Apologue La Ferme Aux Animaux

à la mesure de l'homme. Les qualités de certains personnages poussent le lecteur à les admirer. Le lecteur apprécie la clémence et la fermeté de Gargantua, après la guerre contre Picrochole, au chapitre 50. GARGANTUA : UN APOLOGUE. Peut-on lire Gargantua comme un apologue ? 1. C'est un récit qui respecte une structure traditionnelle. Gargantua peut ainsi se découper en quatre épisodes correspond au schéma d’ensemble traditionnel des romans de chevalerie : - Généalogie (origine) (chap.1

irrésistible et subit. Il est certain que si l’on veut creuser cette situation, on trouvera au fond de la pensée du rieur un certain orgueil inconscient. C’est là le point de départ : moi, je ne tombe pas ; moi, je marche droit ; moi, mon pied est ferme et assuré. Ce n’est pas moi qui commettrais la sottise de ne pas voir un trottoir interrompu ou un pavé qui barre le chemin. L’école romantique, ou, pour mieux dire, une des subdivisions de l’école romantique, l’école satanique, a bien compris cette

genre, càd la tradition au moment où il s’empare du genre I – L’héritage du passé A - Des origines antiques La tradition veut qu’Esope, grec du 6ème s. en soit l’inventeur. ➢ Brefs récits qui mettent en scène des animaux (leurs vertus et défauts = transposition des comportements humains). Une leçon dégage la significat° morale. Ms la morale d’Esope est différente de celle d’un moralisateur : il se fait observateur des relations entre les hommes. ➢ Schéma de la

fable en tant que genre, càd la tradition au moment où il s’empare du genre I – L’héritage du passé A - Des origines antiques La tradition veut qu’Esope, grec du 6ème s. en soit l’inventeur. Brefs récits qui mettent en scène des animaux (leurs vertus et défauts = transposition des comportements humains). Une leçon dégage la significat° morale. Ms la morale d’Esope est différente de celle d’un moralisateur : il se fait observateur des relations entre les hommes. Schéma de la fable

recueil c'est à dire le livre 12, publié en fin 1963. Les derniers vers de l'ultime fable, point d'aboutissement de toute une vie créative& dont l'écriture s'est étalée sur plus d'un quart de siècle dessinant un geste d'offrande très élégant qui ne ferme pas l'œuvre sur elle même mais sur l'avenir et la prospérité (livre 12 ; 25). Les obsèques de la Lionne : 1678, Fable 14, Livre VIII On peut la voir comme une petite pièce de théâtre, un petit-drame. C'est une fable audacieuse, car la

dans le monde quelque chose, s'il se peut, de plus incompréhensible. Un homme paraît grossier, lourd, stupide ; il ne sait pas parler, ni raconter ce qu'il vient de voir : s'il se met à écrire, c'est le modèle des bons contes ; il fait parler les animaux, les arbres, les pierres, tout ce qui ne parle point : ce n'est que légèreté, qu'élégance, que beau naturel, et que délicatesse dans ces ouvrages. Les Caractères, « Des jugements », 1688,VI, 56. Que dire de tout cela ? Comment amener les élèves à

dresser pour se plaindre de cette injustice ; ses compères ne bougent pas, tandis que lui va composer une Elégie pour défendre son mécène et puis les Fables, écrits de combat, destinés à peindre les défauts et caractères humains sous le masque des animaux, mais aussi à dénoncer les mœurs à la cour du Roi et le pouvoir despotique d’un seul. 5 Gentillet, La Fontaine ? Disons donc plutôt rêveur parfois, distrait, dit-on, mais ami fidèle indomptable, souhaitant préserver sa liberté de poète, refusant

SCHMITT E.-E., Le Visiteur ; La Nuit de Valognes. La dernière pièce est intéressante pour préparer l’étude de Dom Juan. SHAKESPEARE W., Hamlet ; Macbeth ; Le Roi Lear ; Le Songe d’une nuit d’été. TCHEKHOV A., La Cerisaie ; La Mouette. L’ARGUMENTATION Apologue BRADBURY R., Fahrenheit 451. CALVINO I., Le Vicomte pourfendu ; Le Baron perché. CAMUS A., La Peste. GOLDING W., Sa majesté des mouches. HUGO V., Claude Gueux ; Le Dernier Jour d’un condamné. Ces œuvres ne manquent pas d’intérêt, mais font souvent

dignes d’un conte de fées, Voltaire laisse entrevoir dans le chapitre 18 (L’Eldorado) des idées tout à fait sérieuses sur la religion, la politique et l’économie. Quelles sont ces idées ? Voltaire décrit l’Eldorado comme un pays de conte de fées : animaux fabuleux, abondance naturelle, hospitalité parfaite, armée d’opérette, longévité merveilleuse, omniprésence de la musique, etc… . Mais, conformément au principe de l’Utopie, cette fantaisie est destinée à enrober un discours plus sérieux, suggérant

escargot « fais attention Brödeck » - le vieux chien Ohnmeist ( qui n’acceptait de se faire caresser par l’Anderer ) – la ( puissante ) maison d’Orschwir – les fils d’Orschwir ( Günter et Gehrart ), sur le monument aux morts – la poterne à l’entrée de la ferme : « Böden und Herz geliecht » = « Ventre et cœur réunis » - Diodème (instit, ami de Brd ; mort ¬– étrangement ¬– il y a 3 semaines ) – (souvenirs d’avant-guerre) avec Diodème, au petit jour, vers la vallée de Doura – Diodème romancier (lit à Brodeck