Apologue Morale Explicite

nos jours Problématique : Etudes transversales et/ou thématiques : Découvrir les différentes stratégies argumentatives au service du thème abordé par les auteurs et leur efficacité sur le destinataire. Séquence 1 : Utopie et contre-utopie Des apologues Texte 1 : Candide ou l’optimisme de Voltaire, 1759, Chapitre XVIII, L’Eldorado, « Ils entrèrent dans une maison fort simple … Il est certain qu’il faut voyager » - Texte 2 : Georges Perec, W ou le souvenir d’enfance, 1975 chapitre 12 « Il

PETIT CHAPERON ROUGE Introduction : Charles Perrault publie ses "contes" pendant la période classique où les contes de fées sont particulièrement appréciés car ils permettent une double lecture, une destinée aux enfants pour leur apprendre une morale et une autre pour les adultes car l'on trouve beaucoup de passages ironiques et de sous-entendus. Cette oeuvre s'inscrit dans l'objet d'étude sur l'argumentation et plus précisément sur l'apologue. Les "contes" de Charles Perrault sont écrits en 1687

Fontaine utilise souvent des animaux an tant que personnages principaux afin de ne pas être censuré notamment dans « Le Corbeau et le Renard » ou « La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf ». Il y a toujours une morale, qu'elle soit implicite ou explicite. La morale de la fable « Le Savetier et le Financier » n'apparaît pas. Cette fable raconte l'histoire d'un Savetier qui chante pour pouvoir subvenir à ses besoins mais en chantant il dérange le Financier qui n'arrive pas à dormir. Celui-ci

-L’ironie (argumentation par l’absurde) ; arme essentielle de la stratégie argumentative parce qu’elle rend le lecteur complice. Thèse explicite/thèse implicite. Elle peut passer par une logique absurde (relier une cause et une conséquence sans rapports), par la caricature, par l’antiphrase… Les images peuvent constituer des arguments (implicites ou explicites). 1. 2- La disposition (la stratégie argumentative) : l’exorde constitue le début du discours (souvent avec la « captation benevolentiae » ;

l’idée d’incompréhension quant a la religion. De plus l’expression « sans cesse » l.2 insiste sur le fait que les gens sont toujours divisés. La multiplicité des rites apparaît comme un obstacle a la pratique d’une foi sincère. L’embarras est explicite « me jette dans un embarras inconcevable » l.19. De plus la répétition du verbe « savoir » l.17, l’expression « que savez vous » l.21, « je ne sais » montre que le croyant est perturbé par des propos contradictoire. Tout devient compliqué pour le

(v.15), « museau » (v.20), « griffe, dent » (v.24)… termes qui soulignent un animal de la terre, un animal doté d’une force physique impressionnante et possédant une violence potentielle. Le Moucheron : son animalité se dessine dans les termes explicites comme « insecte » (v.1, v.30)… termes qui soulignent la petite taille (moucheron = petite mouche), la faible constitution. Au XVII° siècle, le mot mouche est un mot général qui désigne n’importe quel insecte volant ; on peut donc songer que le

nôtres aussi", mais encore "une morale nue apporte l'ennui, le conte fait passer le précepte avec lui".Outre l'évidente intention éducative se profile souvent une analyse critique du contexte politique qui fut le sien : la monarchie absolue. Tel est le cas de la célèbre fable "Le loup et l'agneau", dont la portée est universelle. [2- Présentation du texte] Cet apologue raconte une curieuse rencontre entre un loup et un agneau pour illustrer une singulière morale. [ 3- Problématique] Il s'agit

nôtres aussi", mais encore "une morale nue apporte l'ennui, le conte fait passer le précepte avec lui". Outre l'évidente intention éducative se profile souvent une analyse critique du contexte politique qui fut le sien : la monarchie absolue. Tel est le cas de la célèbre fable "Le loup et l'agneau", dont la portée est par ailleurs universelle. [2- Présentation du texte] Cet apologue raconte une curieuse rencontre entre un loup et un agneau pour illustrer une singulière morale. [3- Problématique] Il s'agit

thèse. Thèses : I. La fiction : vivacité et liberté ; du côté de l’auteur La fiction est une source de liberté du côté de l’auteur. Souvent cette liberté se traduit à travers un genre bien précis de récit qui est l'exposé d'une pensée morale : c’est l’apologue. 1. Variété, diversité, vivacité pour piquer la curiosité et « plaire » Ce qui peut plaire avec la fiction c’est d’abord une variété de genres. La variété des genres de fiction • On peut trouver des contes philosophiques

le Bûcheron » appartient au 1er livre I dédicacé à Monseigneur le Dauphin ; la dédicace pose d’ailleurs d’entrée la visée du genre suivant le credo classique instruire et plaire. Double fonction que l’on retrouve dans le diptyque récit (corps) / morale (âme). Fable n°16, elle se démarque pourtant des autres fables du livre 1 de ce recueil : - ce n’est pas une fable animalière (deux personnages : un humain et une allégorie) ; - sujet grave (proche de la méditation philosophique) : l’homme face