Apologue Récit Plus Important Morale

enfin, un poème de Raymond Queneau, “ Le peuplier et le roseau ”, auteur bien plus moderne, sont en effet des textes argumentatifs, s'appuyant chacun sur un registre comique. On peut retrouver plusieurs similitudes dans les divers procédés utilisés par les auteurs des textes, bien que chaque texte s'appuie plus particulièrement sur un comique différent. Le comique employé sans exception dans chacun des textes, dont un plus particulièrement, où il y est poussé de manière fantasmagorique est le comique

une « formation » de la lecture des fables et des apologues ? Vous vous appuierez, pour traiter cette question, sur les textes du corpus ainsi que sur vos lectures personnelles. L’apologue (et la fable qui en est un sous genre) est un récit souvent allégorique dont le but est de transmettre un enseignement, une morale. La princesse veut se former, autrement dit elle souhaite acquérir de l’expérience par l’éducation d’une fable, ou d’un apologue. Tout comme la princesse, peut-on chercher à « se

Au cours des siècles, de nombreux auteurs écrivent des apologues dans leurs combats et leurs critiques pour convaincre et/ou persuader les lecteurs. Les apologues sont de courts récits en prose ou en vers qui comportent un enseignement ou une morale. Dans sa fable Le Pâtre et le Lion, La Fontaine affirme qu'« une morale nue apporte de l'ennui [et que] le conte fait passer le précepte avec lui ». A partir de cette idée, nous pourrons donc nous demander si le choix d'écriture qu'est l'apologue permet

recueil sont des récits courts mettant en scène des animaux en donnant un esprit critique; de plus une morale y est ajoutée afin de faire passer un message. Est-ce qu'un récit plaisant délivre plus facilement un enseignement qu'un ouvrage de réflexion ? Dans un premier temps, nous verrons quel est l'intérêt du récit plaisant, puis dans un deuxième temps quelles sont les limites du récit plaisant, et enfin quel enseignement apporte l'ouvrage de réflexion. Le récit plaisant est une

un court récit allégorique, a généralement deux aspects, l’un est de plaire, l’autre de faire réfléchir le lecteur sur tout ce qui l’entoure. L’homme, en tant que lecteur, retient-il les apologues parce qu’ils l’amuse, ou parce qu’ils l’instruise, lui permette de s’interroger face à certaines choses ? Il est vrai que ces deux points de vue sont assez contradictoires, c’est pourquoi nous nous intéresserons à cette question en essayant de voir en quoi nous pourrions retenir un apologue grâce à son

événements de son temps sont les raisons qui conduisent un auteur à se lancer dans l’écriture d’une œuvre. Or, depuis toujours des Hommes écrivent des apologues pour rallier leur lecteur à leur point de vue. En effet, déjà au VIème siècle avant J.C., Esope proposait des récits courts à ses orateurs. Il est donc légitime de nous demander, comment les apologues concilient le plaisant à l’instructif. Nous verrons donc si les auteurs sont d’accord avec cette citation. Puis, d’une part l’intérêt et la manière

doit-il formuler explicitement la morale ou la thèse qu'il soutient ? Apologue = court récit + morale implicite ou explicite être efficace = persuader le lecteur formuler explicitement = le dire clairement dans le texte, implicite = le faire deviner morale = message à faire passer opposition bien/mal thèse = la position du locuteur à l'égard du sujet, du thème qu'il évoque. soutient = qu'il essaye d'exprimer et de faire adhérer au lecteur à travers son apologue problématique = Nous tenterons

Fontaine, n’a été le plus souvent qu’un prétexte au récit, au conte, à la rêverie ; la moralité s’y ajoute à la fin comme elle peut. » (Lundis, VII). A quoi tient d’avantage le « pouvoir des fables », et plus généralement des apologues : au récit ou à la morale ? Quelle partie de l’apologue vous semble la plus importante ? Vous appuierez votre réponse sur des exemples précis, et notamment sur les documents ci-dessous. Le mot « apologue » vient du grec ‘ apologos ’, qui signifie récit détaillé et dont

une fonction très importante car son objectif est de donner des morales aux lecteurs en passant par le récit. Pour Perrault l'instruction est essentielle dans ses contes surtout les morales qui l'introduit pour que les futurs lecteurs ne fassent pas les memes erreurs que les propagonistes et soit sein dans leur vie comme on voit par la citation " une morale utile " et " d'une manière qui l'instruit ". Ainsi que " Les Fées " son but est d'instruire les lecteurs à travers la moral de l'histoire dont

qui noie sa honte dans l'alcool, un businessman qui passe sont temps a conter se qui lui appartient ou bien un homme qui se croit trop important pour explorer le monde qui l'entoure, montre que les hommes sont seul et on pourrais même dire égoïste quand il ne vois pas le monde qui l'est entoure en ne cherchant qu'a gouverné, ou bien a être le plus beau ou le plus riche... Le seconds et dernier point d'argumentation dans cette œuvre est lorsque le Petit prince rencontre le jardin de rose et le renard