Apologue Persuader

Roman sentimental - Roman d'éducation - Relation de voyage - Apologue/fable - Ce conte contient plusieurs niveaux d'écriture. A/ les personnages. - Savants, cultivés, ils sont capables de réflexion sur la façon dont on traite les noirs. B/ Roman sentimental (Idylle dans un village africain C/Récit rétrospectif. (Tradition du roman d'éducation, le village africain retranscrit comme un espace utopique D/Un apologue ( morale: la thèse du Marquis de Saint Lambert développée dans

5 L’argumentation : convaincre, persuader et délibérer 1 Les rouages de l’argumentation séries L ES S A À quoi sert l’argumentation ? ➜ 1. Vouloir convaincre, persuader ou délibérer n Argumenter, c’est le fait de soutenir, réfuter ou discuter une opinion, une thèse. L’argumentation ➜ 2. Défendre une thèse à partir d’un thème n L’argumentation sert à défendre une thèse, sur un thème donné, directement ou indirectement. Le thème d’une argumentation est son sujet général, la question

contemporaine, il n'est donc plus question de noblesse : il critique toute la société comme le traduit le vers « le monde se paye sa tête ». Ainsi, quelque soit l’époque, De la Bruyère, Hugo et Prévert plaident pour un monde plus juste Ces trois apologues emploient pourtant des procédés différents pour dénoncer les injustices auxquelles sont confrontées les trois individus : Gnathon créant cette inégalité et les deux autres hommes l’endurant. Dans « De l’homme », De la Bruyère dépeint le portrait

» ¹ la justice = du côté du Mal (cf comparaison avec les serpents : cf symbolique du serpent dans la Bible) + acharnement à vouloir tuer : cf répétition du verbe « demander ». Þ discours de Tarrou = marqué par une forte subjectivité : il faut persuader Rieux et surtout le lecteur de la barbarie de la peine capitale. 3/ Un réquisitoire contre la peine capitale a) Conviction de Tarrou : une justice qui peut tuer un homme = inhumaine. Þ il faudrait abolir la peine de Mort. Ø C’est, selon

vrai titre de l'oeuvre est Zadig ou la Destinée. C'est un roman mais aussi un conte philosophique de Voltaire Le conte philosophique est un récit fictif ayant une portée philosophique et ayant pour caractéristiques d’avoir une morale, comme tout apologue. | Il a été publié pour la première fois en 1747 sous le nom de Memnon. Puis allongé de quelques chapitres, il fut publié une nouvelle fois en 1748 sous son titre actuel. D’après Longchamp, secrétaire de Voltaire, c’est au cours des soirées

au moyen du pronom indéfini neutre « on » et du présent de vérité générale auquel personne n’échappe : « quand on pense [… ]» .                                 Pour autant, faire « la leçon » ne se passe pas de divertissement dans le cadre d’un apologue, notamment à des fins stratégiques. Instruire au 17e siècle, cela signifie aussi  plaire au lecteur qu’il faut amadouer ou bien toucher ou bien distraire pour mieux l’infléchir. Ce texte est donc avant tout persuasif,  grâce à un rythme entrainant

explique qu’il souhaite « Plaire & Instruire » en même temps ». « Je me sers d’animaux pour instruire les hommes ». Problématique : Derrière une fable très simple se cache plusieurs niveaux d’interprétation ou Pourquoi peut-on parler d’un apologue ? I) Un récit simple et dramatique. 1. La simplicité du récit. a) La longueur. * 29 vers, récit très rapide b) La construction. * Morale explicite, séparée, et donnée d’emblée * Structure : situation initiale / élément perturbateur

d’user de la force ? Nous étudierons tout d’abord le rapport de force entre ces animaux personnifiés. Puis nous analyserons à travers la parole du lion les mécanismes d’abus de pouvoir utilisés et enfin leurs impacts.Dans un premiers temps, les apologues de Jean de La Fontaine mettent en scène des animaux personnifiés, il attribue à ses personnages un caractère, une identité ; il construit une société hiérarchisée avec des forces et des faiblesses. Cette organisation entraîne donc la mise en place

d’instruire » dans le sens où l’art doit provoquer la réflexion par le biais d’une forte réaction émotionnelle (rires, pleurs, terreurs…) sinon, l’art reste superficiel et inutile. 2) Dans le genre poétique : Depuis l’Antiquité, les fables sont des apologues c’est-à-dire de courts récits écrits en vers qui visent à donner aux lecteurs une leçon. La Fontaine s’inspire d’œuvres antiques (textes en prose d’Esope, fabuliste grec du VIè s av JC) pour écrire ses Fables en vers et plus au goût de ses contemporains

Antigone du XXe siècle (Anouilh) ; Dom Juan. • Ils en prennent plus de force persuasive. II. La force de persuasion de la fiction : du côté du lecteur… Le récit fictif s’adresse plus à l’affectivité, à l’imagination ; il est plus propre à persuader. Le charme de la fiction… Ex. : certaines situations et certains personnages poétiques, comme le Jardinier dans Électre de Giraudoux. 1. Une affaire de plaisir Le plaisir de la lecture ou du spectacle : la saveur du divertissement Fait appel