Apologue Récit Plaisant

l’avarice et la tromperie de la flatterie, et défend des valeurs telles que l’amitié et la solidarité. La Fontaine, dans ses fables (inspirées de celles d’Ésope), est plus impliqué que l’auteur grec qui reste, lui, plus distant et semble narrer son récit et sa morale avec plus de neutralité, comme le montre la fable du Corbeau et le Renard, traitée par les deux auteurs : « Un corbeau déroba un morceau de viande et alla se percher sur un arbre. Un renard, l’ayant aperçu, voulut se rendre maître

vanité d’un récit qui ne serait pas utile  : pour le fabuliste, le récit doit comporter une morale  : dès lors, c’est à travers l’écriture du récit, par le biais de l’argumentation indirecte, que l’auteur se propose d’instruire. Derrière la définition qu’il donne de la fable, l’auteur justifie ses propres choix d’écriture, comme le souligne la présence du pronom personnel «  me  ». Dans ce premier mouvement, La Fontaine avertit le lecteur sur la double nature de la Fable  : à la fois récit et morale

Plan : Reformulation problématique. I) Concession : certes, il est des cas où la fantaisie favorise la Raison.· Plaire et instruire : un récit plaisant est essentiel pour mieux véhiculer la morale.· Morale implicite : le récit fait lui-même réfléchir et est au service de la raisonII) Opposition : Mais, il en est d’autres· Fantaisie pose un souci du réalisme · Le récit : un texte qui peut détourner d la moraleIII) Amplification : De plus, est-ce la finalité d’une fable de faire réfléchir· Le but de la

difficile à cerner puisqu'il va du conte de fées au conte philosophique Son sens a beaucoup évolué au cours du temps Au moyen âge le terme de conte renvoie à un récit véridique; au XVIe et XVIIe le terme désigne « Un récit de quelque aventure, soit vraie, soit fabuleuse, soit plaisante » Peu à peu, il devient exclusivement synonyme de récit fictif. Dès le XVI es il devient un genre Littéraire II Le conte Philosophique, Une invention Voltairienne C'est au XVIIIe siècle que l’utilisation du

fiction destinée aux enfants, un entretien entre des animaux, des hommes, voire des choses, d’où l’on tire une moralité sous une forme et un ton légers. La fable peut aussi signifier un simple récit imaginaire, la suite des faits qui construisent une histoire, le sujet d’un récit, et l’ensemble des récits mythologiques… Et l’on ne sera naturellement la fable de personne en affirmant que ce terme a bien des choses à voir avec l’humour ou la moquerie plus ou moins satirique. Enfin, la fable, souvent

gue et surtout grâce au portrait du Rat. 20081007A SB 1/3 Tout d'abord, La Fontaine reprend les caractéristiques de l'apologue pour transmettre son enseignement.  Cela est perceptible à la construction du texte. En effet, celui­ci comporte un récit simple qui respecte le  déroulement chronologique du schéma narratif. Le texte débute par une esquisse de situation initiale aux deux  premiers vers annonçant le cadre et le personnage principal. Puis, l'élément perturbateur correspond à la retraite 

Le loup et l'agneau 10* fable du livre 1 de La Fontaine. La Fontaine emprunte ses sujets a Ésope et Phèdre Apologue: récit bref et plaisant a visée didactique. Sujet: c'est la rencontre entre un loup et un agneau a un point d'eau La morale se trouve au début de la fable, elle est en alexandrin et utilise le présent de vérité générale La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous l'allons montrer tout à l'heure. Toujours --> vision pessimiste. Meilleur --> ironie

modeste savetier prend possession d’une fortune mais perd son bonheur de vivre. La sagesse du savetier fait qu’il préfère récupérer ses « chansons » et son « somme » en rendant au financier les « cent écus ». Comment l’auteur délivre-t-il, de façon plaisante, une leçon de morale ? II/ Portrait des deux protagonistes. Le savetier Il a un métier qui rapporte peu et qui nécessite beaucoup de travail. Il « chante du matin au soir », c’est-à-dire qu’il travaille toute la journée. Il se plaint des jours

de ces histoires sont inventés, merveilleux et fictifs et ces instants que les parents consacrent à leur progéniture sont destinés, grâce à ces lectures, à forger leur vision du monde, de la vie et à les éveiller. Certes ce goût pour cette forme de récit s’estompe avec l’âge et l’adulte dirigera ses lectures vers d’autres formes d’argumentation y joignant même la perception visuelle des œuvres cinématographiques qui ne sont en fait que des adaptations pelliculaires de scénarii, encore que les dessins

voulais savoir se qu’était exactement une fable. J’ai donc fait quelques recherches sur internet et j’ai trouvé l’explication proposée par Wikipedia simple et informative. J’ai donc décidé de la citer au début de mon travail. „La fable est un court récit écrit plutôt en vers qu’en prose et ayant un but didactique ( qui cherche à instruire). Elle se caractérise généralement par l’usage d’une symbolique animale ou avec des personnages fictifs, des dialogues vifs, et des ressorts comiques. La morale est