André Portier

il faut être fou, aveugle ou lâche pour se résigner à la peste. » Et quand Tarrou lui objecte que ce sont des « victoires provisoires », il répond : « Toujours, je le sais. Ce n'est pas une raison pour cesser de lutter. » Dans La Condition humaine, André Malraux construit, quant à lui, la figure du héros révolutionnaire à travers les personnages des jeunes communistes chinois que sont Kyo ou encore son compagnon Katow. Ce dernier se sacrifie, en donnant sa dose de cyanure aux deux camarades prisonniers

interrogerez sur la notion de « héros » Le corpus qui nous est présenté comporte cinq textes : un extrait du chapitre 2 du roman Candide de Voltaire écrit en 1759 ; un extrait du roman de Stendahl de 1894 Lucien Leuwen ; un extrait de L'espoir écrit par André Malraux en 1937 ; un extrait de Molloy de Samuel Beckett en 1951 et enfin un extrait de Le procès verbal de Jean-Marie-Gustave Le Clézio écrit en 1963. Dans ces cinq textes ressort la notion de héros que nous allons étudier à travers les personnages

Tout romancier se doit de prendre soin de bien écrire le début de son roman, si celui-ci ne possède pas certaines qualités, le lecteur pourrait arrêter sa lecture brutalement ne trouvant pas d’intérêt à la poursuivre. Mais quelles qualités doit posséder un début de roman pour captiver le lecteur et lui donner ainsi envie de poursuivre le roman ? Une réponse à cette question peut être trouvée en abordant l’interaction de l’auteur avec le lecteur, la création d’un lien entre le lecteur et le personnage

beaucoup à l’anatomie ? Et le Moyen-âge ? Pourquoi ? Oui l’allemand Paracelse (1493-1541) est le premier qui manifesta sa préférence pour une « médecine naturelle et empirique » à celle des anciens textes. Ensuite on suivit de grand noms tel que André Vésale (1514- 1564) qui est l’un des plus grand anatomiste. Ambroise Paré (1509-1590) (il substitua la ligature des artères à la cautérisation traditionnelle des plaies), le médecin italien Fracastor (1478-1553) conçut la « théorie de la contagion »

INTRODUCTION de l'analyse littéraire : Cet incipit est extrait de la condition humaine, et a été écrit par MALRAUX en 1933. Malraux est un auteur d'absurde qui est né en novembre 1901 à PARIS et mort en novembre 1976. Son œuvre est très partisane, il a en effet lutté durant sa vie contre le fascisme notamment. Dans cette scène, un personnage nommé Tchen s'apprête à en tuer un autre endormi, et nous avons ici sa réflexion intérieure. Cette œuvre s'inscrit dans le même mouvement que l'étranger

contributions de chercheurs, d’acteurs associatifs, économiques ou culturels ou de responsables municipaux… On trouvera dans ce supplément du magazine Techni.Cités le résultat de cet exercice qui propose un certain « état de l’art » sur la question. André Rossinot maire de Nancy président de la FNAU Le réseau technique de la FNAU rassemble 1400 professionnels, très au fait des réalités locales. La fédération leur permet de disposer d’un espace de rencontre et d’un réseau d’échanges où ils peuvent

rupture Dès 1924, André Breton dans le manifeste du surréalisme exprime ses griefs contre le roman en particulier et contre la psychologie des personnages, par ex : Le paysan de Paris d’Aragon est une espèce de roman qui enfreint toute les règles traditionnelle du genre : la structure en chapitre est brisée et tout concourt à la recherche du choc poétique B- La continuité Le 19e siècle semble se maintenir (à la recherche du temps perdu, Proust) Il faudra attendre André Gide pour qu’apparaisse

La Condition Humaine (Malraux)   « La mort de Kyo » Après son arrestation , Kyo, blessé, attend une mort prochaine dans les flammes de la locomotive. Malraux nous livre donc ici une double réflexion, celle de Kyo tout d’abord ( et celle de Katow ensuite ) : quelle est notre position en temps qu’être humain par rapport à la mort, et comment en supporter sa lourde charge ? I. VISION DE LA MORT • On trouve dans ce texte une omniprésence de la mort, avec notamment

CNR Ses cendres sont déposés le 19 décembre 1964 au Panthéon , a l'initiative du général de Gaulle et du ministre des Affaires culturelles, sous le regard de la famille et beaucoup des anciens Résistants . Le ministre des Affaires culturelles André Malraux lui rendra hommage lors d'un discours ainsi qu'a tous les hommes de la Résistance .

rétablissement moral ne pouvaient à leurs yeux masquer. Hormis les figures tutélaires de Rimbaud et de Lautréamont, ils ne trouvaient guère dans le paysage littéraire français de l'époque beaucoup de ces « individus pour qui l'art avait cessé d'être une fin » (André Breton). À côté des symbolistes, de Saint-Pol-Roux et d'Apollinaire dont Breton avait médité le manifeste-programme intitulé L'Esprit nouveau (1917), de Pierre Reverdy dont la revue Nord-Sud accueillera ses textes, il n'y avait guère que Pierre-Albert