Apologue Morale Explicite Ou Implicite

Fontaine les adaptera en français. Les auteurs anciens aimaient beaucoup les apologues, c'est-à-dire de petites histoires irréelles dont le lecteur devait tirer une leçon. Cette tendance a provoqué une multitude d’œuvres comme les contes pour enfants, les contes philosophiques pour adultes, les fabliaux, les paraboles, les fables entre autres. C’est la fable qu’à privilégié La Fontaine et dans celle-ci, la morale contient la leçon que veut donner l’auteur. Le XVIIème siècle est une époque où

un principe, ou une lois générale. EX : Les Fables de La Fontaine qui se concluent par la morale. · Pour convaincre  : · L’argument d’autorité  : Référence à un ouvrage, un proverbe, une personnalité reconnue par tous. On fait référence à une autorité politique, morale, scientifique, philosophique (…etc) reconnue et experte pour appuyer son propos, car elle fait autorité dans la matière

le récit et la moralité est également implicite, bien que différente. 2) Allusions à la fable de La Fontaine La fable commence par les mêmes mots (premier vers identique) ; expression « Tout comme la première fois (v.18) -> allusion explicite Mêmes amplifications et hyperboles : tempêtes du monde, le géant ; périphrases « le souffle profond qui dévaste les bois » ; lexique : « mon compère » est un terme de l’époque de LF. II. La remise en question d’une morale classique 1) Narrateur présent et provocateur :

cette nouvelle a une tonalité tragique, car à travers elle, Zweig exprime son grand vide moral face à l’expansion du nazisme en Europe. D’ailleurs la fin est quelque peu tragique Un apologue est un récit argumentatif souvent bref et dont le but est à la fois de plaire et instruire ceux-ci comportent le plus souvent une morale plus ou moins implicite que l'on découvre plus tard. C'est donc dans cette morale instructive que l'on va trouver le rôle didactique du conte et de l'apologue. Tout

1668-1696. B. Jean de La Fontaine, « Le Lion et le Moucheron », Fables, II, 9, 1668-1696. C. Jean-Jacques Rousseau, Emile ou de l’Education, II, 1762. Questions (6 points) 1. documents A et B : retrouvez la morale pour chacune de ces deux fables, en précisant si elle est explicite ou implicite; quels indices permettent de les iden-tifier? (3) 2. document C : Rousseau soutient que les fables ne sont pas pour les enfants; quels arguments avance-t-il pour défendre cette thèse ? (3) Travail d’écriture :

initiatique d’un héros, schéma narratif, temps du récit, structure temporelle et spatiale, actions qui se succèdent, etc.). Montrer aussi sa dimension argumentative (critique sociale, politique, religieuse, visée pragmatique, visée argumentative implicite ou explicite). Il faudra aussi souligner la visée du conte philosophique : plaire pour instruire, convaincre à travers une mise en scène romanesque, dénoncer l'injustice, défendre une cause à travers une histoire fictive, etc. C’est une stratégie qui

qu’une ou plusieurs morales implicites ou explicites. « Le philosophe Scythe » fable du recueil Fables (livre XII) de La Fontaine, écrite en 1678-1679, relate la rencontre de deux personnages, un philosophe scythe et un sage grec aux visions différentes voire opposées sur l’idéal et le sens de la vie. Le récit d’une rencontre entre deux personnages qui nous livrent une réflexion contraire sur la vie et le bonheur, nous est présenté et cet apologue est clôt par une morale explicite. La Fontaine nous

donnée concrète et facile à saisir qui est mentionné pour soutenir un argument en l’illustrant. Un exemple peut être personnel, littéraire, artistique, historique, etc. On introduit un exemple de manière explicite (par exemple, ainsi, c’est ainsi que…) ou on l’introduit de manière implicite. Il arrive parfois que l’argument soit remplacé par l’exemple. NB : la digression C’est un développement qui s’éloigne de la thèse et des arguments aussi bien que des exemples. Sa fonction est le plus

Séquence n°1 : argumentation ( fable, conte philosophique, essai ) Apologue : court récit qui donne une leçon fiche p 407 408 Lecture analytique : 409 1) Corbière, « le poète et la cigale » p 373-374 2) Anouilh, « La cigale » p 374-375 3) Voltaire, «  le philosophe ignorant » p 378 4) Diderot, « Salons » p 379-380 5) Rousseau, Essai sur l’origine des langues

Introduction : Charles Perrault publie ses "contes" pendant la période classique où les contes de fées sont particulièrement appréciés car ils permettent une double lecture, une destinée aux enfants pour leur apprendre une morale et une autre pour les adultes car l'on trouve beaucoup de passages ironiques et de sous-entendus. Cette oeuvre s'inscrit dans l'objet d'étude sur l'argumentation et plus précisément sur l'apologue. Les "contes" de Charles Perrault sont écrits en 1687. Dans cette période