Apologue Les Deux Amis

tout soit en blanc ou soit en noir). Ne pas voir la nuance. Montaigne passe de « j » à « nous » au fils du texte, ainsi il se confond avec le lecteur. C’est un procédé de persuasion. Il veut convaincre le lecteur de ce qu’il dit. Montaigne évoque deux peuples : Les Barbares : Ces barbares sont différents à nos usages (l.3). Ce sont des étrangers. Les Sauvages : Les sauvages viennent de la nature et restent tels quel (l.8) Montaigne veut nous amener à une vraie réflexion, une remise en

contraire, comme dans les contes, réduits à des types, des fonctions. D’entrée, les noms communs « sultan » et « bourreau » sont d’ailleurs précédés de l’article défini, ce qui accentue leur aspect d’archétypes, ainsi que la répétition fréquente de ces deux groupes nominaux. Notons enfin l’intrusion rapide du merveilleux, qui se fonde sur l’opposition « jour » / « soir » (vers 3 et 4). Le sultan est « hanté » par ceux qu’il a fait exécuter : « Mais dans ses cauchemars les morts se cachent / Et le dévorent

contredirait en partie le message philosophique, lui-même passablement confus. L'excentricité de la pensée morale et religieuse de Bernardin de Saint-Pierre peut expliquer la réputation d'incohérence idéologique qui s'est attachée à cet énigmatique apologue. La mise en relation intertextuelle de /Paul et Virginie/ et des /Études de la nature/ éclaire en réalité nombre de difficultés de lecture celles relatives notamment aux rapports entre « nature » et « vertu », et au rôle du malheur. Le roman garde

Carmilla, une vie nouvelle commence pour l’héroïne. Une étrange maladie se répand dans la région, tandis qu’une inquiétante torpeur s’empare de Laura qui bientôt ne peut plus résister à la séduction de Carmilla… Un amour ineffable grandit entre les deux créatures, la prédatrice et sa proie, associées à tout jamais « par la plus bizarre maladie qui eût affligé un être humain ». Métaphore implacable de l’amour interdit, Carmilla envoûte… jusqu’à la dernière goutte de sang ! 7. Les caractéristiques

9782081202849 4,40 € • 128 pages. B BALZAC Voir LE PORTRAIT, p. 51, RÉALISME ET NATURALISME, p. 52, LE ROMANTISME, p. 53 LE BAL DE SCEAUX ------------------------------- Une histoire d’amour contrariée par l’orgueil implacable de ses deux protagonistes. L’un d’eux est l’incarnation superbe du héros romantique. Édition de Sylvie Jacq-Mioche. Texte intégral / Lycée général 9782080722720 3,30 € • 128 pages. AUCASSIN ET NICOLETTE Les amours contrariées d’Aucassin et Nicolette : un

chétive pécore S'enfla si bien qu'elle creva. Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages: Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs, Tout petit prince a des ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des pages.   I, 4 Les Deux Mulets   Deux Mulets cheminaient, l'un d'avoine chargé, L'autre portant l'argent de la Gabelle. Celui-ci, glorieux d'une charge si belle, N'eût voulu pour beaucoup en être soulagé. Il marchait d'un pas relevé, Et faisait sonner sa sonnette: Quand l'ennemi

- Il va commencer la rédaction d’un mémoire sur » l’éducation des femmes » et qui ne va pas achevé. A la fin des années 1790, Laclos publie un journal « les amis de la constitution »2. Contexte social et littéraire  2.1 Contexte social (Le libertinage au XVIII siècle)  -Le libertinage au XVIII siècle ne doit pas être confondu au libertinisme et qui né dans la première moitié du XVII siècle.  -Le Libertinisme

1690, reprint Le Robert, 1978, article « Allégorie »  : « Figure de Rethorique, qui est une metaphore d’un emblème avec un corps et une âme, mais qu’il en exclut volontaire- ment l’image pour se concentrer sur deux éléments textuels, le récit et la moralité : L’apologue est composé de deux parties, dont on peut appeler l’une le corps, l’autre l’âme. Le corps est la fable ; l’âme, la moralité4. Dès lors que le conte — le récit égayé d’ornements — se substitue à la vignette dessinée, il convient d’étudier

explicite ou non. Cette morale peut alors être placée avant le récit (on parle savamment de promythium) ou après (et on l’appelle épimythium). Dans sa « Préface » (que je vous conseille vivement de lire) La Fontaine écrit : « L’Apologue est composé de deux parties, dont on peut appeler l’une le Corps, l’autre l’Âme. Le Corps est la Fable ; l’Âme, la Moralité ». D’autres définitions vous seront utiles comme : L’apologue : C’est un cout récit qui vise à édifier, qui propose une leçon morale. Vous l’avez

sentiment que ces descriptions sont inutiles ; d'autres, en revanche, considèrent qu'elles jouent un rôle essentiel. En vous appuyant sur les textes du corpus, les œuvres étudiées en classe et vos lectures personnelles, explicitez et justifiez ces deux points de vue. 4. Balzac, dans son roman Le père Goriot, alors qu'il décrit le personnage de Madame Vauquer et la pension qu'elle dirige, écrit : « Toute sa personne explique la pension, comme la pension implique sa personne. » En vous appuyant sur