Apollinaire Quatre Jours Mon Amour

m'est et trop molle et trop dure. J'ai grands ennuis entremêlés de joie. Tout à un coup je ris et je larmoie, Et en plaisir maint grief tourment j'endure ; Mon bien s'en va, et à jamais il dure ; Tout en un coup je sèche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mène ; Et, quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine. Puis, quand je crois ma joie être certaine, Et être au haut de mon désiré heur, Il me remet en mon premier malheur. Joachim DU BELLAY

nul ne devrait jamais connaître. Nuit Rhénane INTRO Guillaume Apollinaire est un poète et écrivain français. D'après sa fiche militaire, il est né le 25 août 1880 à Rome et mort pour la France le 9 novembre 1918 à Paris Nuit Rhénane est un poème tiré du receuil «Alcools» d'Apollinaire paru en 1913. Ce poème appartient au cycle de neuf poèmes inspirés à Apollinaire par son séjour en Allemagne (1901-1902). Les paysages de Rhin qui s'y rattachent depuis le romantisme

Gérard de Nerval - « le Hareng saur » Charles Cros - « les cheveux » Rémy de Gourmont - « le chasseur d’images » Jules Renard - « l’albatros » Charles Baudelaire - « apparition » Stéphane Mallarmé - « la colombe poignardée et le jet d’eau » Apollinaire - « Iles » Blaise Cendrars - « mondes » André breton - « La terre est bleue » Paul Eluard - « Voyelles », « La bateau ivre » Arthur Rimbaud - « L’azur » Mallarmé Poésie Lyrique, à l’image d’Orphée Il n’est point tant de barques à Venise…

poème : Poème du XIX ème siècle : « Mon rêve familier » de Paul Verlaine, écris en 1866 et extrait de Poèmes saturniens , trouvé à la page 377 du livre littérature. Page 9 : Cinquième poème : Poème du XX ème siècle : « Il pleut » de Guillaume Apollinaire , écris en 1918, et extrait de Caligrammes. Trouvé à la page 433 du livre Littérature . (ici écrit en un quintil.) Page 10 : Sixième poème : Poème du XX ème siècle : « Le cheval tombe » de Paul Eluard écris en 1924 et extrait de  Mourir de ne

contraire elle a en quelque sorte joué le rôle d'une arme lors des nombreuses batailles qui ont rythmé notre histoire de manière beaucoup plus douce et subtile mais tout aussi efficace. Cette anthologie regroupe des textes datant du XIX siècle à nos jours, car cette période fut très riche en événements importants qui ont marqué les esprits de tous, en particulier ceux des poètes qui en ont laissé une trace. Ces poèmes représentent des témoignages recueillis par des acteurs qui ont réellement vécus

ANTHOLOGIE DE TEXTESLYCEE VICTOR HUGO CARPENTRASPREMIERE AMME PONCETYSESSION 2023 Apollinaire, Alcools , « Les Colchiques », 1913. 51015Le pré est vénéneux mais joli en automneLes vaches y paissantLentement s’empoisonnentLe colchique couleur de cerne et de lilasY fleurit tes yeux sont comme cette fleur-làViolâtres comme leur cerne et comme cet automneEt ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonneLes enfants de l’école viennent avec fracasVêtus

grâces. Aussi, le brave monsieur Flavel, en homme bien élevé et accueillant, le cœur sur la main, avait fait des frais. Pas autant, toutefois, qu’il en eût fait pour le député du comté, et surtout pour l’évêque du diocèse. Le desservant de Saint-Apollinaire était gourmand comme une lèchefrite ; et il n’était jamais plus coulant avec ses paroissiens qu’au sortir de la salle à manger. Les narines dilatées par le fumet chaud et pénétrant qui 5 s’échappait de la cuisine et semblait s’imprégner à tous

arrivé. Cunégonde raconte son histoire : elle n'a été que blessée puis faite prisonnière par un capitaine bulgare. Puis l'homme, lassé, l'a vendue à un Juif. Elle se retrouve finalement partagée entre le grand inquisiteur et le Juif (en fonction des jours de la semaine). Alors qu'elle est invitée à l'auto-da-fé, elle reconnaît Pangloss. Le Juif Issacar se présente pour profiter de Cunégonde. Candide le tue. Il poignarde aussi le grand inquisiteur. Candide, Cunégonde et la vieille s'enfuient. Les trois

seigneur auquel ils sont souvent attachés. On retrouve les chansons de geste, (comme La Chanson de Roland) qui vante les exploits guerriers de chevaliers fidèles à leur seigneur, ainsi que la littérature courtoise qui met en scène la fin’amor, un « amour parfait » où l’amant se soumet à la dame aimée et exprime ses sentiments avec raffinement. Aux XIVe et XVe siècles, des poètes proposent une , tels les rondeaux de Charles d'Orléans ou les ballades de François Villon. Le Moyen Âge se clôt sur le

Déclaré "bon pour le service" en janvier 1915, Breton est envoyé à Pontivy, dans l'artillerie, pour y faire ses classes, puis il est affecté à l'hôpital de Nantes (Loire-Atlantique) comme interne en médecine. Il écrit sa première lettre à Guillaume Apollinaire. En février ou mars 1916, il rencontre un soldat en convalescence : Jacques Vaché. C'est le "coup de foudre" intellectuel. Aux tentations littéraires de Breton, Vaché lui oppose Alfred Jarry, la "désertion à l'intérieur de soi-même" et n'obéit