Aparté

Spectateur = complice et témoin Le principe de la double énonciation; conventions propres au théâtre avec l’exposition qui donne aux spectateurs tous les renseignements nécessaires à la compréhension des événements avec l’usage des monologues ou des apartés, qui dévoilent les pensées des personnages montre bien que le spectateur est proche de la pièce. Le texte D du corpus, en est la preuve, où nous sommes dans un prologue qui s'adresse aux spectateurs et qui nous résume, décrit et présente la situation

et le Comte tentent chacun de manipuler l’autre et prennent le public à témoin.Le passage étudié s’ouvre ainsi sur deux apartés, l’une du Comte, l’autre de Figaro :« “LE COMTE, à part : Il veut venir à Londres, elle n’a pas parléFIGARO, à part : Il croit que je ne sais rien” ».Le public est donc mis dans la confidence et jouit de savoir ce que l’autre personnage ignore.Ces apartés, parce qu’elles reviennent au cours de la scène, font du public une sorte de troisième partenaire :« “LE COMTE : A la fortune

Différence entre aparté et ce qu'elle dit Silvia ne se laisse pas aller à ses sentiments, elle met un masque pour ne pas succomber. L'amour joué- L'amour comme émotion. 1) La naissance de l'amour 1. Le trouble des personnages Pour silvia le trouble transparait essentiellement dans ses apartés : « mais en vérité voilà un jeune homme qui me surprend malgré que j'ai », «  à la fin je crois qu'il m'amuse », « malgré tout ce qu'il m'a dit, me voilà encore et je repond ». Ces aparté témoignent de

but et perd du terrain. Le comique résulte du fait que Silvia est prise au piège de ses sentiments. I Le jeu de l'énonciation 1) Le jeu des apartés Du début à la fin, on a un double discours : un discours dit "normal " et l'autre à part. Les apartés sont équilibrés. Les deux personnages utilisent chacun des apartés. D'ailleurs, la scène commence par un aparté. Ces deux discours ont leur cohérence c'est-à-dire un discours pour soi-même et un discours pour l'autre mais ils sont contradictoires. Il

spectateur est complice de Dorine. 1. Elle se moque de la fausse pudeur de Tartuffe et le ridiculise - elle n'est pas sensible à ses "charmes" - elle s'étonne de cette pudeur extrême 2. Elle communique son ironie au spectateur - s'adresse à lui en aparté. - maîtrise l'entretien: sortie de scène et arrivée d'Elmire haire offusqué pour montrer un véritable attachement à sa religion F.U.Y.A C2C I. Tartuffe: un hypocrite qui tente de cacher sa vraie nature sans y parvenir. 1. Affiche sa piété et

gewacht h. zouden gewacht h. Subjonctif Imparfait Plus-que-parfait Présent Passé Ik Jij Hij Wij Jullie Zij wachtte wachtten Ik Jij Hij Wij Jullie Zij had gewacht hadden gewacht Geen aparte vertaling; wordt vertaald als indicatif Geen aparte vertaling; wordt vertaald als indicatif Impératif Futur Simple Futur antérieur Présent Ik Jij Hij Wij Jullie Zij zal wachten zullen wachten Ik Jij Hij Wij Jullie Zij zal gewacht h. zullen

mise en abîme(= forme qui contient en elle-même cette forme. Ici, une scène de comédie s’invite dans une pièce comique) est alors observable. Le double jeu se poursuit tout au long de la scène et ce grâce aux apartés . Nous découvrons une Araminte sévère et implacable. Araminte joue ici de son autorité de maîtresse vis-à-vis de Dorante : c’est en qualité de maîtresse qu’elle le sollicite. Dorante a demandé un entretien : il craint pour son

Épreuve de français Page 2/5 REPÈRE : 14DNBGENFRME1Corr. 6. Selon vous, à qui Françoise s’adresse-t-elle dans les apartés ? (1,5 point) Françoise s’adresse de manière générale au public, à qui elle fait partager ses souvenirs de deux manières : un monologue qu’elle livre en aparté et un dialogue avec Paul qui rend présente aux spectateurs la scène de séparation. Certains apartés sont explicitement adressés au public : « En mai 1942, vous savez… » (ligne 13), d’autres moins, et on peut aussi comprendre

didascalie de la ligne 8Le rapport de Dorante à Araminte est issu de l’obéissance. En effet il répond toujours de manière courte ce qui montre sa sujétion. La jeune femme poursuit ses apartés et commente l’action et les réactions du jeune homme alors que celui-ci est au courant de rien. De même Dorante dans son aparté de la ligne 10 s’en prend de façon virulente à son ancien valet Dubois comme l’exprime l’interjection et le signe exclamatif de la même ligne.Araminte poursuit toujours son jeu cruel

l’inverse de ce qu’il voulait dire. Les apartés Pour Figaro, l’aparté sert à montrer sa stratégie et comme il sait plus de chose que son maître, il veut le prendre à son propre piège. ("il croit que je ne sais rien"). Pour le comte, au contraire, les apartés mettent en évidence ses préoccupations : Suzanne ne semble pas avoir parlé. Le comte est rassuré ("il veut venir à Londres"), mais cette confirmation va être remise en cause. Grâce aux apartés, chaque personnage essaie d’entraîner le public