Apollinaire La Porte

Guillaume Apollinaire, de son vrai nom Wilhelm Albert Włodzimierz Apolinary de Wąż-Kostrowicki[1], né le 26 août 1880 à Rome et mort pour la France le 9 novembre 1918 à Paris, est un poète et écrivain français, né polonais, sujet de l'Empire russe. Il est l'un des plus grands poètes français du début du XXe siècle, auteur notamment du Pont Mirabeau. Il a écrit également quelques nouvelles et romans érotiques. Il pratiquait le calligramme (terme de son invention désignant ses poèmes écrits en forme

« Marie » d’Apollinaire extrait d’Alcools, un recueil poétique achevé en 1913 Guillaume APOLLINAIRE, par Marie LAURENCIN Introduction Apollinaire est un écrivain surréaliste qui a écrit de nombreux poèmes comme « Le pont Mirabeau ». Le principe premier du surréalisme est de remettre en cause le totalitarisme esthétique exercé par la beauté classique et de créer de nouveaux rapports entre les mots. Ce mouvement fait appel aux rêves, à l’exploration de l’inconscient et à une originalité

la guerre demeurée dans l’ombre, à travers trois romans dont l’action se déroule précisément à l´Arrière du champ de carnage de la Grande Guerre : Un rude hiver, La Femme assise et Le Diable au corps. Lorsqu’il écrit La Femme assise en 1917, Apollinaire est au Front, subissant de plein fouet les souffrances de la vie dans les tranchées, et pourtant, rien ne semble l’avoir autant inspiré que cette guerre qui finira, indirectement, par le tuer : « La guerre même a augmenté le pouvoir que la poésie

A un moment ou le livre illustré est dans l’impasse, Apollinaire affirme « Et moi aussi je suis peintre ». Il publie les Calligrammes, titre naît du néologisme entre « idéogramme » et « calligraphie », poèmes linéaires et poèmes calligrammatiques s’entrecroisent plus ou moins habités par un contexte douloureux de la Première Guerre Mondiale. Le critique Marcel Raymond les qualifie de « jeu littéraire le plus gratuit », il réduit Apollinaire à un« descripteur » ou un « poète de circonstance » qui

référence ivresse ( zone et Vendémiaire ) la soif, le désir de consommer la vie, curiosité, d’enthousiasme, de désir intense. Apollinaire Naît en 1880, meurt en 1918, à 38 ans, dans l’épidémie de grippe espagnole qui ravage Paris. Après avoir été soldat dans l’artillerie à la Grande guerre, blessé à la tête et trépané en 1916. ZONE Conclusion intitulé “Cri” puis Apollinaire choisit ‘’Zone’’. veut pas un cri de désespoir personnel. «zone», :Le titre pourrait aussi désigner un espace toujours indécis

je vous donne... » Hugo : « Un groupe tout l’heure... » Apollinaire : Le Bestiaire (Extraits) Rilke : « Beau papillon près du sol... » Végétal Jodelle : « J’aime le vert laurier... » Saint-Amant : Le melon Ville Bellay : « Nouveau venu qui cherches... » Coppée : « Je suis un pâle enfant du vieux Paris... » Cros : Plainte Quotidien Magny : « Assieds-toi là, Guyon... » Bellay : « Tu ne me vois jamais... » Apollinaire : Zone Objets Scève : « Tu es, Miroir... » Rimbaud

LECTURE ANALYTIQUE 1 : « Zone » de Guillaume Apollinaire dans Alcools (1913) INTRODUCTION: CONTEXTE : Apollinaire est un critique d'art, c'est un ami des peintres, un farouche défenseur du modernisme artistique, précurseur du surréalisme. Alcools est publié en 1913. OEUVRE : C'est un recueil qui fait part du regard de l'auteur sur le monde qui l'entoure, ainsi que ses réflexions personnelles. Désigne de façon métaphorique tous les « Alcools » (majuscule et pluriel) qui peuvent enivrer , soulager

La poésie de la modernité |Apollinaire - Alcools (1913) : “Automne malade” | | |De Ronsard à Prévert, en passant par Chateaubriand, Baudelaire et Verlaine, l’automne a inspiré des générations de poètes. Né, quant à lui, sous le signe de la | |Vierge qui marque le début de l’automne, Apollinaire a fait de cette saison, associée souvent au temps qui passe, à la mort, aux souffrances de l’amour et, | |partant, aux fins des amours, sa saison privilégiée. Il s’écrit d’ailleurs : « Mon automne éternelle

l'éconduit dans Annie, La Chanson du mal-aimé, L'Émigrant de Landor Road, Rhénanes2. Entre 1902 et 1907, il travaille pour divers organismes boursiers et parallèlement publie contes et poèmes dans des revues. Il prend à cette époque pour pseudonyme Apollinaire d'après le prénom de son grand-père maternel, Apollinaris, qui rappelle Apollon, dieu de la poésie9. En 1907, il rencontre l'artiste peintre Marie Laurencin, avec qui il entretient une relation chaotique et orageuse. À cette même époque, il commence

Introduction: De Ronsard à Prévert, en passant par Chateaubriand, Baudelaire et Verlaine, l'automne a inspiré des générations de poètes. Né, quant à lui, sous le signe de la Vierge qui marque le début de l'automne, Apollinaire a fait de cette saison, associée souvent au temps qui passe, a la mort, aux souffrances de l’amour et, partant, aux fins des amours, sa saison privilégiée. ll s’ecrit d’ailleurs : << Mon automne éternelle ô ma saison mentale ». Dans le poème << Signe >>, il rappelle cette