Antienne

par la musicalité du poème. II Un poème musical « Romances » a) Champ lexical : Ariette = air léger (vaudevilles/opérettes //Favart librettiste, directeur d’opéra comique) « chœur » v6 ensemble de personnes qui chantent ensemble « voix » v6 « antienne » v17 refrain repris par le chœur dans une église entre chaque verset d’un psaume ( musique à la fois profane et religieuse (cf. religieux//extase : fait d’être hors de soi) b) un chemin vers le silence Les sonorités (liquides + fricatives du 1°

délivrer, le glorifier, de longs jours le rassasier. (Antienne d'ouverture 1 dimanche, Psaume 90, 15-16) er Accorde-nous, Dieu tout-puissant, tout au long de ce Carême, de progresser dans la connaissance de Jésus-Christ et de nous ouvrir à sa lumière par une vie de plus en plus fidèle. (Prière d'ouverture, 1 dimanche) er Ce n'est pas seulement de pain que l'homme doit vivre, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. (Antienne de communion 1 dimanche, saint Matthieu 4, 4) er

ressemble au cri doux Que l'herbe agitée expire... Tu dirais, sous l'eau qui vire, Le roulis sourd des cailloux. Cette âme qui se lamente En cette plainte dormante C'est la nôtre, n'est-ce pas ? La mienne, dis, et la tienne, Dont s'exhale l'humble antienne Par ce tiède soir, tout bas ? Analyse : I) Un paysage ? A. Le champ lexical On relève des termes tels que "bois", "brises", "ramures", "petites voix" qui sont celles des oiseaux, "gazouille et susurre", "herbe", "eau", "cailloux", "plaine" ou

ressemble au cri doux Que l’herbe agitée expire… Tu dirais, sous l’eau qui vire, Le roulis sourd des cailloux. Cette âme qui se lamente En cette plainte dormante C’est la nôtre, n’est-ce pas ? La mienne, dis, et la tienne, Dont s’exhale l’humble antienne Par ce tiède soir, tout bas ? Paul Verlaine Romances sans paroles, Ariettes oubliées, I. « C’est l’extase langoureuse » ouvre le recueil des Romances sans paroles de Verlaine. Le titre de ce recueil paru en 1874 est emprunté à un vers

ressemble au cri doux Que l'herbe agitée expire.. Tu dirais, sous l'eau qui vire, Le roulis sourd des cailloux. Cette âme qui se lamente En cette plainte dormante C'est la nôtre, n'est-ce pas ? La mienne, dis, et la tienne, Dont s'exhale l'humble antienne Par ce tiède soir, tout bas ? Nous avons choisi ce poème pour évoquer la fusion d'un état d'âme et d'un paysage par les synesthésies. Nous allons en faire une étude linéaire. Verlaine débute son poème avec un certain bonheur

peut aussi parler de la bêtise des moutons , moutons qui avaient pour antienne comme dit plus haut avec la fantaisie : « Quatrepattes , oui , Deuxpattes , non ! » Antienne qui , à la base , était une manière de montrer que c’était les animaux qui étaient privilégiés qui devaient avoir le pouvoir (les quatrepattes connotant les bêtes qui marchent à quatre pattes , donc les animaux , et deuxpattes les hommes bipèdes.) Antienne qui est finalement devenue une sorte d’habitude de language chez ces moutons

trois fois le verset : « Seigneur, tu ouvriras mes lèvres, et ma bouche annoncera ta louange. » 2 On y joindra le Psaume III et le gloria. 3 Après cela, le Psaume XCIIII avec antienne, ou du moins chanté d'un trait. 4 Alors suivra l'ambrosien ; ensuite six psaumes avec antiennes. 20 5 Quand on les aura dits, et qu'on aura dit le verset, l'abbé bénira, tous s'assiéront sur les bancs et des frères liront tour a tour dans un livre posé

Cette âme qui se lamente En cette plainte dormante C’est la nôtre, n’est-ce pas ? La mienne, dis, et la tienne, Dont s’exhale l’humble antienne Par ce tiède soir, tout bas ? Paul Verlaine Romances sans paroles, Ariettes oubliées, I. « C’est l’extase langoureuse » ouvre le recueil des Romances sans paroles de Verlaine. Le titre de ce recueil paru en 1874

d'évoquer durant deux strophes, qui est donc celle de la nature et celles des amants ? Ces derniers, évidemment, ne répondent pas, mais c'est à nous de le faire en nous remémorant l'ensemble du poème : par ce tiède soir, l'humble {text:soft-page-break} antienne qui s'exhale tout bas, c'est, on peut le penser sans crainte de faire erreur, le chant de l'âme humaine à travers les amants, mais aussi celui de la nature, du paysage intériorisé qui pourtant préexiste à l'humain. Le poème, ne l'oublions pas

au cri doux Que l'herbe agitée expire.. Tu dirais, sous l'eau qui vire, Le roulis sourd des cailloux. Cette âme qui se lamente En cette plainte dormante C'est la nôtre, n'est-ce pas ? La mienne, dis, et la tienne, Dont s'exhale l'humble antienne Par ce tiède soir, tout bas ? Femmes endormies dans une barque sous les saules de John Singer J’ai choisi ce tableau Femmes endormies dans une barque sous les saules de John Singer Sargent car je pense que c’est une bonne description