Apologue Satire

Cette nouvelle est réaliste, Maupassant ne chercher pas à dissimuler la réalité. Il parle de la vie d’un couple aux revenus modestes, face aux tentations de la société et à la population bourgeoise. -Satirique : La nouvelle peut être vue comme une satire des envies trop exigeantes de l’individu : Mme Loisel veut se donner l’impression d’être bourgeoise en se rendant à une soirée avec une rivière de diamants au cou mais n’est pas capable de garder ce symbole de la richesse et le perd. -Dramatique

présente grâce à la mention du lieu l.33 « Babylone » (en Irak de nos jours) La tradition des contes des 1001 nuits avait connu un grand succès et était à la mode. Voltaire peut ainsi déjouer la censure lorsqu'il situe en Orient ses histoires qui font la satire des gens de la cour en France. « Azora » est un nom oriental auquel s'ajoute « le grand Hermès ». Le mot « dieux », qui est au pluriel, montre le décalage dans les croyances avec « l'ange Asraël » & « le pont Tchinavar ». Il y a un rapprochement entre

plus important C) Une fin surprenante Allégorie de la guerre « Mars » (V.33). Mars qui est le Dieu Romain de la guerre, La Fontaine fait intervenir une puissance mythique. L’auteur personnifie la guerre « la guerre le vengea bien mieux qu’une satire »(V.32). Pour lui la guerre est l’évènement qui réglera le différend entre le riche et le pauvre en donnant l’avantage au savoir grâce au parallélisme qui est aussi une antithèse (V.36-37) «  Il reçut partout des mépris », « L’autre reçut partout

inspire l’optimisme quoiqu’il ne soit pas un optimiste « la loi de la nature nous mène à tuer notre voisin » 4. p. 14, le séisme en une phrase 5. Satire de la religion, dans un des premiers chapitres on voit que les chrétiens ne sont pas charitables. La vieille dame qui est la fille d’un Pape. 6. chapitre 3, satire de la guerre, on le sens dans l’ironie de son ton, il décrit les atrocités de la guerre « théâtre de la guerre » comme si c’était un jeu il critique l’absurdité

« caricature », « charge ») est un portrait peint ou dessiné qui accentue certains traits de caractère souvent drôles, ridicules ou déplaisants dans la représentation d’un sujet. Derrière son caractère humoristique, la caricature est souvent un type de satire. 2 L’évolution de la caricature au 19 ème siècle : a) La caricature sous Napoléon 1er: A partir du couronnement de l’empereur Napoléon Ier en 1804, la presse est censurée. Aucunes critiques ou caricatures, mettant en scène le nouveau dirigeant

À son origine, la satire est une œuvre poétique sous forme d’un « pot-pourri », qui s’accorde le droit d’aborder tous les sujets, jusqu’aux plus familiers. Puis le sens de ce terme évolue pour devenir, au-delà d’un genre, un registre. Ainsi le satirique est une représentation critique et comique d’un défaut, d’un vice, d’un mensonge observé dans la réalité, sur le plan moral, politique ou social. La satire a une cible située à l’extérieur du texte: cela peut être un comportement, une idée, une personnalité

lorsqu’il dit que « la République des Lettres est celle des loups », émettant une critique sociale passant par le rire et l’ironie. Figaro n’hésite pas à s’attaquer aux gens de lettre qui l’ont malmené. En réalité, Madrid est un alibi pour faire une satire de la société française. On reprochait (et notamment au duc de Chaumes) à Beaumarchais sa polyvalence

écris dénoncent, ère manière différentes, les abus de pouvoir. Germinal à été écrit en 1885, Les Obsèques de la Lionne au XVIIe et Ubu roi au XIXe. Les auteurs emploient différents registres afin de convaincre. "Les obsèques de la lionne » est une satire de la monarchie absolue. Le Roi Lion et le Cerf (personnages principaux) représentent la flatterie et la crédulité. En profitant de la crédulité du Roi, le Cerf sauve sa vie grace à un menseonge qui plut à ce dernier En effet, la Fontaine dénonce

admiratifs devant son courage et le gracient. Il se retire alors en Vendée. Il reviendra en 1610 lors de la mort de Henri IV et sera de nouveau condamné à mort à la suite d'une conspiration. Il se retire alors à Genève. La violence de ses pamphlets, sa satire virulente montre une France déchirée, vouée au jugement terrible d'un Dieu vengeur. Oeuvres : - les Tragiques, 1616 - Histoire universelle (1616-1620) - les Aventures du baron de Faeneste, 1617 - le Printemps, 1570-1573 Pierre de Ronsard

→ Le fabuliste semble abuser de formule permettant de désigner le personnage et ce qu'il incarne • vocabulaire d'un grand style « ciel » « maître » • voyelles éclatante, nombreux enjambements l'excès conduit bien souvent à l'ironie et à la satire... le pouvoir ici est caricaturé d'abord puis représente dans ses effets pervers. Le lexique de la royauté est combiné à celui de la cruauté «  Monarque irrité » «  griffe du prince » ...LF met ainsi en place par un glissement une visée satirique