Apologue Morale Explicite

(comme dirait Ronsard), et Corneille ou Racine de vrais poètes, car chez eux la richesse du sens excède la lecture littérale. La poésie est un des constituants de la fable • Pour ma part, je m'efforce de montrer que les Fables sont et des apologues, et de petites scènes de théâtre, ET de la poésie, précisément. • L'objet d'étude "l'argumentation" est un vrai problème en ce sens car, elle nous invite, nous, professeurs de Lettres, à faire comme s' il y avait des genres spécifiquement argumentatifs

Structure de la fable • 36 vers dont 32 de récit : Vers 1 à 13 : La cour du roi Vers 14 à 33 : intervention des animaux (l’ours, le singe et le renard qui sont tous opposés au lion) Vers 34 à 37 : Morale explicite • Enchaînement rapide des événements • Structure simple 2) Procédés d’animations (un rythme qui tient le lecteur en éveil) • vers de différents mètres : présentation avec 2 alexandrins, rythme ample, majesté royale ; ensuite

dont l’histoire est similaire et la morale finale identique. Dans ce bref apologue qui met en scène une satire acerbe de Napoléon 3, Hugo voue une fureur vengeresse et un mépris sans borne à l’égard de ce dernier. Comment Victor Hugo parvient-il à concilier dénonciation politique et morale tout en respectant les codes de la fable ? Nous analyserons dans un premier temps la part de tradition dans cette fable puis nous étudierons la dénonciation politique et morale exercée par l’auteur. En premier

 « Le Loup et le Chien » de La Fontaine – PLAN DE LA LECTURE ANALYTIQUE Introduction : Les fables de La Fontaine sont des apologues dont la morale est souvent devenue un proverbe : nous avons tous appris dans notre enfance «Le Lièvre et la Tortue» ou « Le Corbeau et le Renard » et nous savons depuis que « Rien ne sert de courir/ Il faut partir à temps » ou que « Tout flatteur vit au dépens de celui qui l’écoute ». Dans « Le Loup et le Chien » pourtant on ne trouve pas de précepte ni de devise ;

XIV, La Fontaine met en place des fables qui critiquent la société. Ces dernières appartiennent au sous genre de l'Apologue, un récit court qui illustre une morale. On peut donc en conclure que les fables vont avoir pour but de plaire et d'instruire. En lisant Les deux coqs nous pouvons avoir de multiples problématiques tel que : Comment la morale se déploie à travers le récit ? Comment la fontaine utilise t-il la réécriture ? Quels sont les registres présent dans la fable ? Pour y répondre, nous rédigerons

rapide et sautillant avec beaucoup de virgules : Allégresse . (Assonance en [é] fin des vers 8 et 10 : Fraicheur et beauté de la jeune fille) . • Puis progressivement un rythme plus lent (v. 32 à 43) , un peu morose qui correspond tout à fait à la morale . La versification est variée et on ne peut pas trouver de constante : • On trouve des alexandrins • On trouve des octosyllabes ● Il y a , en outre , de nombreux enjambements : Impression de continuité qui fait penser à de la prose et donc rend

efficacité. Les textes littéraires semblent être un moyen efficace de convaincre, en particulier grâce aux procédés qu’ils utilisent. En effet, la dissertation de Fontenelle, qui est une des formes de l’apologue, est illustrée par un récit, car «une morale nue apporte de l’ennui », comme le pensait La Fontaine. Le lecteur, parfois interpellé, prend alors du plaisir à lire une dissertation, car un récit est plus agréable à lire qu’une simple thèse. Néanmoins, le raisonnement établi dans la dissertation

INTRODUCTION « Le joujou du pauvre » de Charles Baudelaire est un poème en prose du XIX siècle extrait du recueille de poème « Le Spleen de Paris ». C’est aussi un apologue, c’est une anecdote mettant en scène deux enfants ne faisant visiblement pas partit du même monde l’un riche l’autre pauvre. On a une morale implicite. L’apologue, en effet, offre d’abord un récit poétique de l’univers de l’enfant riche comme de celui de l’enfant pauvre permettant à ce dernier de susciter notre curiosité. Le

alors la fin du règne de Louis XV, en 1774 . Dans Candide, Voltaire n’écrit pas qu’une simple histoire picaresque (genre de roman où le héros est jeune et naïf, aventurier et soumis à un long périple) il nous propose une leçon de vie à travers sa moral principale. Sa réflexion sur le bonheur permet ainsi au lecteur de se remettre en question. Le lecteur va au fil du livre s’identifier au personnage Candide, il va vivre son parcours, son voyage,... Sa quête du bonheur! Candide est livrée à lui même

exprime le fait que la violence prend le dessus sur la réponse. II. La lecture analytique 1. Introduction a. La contextualisation : Comme deux auteurs avant lui, le Grec Esope et le Latin Phèdre, Jean de La Fontaine fut l’auteur de ces apologues aux récits divertissants, aux êtres de caractères et à la portée didactique. Au XVIIe siècle cet auteur, un temps protégé de Louis XIV, rassembla des fables dans deux recueil publiés en 1668, en 1678 et réunis en 1693. Versifiées, adaptés des auteurs