Andromaque Doit Epouser Pyrrhus

feutre d'homme et aux chaussures d'or. Il vient vers elle lentement. C'est visible, il est intimidé. 11 ne sourit pas du tout d'abord. Tout d'abord il lui offre une cigarette. Sa main tremble. Il y a cette différence de race, il n'est pas blanc, il doit la surmonter, c'est pourquoi il tremble. Elle lui dit qu'elle ne fume pas, nono merci. Elle ne dit rien d'autre, elle ne lui dit pas de laisser tranquille. Alors il a moins peur. Alors il lui dit qu'il croit rêver. Elle ne répond pas. Ce n'est pas

l’apprentissage (exercices à trous, réécritures diverses) et l’évaluation. Les réalisations écrites des élèves donnent lieu à observation, interrogation sur les causes d’erreur, élaboration d’une typologie et mise en place de remédiation. L’usage du dictionnaire doit être une pratique constante des élèves. 14 • Programme SÉQUENCE 1 Le récit (1) : chronologie et durée Objectifs et contenus Les deux premières séquences du manuel ont pour objectif général la révision des principaux acquis concernant

de la sagesse. Elle est née au V° siècle avant J.-C., avec un Grec : Socrate. Avant lui, c’était ce qu’on appelle les penseurs pré-socratiques dont trois se signalent : Héraclite, Parménide et Pythagore. Plus physiciens que philosophes, on leur doit l’apparition de nouvelles sciences : les maths, physique, astronomie, puisqu’ils s’intéressent beaucoup à l’homme, à l’univers et à la place de l’homme sur terre. Cette période pré-socratique est ce qu’on appelle la période du miracle grec. Socrate

déroule sur scène. Ses personnages sont illustres et vivent des combats, des passions, des douleurs exceptionnels auxquels leur position de prince apporte une dimension collective . La fin funeste du personnage, inévitable sanction de ses erreurs, doit susciter chez le spectateur des sentiments de pitié et de terreur, et opérer la purgation de ses propres passions("catharsis"). Les grands noms de la tragédie grecque : Lecture n°1 Sophocle, Antigone Les deux frères qui luttaient pour le trône

provoquent la péripétie qui à son tour suscite l’événement pathétique et les passions qui lui correspondent et qui mettent en scène « les agonies (…), les douleurs très vives5, (…) ». La péripétie qui est « retournement de l’action en son sens contraire6 », doit entraîner l’événement pathétique et ses passions douloureuses : E poi dice quali sono le passioni dolorose, e per quali persone debano avenire, e ultimamente quale riconoscenza sia più da lodare. Si che sono cinque cose principali delle quali parla

Lancelot ou le Chevalier à la Charrette (1177) : Lancelot pour plaire à la reine Guenièvre, épouse du roi Arthur, ne cesse de mettre sa vie en péril. Il consent même au risque de se déshonorer à monter sur la charrette infamante des prisonniers. - Yvain ou le chevalier au Lion (1177) : Yvain, chevalier d’Arthur, tenté par l’aventure chevaleresque a délaissé son épouse Landrine. Pour regagner son coeur, il doit accomplir une série d’épreuves. Un lion qui l’a sauvé l’accompagne dans les dangers.

acteurs sur la scène et décrivent leurs déplacements. L’indication « seul » souligne que Caboussat ne commence à parler qu’après que Jean est complètement sorti de scène. Le chou et la betterave sont les deux accessoires nécessaires dont l’acteur doit jouer et que le metteur en scène et le décorateur peuvent mettre plaisamment en valeur. « Embarrassé » et « regardant autour de lui » suggèrent des mouvements tandis que les didascalies « appelant », « tristement », « avec inquiétude » donnent le

oeuvres littéraires – des plus platoniques avec Jean-Jacques Rousseau aux plus épicées avec le marquis de Sade, en passant par les dangereuses perversions de Choderlos de Laclos. Le bonheur, on l’espère vraiment en ce siècle dit « des Lumières », qui doit libérer l’homme grâce au progrès. Diderot entreprend et réussit une oeuvre colossale : l’Encyclopédie des savoirs ! Le savoir, c’est le terreau de la pensée contestataire qui se développe dans les clubs, les salons : Montesquieu le Bordelais, Voltaire

œuvres littéraires – des plus platoniques avec Jean-Jacques Rousseau aux plus épicées avec le marquis de Sade, en passant par les dangereuses perversions de Choderlos de Laclos. Le bonheur, on l’espère vraiment en ce siècle dit « des Lumières », qui doit libérer l’homme grâce au progrès. Diderot entreprend et réussit une œuvre colossale : l’Encyclopédie des savoirs ! Le savoir, c’est le terreau de la pensée contestataire qui se développe dans les clubs, les salons : Montesquieu le Bordelais, Voltaire

réaliste, voulant « rendre » la complexité de la vie. Les acteurs ne sont plus matelassés, ils s’assoient. Les masques virent au naturalisme. Le chœur s’efface. Dix neuf pièces sur quatre vingt treize nous sont parvenues. Parmi elles : Hippolyte, Andromaque, Oreste, Electre : tragédies « psychologiques. Produisent une émotion d’ordre passionnel et non plus moral. (cf. notre 17ème siècle avec Racine). La tragédie. Aucune scène d’amour dans la tragédie grecque. Destin : on parle du « fatum »