Apologue Réflexion Lecteur

pour parler d'anatomie et de physique ou d'astronomie. Micromégas refuse donc l'esthétique classique du placere et docere au profit de la rigueur scientifique qu'on ressent par ailleurs dans l'écriture sèche et sans fioritures de l'extrait. 2. Une réflexion philosophique autour de l'existence ; l'insatisfaction des hommes face à leurs capacités. Confrontation des faits et interprétation pessimiste : lignes 15 à 32 : "soixante et douze" ≠ "du peu" "soixante et douze sens", "anneau", "cinq lunes"

Objet 4 : Argumentation L'argumentation essai, apologue, dialogue - littérature d'idées = toute littérature où l'idée, le message est pré existant et central dans le texte. Deux façons : argumentation directe -> thèse défendue par des arguments => Preuve, raison et démonstration = LOGIQUE argumentation indirecte : thèse transmise par le biais de la fiction -> facile d'accès - information -> constat - opinion -> interprétation, jugement non construit - idée -> analyse, construction

livre III. Dans cet apologue, La Fontaine (1621-1695) imite Esope et Phèdre qui avaient écrit une fable ("Ranae Regem petierunt" = " Les Grenouilles qui demandent un Roi ") pour calmer les athéniens lassés de leur tyran.  A son époque, cette forme d’argumentation à morale implicite permet à son auteur d’éviter la censure, chose courante au le XVIIème siècle. Cette fable se distingue par une évocation réaliste et fantaisiste de la nature. La portée symbolique en fait un apologue. Genre : argumentatif

On pourrait supposer qu’il y ait un 6ème sens: Celui de l’âme ou du cœur. A travers cette partie le poète ressent les choses et éprouve une sensation d’épanouissement qu’il transmet à son lecteur. C’est Baudelaire à travers les anaphores du pronom « je » qui assiste à la scène et n’invite pas le lecteur a y rentrer. Celui-ci ne peut que imaginer et se représenter ce paysage avec les descriptions du poète. Ce décor féerique a également pour fonction de faire ressortir la seconde partie, celle

recueil Fables paru en 1792. Tous sont des textes à visée argumentative. Montesquieu et Rousseau cherchent à faire appel à la raison de leurs destinataires ; leurs textes relèvent donc davantage de la conviction ; Diderot et Florian présentent des apologues, de courts récits plaisants destinés à faire passer un message sérieux. Ces textes relèvent donc de la persuasion. Nous retrouvons dans les textes de Montesquieu et de Rousseau la présence explicite d’une thèse qui figure en début de texte , puis

Pensez-vous, comme Jean de La Fontaine, qu'un récit plaisant délivre plus facilement un enseignement qu'un ouvrage de réflexion ? Intro : Célèbre poète Français du XVIIe siècle, Jean de La Fontaine est connu pour ses nombreuses fables. Faisant partie des plus grands chefs d’œuvres de la littérature Française, les Fables sont composées de trois recueils, qui chacun comporte plusieurs livres. Le premier à été publié en 1668, le second en 1678 et le dernier en 1693. La Fontaine écrivait ces récits

critiques à un tiers ou en les dissimulant dans des propos codés ou ironiques comme Voltaire. Le grand mérite de cette forme d’argumentation est d’aiguiser la curiosité du lecteur, dont la complicité est requise pour deviner les intentions de l’auteur. « Les meilleurs livres sont ceux qui font faire la moitié du chemin au lecteur » ou « Le moyen d’ennuyer est de vouloir tout dire » a prévenu Voltaire. [pic] 4.2.1 L’apologue ou la fable L’apologue (du grec apologos, « récit ») est un court

mensonge. À ce don que les Dieux ont fait à Ésope correspond celui que fait le fabuliste (Ésope, le Grec ; Phèdre, le Latin ; La Fontaine, le Français) aux hommes, aux animaux et aux plantes : il s’agit de traduire à l’intérieur des récits et des apologues (les morales qu’on tire des récits dans les fables) le mutisme apparent de la nature, et de revenir au temps « où les bêtes parlaient » (La Fontaine, IV, 1). De là aussi le fait qu’un fabuliste se place avant tout en conteur, qu’il se montre et

indirectement dans des fictions telles que les romans, les pièces de théâtre et les apologues. Mais le choix de la fiction peut aussi découler d’une constatation : l’homme aime qu’on lui raconte des histoires comme le rappellent La Fontaine dans Le pouvoir des fables, ou Florian dans La Fable et la Vérité, de sorte que les auteurs de fiction profitent de cette disposition humaine pour communiquer et développer leur réflexion. / On peut alors se demander en quoi le voile de la fiction peut se révéler efficace

type descriptif. Mais une lecture qui ne reste pas superficielle montre que ce récit n’est pas gratuit, qu’il livre aussi une position, une thèse, il est donc aussi de type argumentatif. Cette union entre un récit et une leçon morale s’appelle un apologue. o Quelle est sa tonalité ou registre littéraire (comique, tragique, lyrique, pathétique, ironique, épique…) ? La tonalité première pourrait être le merveilleux (comme dans le conte), d’ailleurs ce 1  mot est repris à la fin de l’article. Très