Apollinaire Les Saltimbanques

apollinaire 1Dissertation Apollinaire 1ère Yasmine Amrani Malak Benchekroun Lors d’une conférence en 1917, le poète français Guillaume Apollinaire, insiste sur la nécessité de renouvellement et prône donc « un esprit nouveau » dans la création poétique en particulier, et dans l’art en général. Ces relations avec les peintres cubistes (dont son ami Picasso) ont exercés sur le poète une influence considérable. Par ailleurs, l’intérêt qu’il porte à l’espace urbain et au quotidien font de lui un

en France et emménage dans un misérable atelier de Montmartre, au Bateau-Lavoir. C’est devant cet atelier que Picasso rencontre Fernande Olivier. Avec elle, il fréquente Gertrude Stein, Guillaume Apollinaire. Cette époque heureuse marque le début de sa période rose avec ses peintures de saltimbanques, aux couleurs adoucies. En 1907, Picasso travaille à la composition des Demoiselles d’Avignon. Il se rapproche de Georges Braque. Ensemble, ils se consacrent à la formulation du cubisme. C’est alors

l’habitude de se retrouver. On y accède par un petit pont, d'où son nom.  Il y règne une ambiance très particulière, comme dans un petit village. Pablo Picasso rencontre le poète Guillaume Apollinaire, le peintre Henri Matisse, et bien d’autres personnalités. Il passe beaucoup de temps auprès des saltimbanques, des jongleurs, des acrobates et des clowns. Il se sent bien à Montmartre. Il n’a toujours pas d’argent, mais il a le cœur léger. Il choisit de privilégier le rose. Les lignes qu’il dessine

GUILLAUME APOLLINAIRE ANNCE CLANCIER – LES INCERTITUDES DE L'IDENTITÉ PRÉFACE Approche psycanalitique et psychocritique (métaphores obsédantes). L'interrogation angoissé d'Apollinaire débauche sur une construction imaginaire de son identité → recherche, quête du soi. Complexité de sa psychologie, constance de ses idées sur l'art, continuité de son cheminement créateur, cohérence d'une production très variée. OEUVRES: L'Enchantateur pourrissant (centrée sur le personnage de Merlin, issu de

TEXTE COMPLEMENTAIRE Alcools, Apollinaire I) Biographie de l’auteur Guillaume Apollinaire, il passe une partie de son enfance en Italie avant d’être amené par sa mère sur la Côte d’Azur. Ils mènent alors avec sa mère et son frère une vie plutôt dissolue, mais il suit tout de même des études, entre le lycée de Monaco, celui de Cannes, et enfin celui de Nice. C’est cette période qui va lui procurer le goût de la lecture et celui des amitiés cosmopolites. A Paris, il collabore à plusieurs

donc ''sans racines'', où il vit au jour le jour, avec la charité comme tout budget, sans lieu où dormir: « mon auberge était à la Grande-Ourse » est une belle métaphore qui en est l'exemple type. Au XX ème siècle, Apollinaire reprend ce thème de la bohème, avec son poème Saltimbanques où « culture » et « Nature » (CL ) s'opposent, soit vie sédentaire & vie nomade. Le cortège représente le long voyage de ces bohémiens qui ne s'arrête pas.Le thème de la mobilité est présent dans tout le texte.

visuels : la relation d’analogie, la relation d’influence, la relation critique. Il s’agit alors de savoir comment la poésie a pu se « proportionner » à d’autres pratiques, que les écrivains observaient souvent en tant que critiques (Baudelaire, Apollinaire, Breton…), mais aussi d’étudier comment cette « grande comparaison » de la poésie à son ou ses « autre(s) » connaît ellemême une histoire. Si le symbolisme a décidé d’arrimer la poésie du côté de la musique, le surréalisme tend pour sa part à se

historiens de l'art à inventer le terme de « période bleue ». Après une phase de transition, Picasso entre dans sa période rose (1905-1906), où les thèmes abordés sont le cirque, les danseuses, les saltimbanques. Picasso, installé à l’atelier du Bateau-Lavoir, à Montmartre, rencontre Guillaume Apollinaire, qui commente ses œuvres. De 1906 à 1908, il se rapproche de l’œuvre de Cézanne tout en s’intéressant à l’art primitif ibérique et à l’art africain. Cette période correspond également à sa rencontre

visuels : la relation d’analogie, la relation d’influence, la relation critique. Il s’agit alors de savoir comment la poésie a pu se « proportionner » à d’autres pratiques, que les écrivains observaient souvent en tant que critiques (Baudelaire, Apollinaire, Breton…), mais aussi d’étudier comment cette « grande comparaison » de la poésie à son ou ses « autre(s) » connaît ellemême une histoire. Si le symbolisme a décidé d’arrimer la poésie du côté de la musique, le surréalisme tend pour sa part à se

l’encensoir, Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère, Ou, saltimbanque à jeun, étaler tes appas Et ton rire trempé de pleurs qu’on ne voit pas, Pour faire épanouir la rate du vulgaire. Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal La Muse Vénale écrit par Charles Baudelaire est sonnet classique tiré du recueil  »Les Fleurs Du Mal  » en 1857 Chef de section Ma bouche aura des ardeurs de géhenne Chef de Section écrit par Guillaume Apollinaire Ma bouche te sera un enfer de douceur et de séduction (1880-1918)