Antonins

SUJET : « Pensez-vous que le théâtre, en Occident, soit uniquement un « théâtre de la parole » comme le déplore Antonin Artaud ? Vous répondrez en vous appuyant sur les textes qui vous sontproposés ici, sur ceux que vous avez étudiés en classe, sur vos lectures personnelles ou les spectacles auxquels vous avez pu assister. » Antonin Artaud déplore un théâtre occidental qui ne soit au fonddépendant que de la parole. Pour lui, il en devient « limité ». La parole en question est en fait autant

Hadrien Hadrien est né le 24 janvier 76 à Italica et est mort le 10 juillet 138 à Baïes. Il était un empereur romain de la dynastie des Antonins et a régné de 117 jusqu'à sa mort, en 138. Il a succédé Trajan, son père adoptif et a précédé Antonin le pieux. Sa mère, Dominant Paulina, est d'origine espagnole et son père, Aelius Hadrien, vient d'Adria en Vénétie. Après s'être installé en Italie, sa famille reçue la citoyenneté grâce à la gens Dominitia. A 10 ans, Hadrien perd son père. Il est donc

après une lutte acharnée, sont acheminés, et massacrés par milliers. Les quelques milliers de survivants, qui comprennent Antonin et Spartacus, sont prises à Rome pour être crucifié. Crassus trouve alors Varinia avec son bébé nouveau-né sur le champ de bataille et sa lie d'amitié. Il échoue dans une tentative de séduire et, par malice, les commandes que Spartacus et Antonin sont à s'engager dans une lutte à mort et le survivant sera crucifié.

privée: Lucius Septimius Bassianus ou Caracalla est né en l'an 188 alors que son père, était gouverneur de la Gaule Lyonnaise (sous l'empereur Commode). Quand il eut 7 ans, il fut renommé Marcus Aurelius Antoninus pour le rapprocher de la famille des Antonins. Caracalla n'est en fait qu'un surnom moqueur, dû au type de manteau qu'il a popularisé, et il ne fut jamais utilisé officiellement. Son père devint empereur en 193. En 198, il fit nommer Caracalla empereur, à ses côtés. Il lui fit épouser à 14 ans

entière, millénaire il était déjà de mise sous l'antiquité grecque. Tour à tour tragédie, comédie et drame, le théâtre connu de nombreux changements, mais son but étant toujours le même, avoir le double effet de distraire et éduquer, voire dénoncer. Antonin Artaud dans Le Théâtre et son double, avance que " cf citation " et pose alors la question fondamentale de l'élément fondamental du théâtre, indispensable… Le théâtre peut il donc remplir sa double mission, et donc une pièce peut elle être parfaite

tribunicienne. Octave : premier empereur et transformation de l’administration romaine, de la politique et de l’esprit romain. Antonin : 4 empereur des Antonins qui a donné son nom à cette dynastie. Nerva en fait partie : il essaie de poursuivre l’œuvre d’Auguste : le pouvoir est ferme et il donne plus de pouvoir au Sénat. Trajan fait aussi partie des Antonins : il développe les postes militaires et son empire est guidé par un stoïcisme officiel, il rassemble les pouvoirs pour gagner plus de

Proposition d´introduction, de plan et de conclusion pour une dissertation sur la citation d´Antonin Artaud : Le théâtre occidental, né en Grèce, est avant tout un texte littéraire s´adressant à l´esprit : beau langage, qualités poétiques, mise en valeur de la psychologie des personnages à travers les dialogues, c´est ainsi que Shakespeare, Lope de Vega ou Racine lui ont donné ses lettres de noblesse. Ce n´est qu´à la fin du 19ème siècle qu´André Antoine ou Edward Gordon Craig vont donner aux pièces

La généralisation de la citoyenneté romaine : Edit de Caracalla (212) Papyrus de Giessen (Ed. P-F Girard, Texte de droit romain, II, Camerino, pp.47-490, trad. J. Gaudemet, Instit. De l’Antiquité, p.309) L’empereur César Marc Aurèle Sévère Antonin (dit Caracalla) a dit « Maintenant, donc…Il vaut mieux, en repoussant les plaintes et les libelles, rechercher comment je peux rendre grâce aux dieux immortels de m’avoir conservé sain et sauf…par une telle victoire. C’est pourquoi je pense pouvoir

sont fait par les acteurs qui l’incarnent (notion de « rôle » institutionnel). Ces usages font l’objet de luttes internes pour la définition légitime de l’institution. Repères bibliographiques - Delphine Dulong, « Les institutions politiques », dans Antonin Cohen et al. (dir.), Nouveau manuel de science politique, Paris, La Découverte, 2009, p. 358-373. - Brigitte Gaiti et Frédéric Sawicki, « On ne subit pas son rôle. Entretien avec Jacques Lagroye », Politix, vol. 10, n° 38, 1997, p. 7-17, disponible

le même titre par Régis Wargnier) ; ▪ La Peste noire de Gilbert Bordes ; ▪ Le théâtre et la peste in Le théâtre et son double de Antonin Artaud ; ▪ Les pestiférés in Le temps des amours de Marcel Pagnol. ▪ Un monde sans fin de Ken Follett (2008) ▪ Narcisse et Goldmund de Hermann Hesse ▪ Le grand livre de Connie Willis ▪ Le théâtre et son double de Antonin Artaud Évocations picturales : Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa d'Antoine-Jean Gros. ▪ Peintures murales de l'église