Apollo 10

bière vendue en pintes), du Liberia et du Myanmar. L'exécution de Louis XVI par la guillotine est un événement majeur de la Révolution française : c'est une bravade adressée par les révolutionnaires aux monarchies européennes. Après la journée du 10 août 1792, qui voit la chute de la monarchie à la suite de l'attaque des Tuileries par le peuple parisien, son arrestation, son internement à la prison du Temple avec sa famille, son procès pour haute trahison devant la Convention nationale, Louis XVI

AVENEMENT DU DÉSIR DÉMOCRATIQUE. La chute de la monarchie se produit entre 1789 et la journée révolutionnaire du 10 août 1792. En 1789, la France était une monarchie absolue mais elle est entrée en crise économique, politique et social. Il est créé l’Assemble National pour contrecarrer le pouvoir absolue du roi. Maintenaient la souveraineté national appartenait au roi et à l’Assemble National (devenue plus tarde Assemble Constituante avec le Serment de Jeu de Paume). C’était comme cela que

législatif Jaurès dira à propos de cette Constitution que « La Constitution de 1793 répond bien aux conditions vitales de la Révolution à la réalité politique et sociale de la France nouvelle ». En effet, la Convention nationale qui s’est établie le 10 août 1792 avait pour ambition de rédiger une Constitution. Cette assemblée a un pouvoir à la fois exécutif et législatif. Les députés se réunissent pour la première fois le 20 septembre 1792 et abolissent en premier lieu la royauté en France. A partir

accompagné de 100 députés dont ROBESPIERRE, se rend à Paris où BAILLY lui remet symboliquement les clés de la ville. Septembre 1789 : ROBESPIERRE publie son discours contre le droit de véto. 5 septembre 1792 : Quelques jours après la chute de la royauté le 10 août 1792, il est élu député de Paris à la Convention. 26 mai 1793 : Au club des Jacobins, ROBESPIERRE appelle le peuple pour renverser les députés girondins. Juin 1794 : ROBESPIERRE est de plus en plus isolé et sa politique de terreur est contestée

danger ». 25 juillet 1792 : Manifeste de Brunswick qui menace Paris de représailles exemplaires s’il est fait le moindre mal au roi et à sa famille. Ceci exaspère les Parisiens. 10 août 1792 : Prise des Tuileries et chute de la monarchie. La famille royale est enfermée à la prison du Temple. La prise des Tuileries le 10 août 1792 2-5 septembre 1792 : Massacres dans les prisons à Paris et en province. 20 septembre 1792 : Victoire de Valmy qui redonne confiance au peuple et aux révolutionnaires

projet. À ce moment précis, Marat publie, début août, une feuille in-8° de 8 pages Le Moniteur patriote, entièrement consacrée à la critique du projet de Constitution, critique nourrie, entre autres, en référence au modèle anglais. Après la journée du 10 août 1792, il appelle à la continuation de ses effets par en appelant à l’élimination des royalistes emprisonnés. À la différence de ses précédents appels au meurtre, il est cette fois suivi par une partie de la presse, notamment girondine. La publication

fuite de Louis XVI, il se déclare républicain. A l’issue de la fusillade du Champ-de-Mars de juillet 1791 pendant la manifestation républicaine réprimée dans le sang, il est poursuivi et doit se cacher un moment. Avec Danton il prépare la journée du 10 août 1792 et la chute de la monarchie. Brillant opposant au suffrage censitaire [1], il fait remarquer, au cours des discussions, qu’une telle loi électorale exclurait Rousseau et Jésus-Christ de l’éligibilité. Partisan de la paix, comme Robespierre

 Le Parisien du 11/08/1792 La Prise des Tuileries, l’événement choc ! Pourquoi le 10 août 1792 est-il un tournant de la Révolution ? Les principales motivations étaient de révolutionner l'Europe pour les Girondins (députés de Gironde). Cela permettra aussi de restaurer la monarchie pour le roi et ses partisans. La prise des Tuileries est provoquée par la rédaction du manifeste du Brunswick qui est un texte rédigé le 25 juillet pour menacer la capitale de lourdes représailles

dédiée au volontaire pour partir en guerre dans l’Armée du Rhin et fut chanté pour accueillir se valeureux volontaire. Le chant devient aussi le chant de marche des Marseillais remontant vers le nord pour participer à l’insurrection des Tueries le 10 août 1792. Après plusieurs variations de titre (Chant de guerre des armées aux frontières, Chant de ralliement des Marseillais, Marche ou Hymne des Marseillais), le Chant prend son nom définitif « La Marseillaise » La IIIe République en fait l'hymne

intérieures et extérieurs, l’Assemblée législative déclare « la Patrie en danger ». 25 juillet 1792 : Manifeste de Brunswick qui menace Paris de représailles exemplaires s’il est fait le moindre mal au roi et à sa famille. Ceci exaspère les Parisiens. 10 août 1792 : Prise des Tuileries et chute de la monarchie. La famille royale est enfermée à la prison du Temple. 2-5 septembre 1792 : Massacres dans les prisons à Paris et en province. 20 septembre 1792 : Victoire de Valmy qui redonne confiance