Apologue Satire

son langage ?   Contexte : Au XVIIème siècle, comédie classique, incarné par Molière qui propose une représentation de la société de son temps. L’intrigue est souvent centrée autour d’un personnage qui présente un défaut ou une manie : -          Satire morale -          Dramaturge utilise comique de gestes, de langage, de caractère, de situation.   Le Classicisme vise à respecter l’ordre, la discipline et la hiérarchie, équilibrer le vraisemblable et la bienséance (il ne fait pas tuer quelqu’un

en derision et critiquer leur mort intuile , tout en valorisant les qualités des vivants. La guerre est donc pour Jean Giraudoux un moyen atroce qui prend des vies sans aucune raison car la guerre perdure. Faut-il alors toujours passer par une satire afin de transmettre une denonciation ou une contestation ?

Quelques suggestions de questions pour l’exposé L’argumentation Quelle stratégie argumentative adopte l’auteur pour faire adhérer le lecteur à sa thèse ? Pour Scarmentado  En quoi ce texte est-il le début/la fin d’un conte philosophique/d’un apologue ? En quoi ce texte est-il satirique ? Ubu-Roi I, 1 Cette scène remplit-elle bien son rôle de scène d’exposition ? I, 3-4 Comment Jarry renouvelle-t-il le thème classique du complot ? III, 3-4 Quel portrait du tyran nous propose cette

& stéréotypes 3 – Vision du poète & de la poésie | 1 – Poésie Sociale & Satirique 2 – Préoccupations matérielles 3 – Parodie du Romantisme | Éléments d'un portrait charge ? 1 – Portrait de M. Prudhomme 2 – Caricature ironique 3 – Satire de la bourgeoisie provinciale | 1 – Caricature de la Bourgeoisie 2 – Dénoncer la condition des poètes | M. Prudhomme est un personnage caricatural du bourgeois français du XIXe siècle, créé par Henri Monnier (caricaturiste, illustrateur

d'humeur à mourir'' | Insistance sur l'aspect antithétique de toutes ces formules apparemment courtoises : passé révolu | ''je vous rendrai heureux'', ''les choses les plus tendres'', ''les promesses les plus sacrées'' | → ironie, satire | Ponctuation exprimant sa révolte, gradation, superlatifs | | Critique du despote éclairé : l'artiste n'est qu'objet de roi, de ses volontés, de ses caprices. | | Esclavage pour l'écrivain : anecdote de Pérard. |

pour se moque, il assume la satire. =>> D’un côté il critique la fierté des chèvres mais il leur reconnait des qualités : dynamisme, solitude, vie dans la nature et liberté. CONCLUSION : Une fable qui est marquée par la gaité composé d’une anecdote très simple et d’une morale en forme de constat. L-F déplore les conséquences néfastes de la fierté, de la vanité. La fable met en scène des personnages humanisés mais dont l’héroïsme fait sourire. L’auteur fait la satire de la haute noblesse et du

incarner les différents personnages sans sombrer dans la « théâtralisation ». Analyse Le commentaire composé que nous vous proposons repose sur une hypothèse qui constituera notre idée directrice : la fable « Le Chêne et le Roseau » constitue une satire politique. Dans le paragraphe d’introduction, nous indiquons en caractères gras les idées qui structurent cette analyse. Voici quelques questions – auxquelles vous trouverez les réponses dans le commentaire qui suit – pouvant servir d’amorce à

la société «vendent à leur profit », « faire passer dans leur cassette » (l.21) tout cela en maquillant ces gestes de façon juste. « Un semblant d’équité » (l.23). Pour finir nous remarquons dans la dernière partie du texte que la déesse fait une satire acerbe du monde dans lequel les princes vivent, elle les tourne en ridicule l.26 « ignorant des lois », « haïssant le savoir ». Puis elle fait la liste de tout ce qu’ils possèdent matériellement par leur statut social ainsi que la symbolique de tous

LE POUVOIR DES FABLES Sommaire du commentaire composé: Le pouvoir des fables - Fables Une forme littéraire efficace  Rapidité de la construction Le divertissement Humour et satire, fondamentaux de la fable  Caricature de l'orateur classique  Une fable dans la fable  Un message à plusieurs niveaux  La transmission d'une critique  Vers les confidences personnelles  Conclusion Du latin « fabula », la fable est un récit qui vise à transmettre

procéder à une mordante satire de la société française. Dans la lettre 99, Montesquieu peint ses ridicules à travers l’une de ses expressions les plus capricieuses : la mode. C’est Rica , le plus jeune des Persans, qui trace ici ce tableau satirique. En d’autres occasions, et à ses dépens, il avait déjà fait l’expérience du caractère inconstant des Français et de l’importance qu’ils accordent à l’apparence. I. Le registre satirique : Montesquieu critique 1. la satire de la mode • des variations