans Les Poings sur les i, « L'esprit de tolérance est l'art d'être heureux en compagnie des autres. ». J’ai tant de mot pour désigner les horreurs qui ont été faites et un pour vous insitez au respect de l’altérité : l’ « amour ». Deux enfant égaux

Le bien que recherche l'homme peut être défini comme ce qui lui est utile ou ce qui convient à sa nature. L'homme peut-il par conséquent inverser ce mouvement pour s'orienter vers ce qui, au contraire, lui est nuisible, vers ce qui est un mal pour lui ? Plus encore, peut-il le faire en l'absence de toute contrainte ou en vertu d'un libre choix ? Autrement dit, peut-il le faire librement ? La morale veut que l'on traite autrui avec respect et dignité. De même, autrui doit nous rendre ce respect

maris avec les femmes, le Prince avec ses Sujets. Je réponds que bien loin que cela fasse contre moi, c’est une très forte preuve pour la tolérance ; car si la multiplicité de Religions nuit à un État, c’est uniquement parce que l’une ne veut pas tolérer l’autre, mais l’engloutir par la voie des persécutions, [...] c’est là l’origine du mal. Si chacun avait la tolérance que je soutiens, il y aurait la même concorde dans un État divisé en dix Religions que dans une ville où diverses espèces d’artisans

Sujet : Comment définir l’autorité de la conscience ? I. La description de la conscience laisse apparaître des défaillances, des défauts. On pourrait donc dire que la conscience n’est pas capable de nous indiquer notre devoir, c’est-à-dire d’appliquer dans les cas concrets la loi morale. Mais il n’y a qu’elle pour nous faire voir notre devoir. II. L’autorité absolue de la conscience, elle est la seule faculté qui dans l’esprit nous indique ce qu’il faut faire, on doit donc se fier à elle

La raison est aussi mêlée à de « la sage hardiesse » car selon lui sans cela « l’esprit humain ne peut faire aucun progrès. ». La défense des plus faibles et des causes perdues lui permet aussi de faire passer ses idées, comme le procès pour la tolérance de Jean Calas, qui lui a permis de faire passer ses idées sur la liberté de culte. 3) Le meilleur système politique est selon Voltaire, le modèle anglais, une monarchie mais pas une monarchie absolue. Une monarchie où le pouvoir du roi est