Apollinaire Le Voyageur

L’albatros », Les Fleurs du mal, 1857. B – Théophile Gautier, « Le pin des Landes », Espanã, 1845. C – Tristan Corbière, « Le crapaud », Les Amours jaunes, 1873. D – Jacques Roubaud, « Le lombric », Les Animaux de tout le monde, 1990. E – Guillaume Apollinaire, « La colombe poignardée » Calligrammes, 1918. Questions m 1. Sur quel procédé stylistique commun reposent les documents A, B, D d’une part, C et E d’autre part? Quel point commun présentent ces deux procédés de style ? En quoi réside la singularité

; « La courbe de tes yeux » de Paul Eluard et « Lou » de Guillaume Apollinaire ) . J'ai choisi ce thème et ces textes car ils me tenaient à cœur et que je trouvais les poèmes très beaux et poétiques. Ces poèmes me faisaient penser à toute l'attention que l'on peut porter à une femme et donc au fait que les poètes en parlaient beaucoup dans leurs poèmes. J'ai choisi l'un des ces quatre poèmes , celui de Guillaume Apollinaire, car la forme de son poème est magnifique et m'a laissé sans voix

de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et

promise, du haut d’un haut col calciné Et ta beauté me foudroie en plein cœur, comme l'éclair d'un aigle. L’adoption de la prose : Gracq, Prose pour l’Etrangère, 1952 : J’ai respiré ton air acide, je suis entré dans ta saison hasardeuse comme un voyageur qui reconnaît les routes à l’heure imprudente où tout craque encore dans la montagne d’avril tigrée de jacinthes et d’avalanches. Tu m’as giflé de ton printemps sans tiédeur, tu m’as ameubli2 de ton sourire enfondu de perce-neige, tu traverses ma

pleurent Toutes leurs larmes en automne feuille à feuille Les feuilles Qu’on foule Un train Qui roule La vie S’écoule Guillaume Apollinaire (1880-1918) Guillaume Apollinaire né le 26aout 1880 à Rome en Italie et meurt le 9 Novembre 1918 à Paris Ce poème "Automne malade" parrut en 1913 dans le receuil "Alcools" « Automne malade « peut se lire comme un testament poétique : Apollinaire a privilégié l’évocation de préférence à la description. Il orchestre des termes familiers qui font de la vie un passage

vos parfums, mon culte à Dieu s’élance, Et jesuis plein d’oubli comme vous de silence! La haine sur mon nom répand en vain son fiel ; Toujours, - je vous atteste, ô bois aimés du ciel! –» #6 : Ce poème appartient au courant littéraire Mai Apollinaire - Alcools Analyse méthodique I. L’ambiguïté du titre A. Le temps qui passe Image centrale : le fleuve, le courant de l’eau entraîne la barque = le courant de la vie + champs lexicaux de la vue et de l’eau par un défilé d’images

Lancement du Titanic | Il termine son premier roman, non publié. | 1913 | Premier tome de A la Recherche du temps perdu de Proust, Du côté de chez SwannAlcools de Apollinaire | | 1914 | Début de la Première Guerre mondiale | Son frère se suicide, Huxley contracte une maladie qui le rend presqu’aveugle et l’empêche de servir durant la Première Guerre mondiale. |

PowerPoint
1 1 LPB/ 1 Guillaume APOLLINAIRE, « Les colchiques », Alcools (1913). Parcours : Modernité poétique ? Introduction En vérité, Apollinaire n’a réellement finalisé et coordonné que deux recueils strictement poétiques : Alcools (1898-1913) publié au printemps 1913 et Calligrammes, Poèmes de la paix et de la guerre, 1913-1916, publié fin 1918. Souvent réduit à un manifeste de la Modernité, Alcools se présente plutôt comme une suite de tableaux variés, plus ou

romantisme, un courant qui a mis en place une figure et tout un code de l'artiste et du poète romantique : un être torturé, empreint de mélancolie, etc. Les meilleurs exemples sont sans contexte Baudelaire, Rimbaud ou Apollinaire. Le tableau le plus représentatif de cette époque est :  Voyageur contemplant une mer de nuage de Friedrich. Le titre est très évocateur. Dans le romantisme, en peinture, on est dans la contemplation et dans la mélancolie. On retrouve principalement des éléments naturels (tel

excursion . Ensuite « Brise Marine » de Stéphane de Mallarmé est un poème lyrique écrit pendant sa jeunesse . Il s’inspire de Baudelaire et crée ensuite « Brise Marine » où il s’évade dans un voyage maritime imaginaire. « Le voyageur » tiré du recueil Alcools de Guillaume Apollinaire. Le poème « Demain dès l'aube » de Victor Hugo Heureux qui, comme Ulysse... Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison