Analyse Swot Adidas

demande TROISIÈME PARTIE L’ÉLABORATION DE LA STRATÉGIE MARKETING 6 L’ANALYSE DES BESOINS PAR LA SEGMENTATION 1 La macro-segmentation 1.1 La conceptualisation du marché de référence 1.2 Les structures du marché de référence 1.3 L’utilité d’une analyse de macro-segmentation 187 189 190 191 192 194 198 199 200 201 204 206 208 210 210 211 212 2 La micro-segmentation 2.1 2.2 2.3 2.4 2.5 2.6 2.7 La segmentation et la différenciation Les étapes de la démarche : segmentation-ciblage-positionnement

L’ÉLABORATION DE LA STRATÉGIE MARKETING 6 187 L’ANALYSE DES BESOINS PAR LA SEGMENTATION 189 1 La macro-segmentation 190 1.1 La conceptualisation du marché de référence 1.2 Les structures du marché de référence 1.3 L’utilité d’une analyse de macro-segmentation 2 La micro-segmentation 2.1 2.2 2.3 2.4 2.5 2.6 2.7 La segmentation et la différenciation Les étapes de la démarche : segmentation-ciblage-positionnement La segmentation par avantages recherchés La segmentation

relations presse • Marketing sectoriel : marketing du luxe, marketing du sport, marketing culturel, marketing des achats • Comportement du consommateur OPTION MANAGEMENT FINANCIER Marchés financiers Comptabilité approfondie • Comptabilité des sociétés • Analyse financière • Droit des affaires • • Jérémy LEPAUL-BINET • Promo 2008 «La première année de MBA ESG m’a permis d’acquérir de solides connaissances et une culture “business” que j’ai pu tout de suite mettre à contribution lors d’un stage de six mois

auxquelles le luxe doit répondre, afin de dresser le portrait du « Nouveau Luxe ». Puis, dans une deuxième partie, nous analyserons l‟importance de l‟image de la marque de luxe ainsi que les enjeux de la démocratisation de son offre, pour enfin faire une analyse des outils de marketing utilisés par le secteur afin de faire face aux mutations du marché. 1. Le luxe entre exclusivité et accessibilité a- Le luxe et son histoire « Qu’est-ce que le luxe ? C’est un mot sans idée précise, à peu près comme

concurrence à travers son image. 23 L’image de marque renvoyant généralement à des bénéfices produits sur le consommateur, elle constitue un levier important dans le processus d’achat. LAI (2009, p.54-55) reprend les travaux de Michel RATIER pour analyser l’image de marque dans l’esprit du consommateur. En effet, pour lui l’image de la marque dans l’esprit du consommateur est contrôlée par un double système qui est à la fois composé d’un noyau central et d’un système périphérique. Le noyau central

pour une entreprise, on anticipe forcément sur l’avenir de l’entreprise, son projet, ses valeurs, son territoire, ses produits. Le design systémique relie également les disciplines classiques du design à des sciences diverses comme l’anthropologie (analyse des comportements) ou l’ergonomie, avec des outils nouveaux (Internet…), des attitudes sociales nouvelles (développement durable, aide aux pays en voie de développement). Le designer, dans ce contexte, quitte son statut de simple dessinateur et son

une entreprise, on anticipe forcément sur l’avenir de l’entreprise, son projet, ses valeurs, son territoire, ses produits. Le design systémique relie également les disciplines classiques du design à des sciences diverses comme l’anthropologie (analyse des comportements) ou l’ergonomie, avec des outils nouveaux (Internet…), des attitudes sociales nouvelles (développement durable, aide aux pays en voie de développement). Le designer, dans ce contexte, quitte son statut de simple dessinateur et

l’entreprise à prendre des décisions d’externalisation. La multiplication des décisions d’externalisations entraîne mécaniquement des procédures de recherche des meilleurs fournisseurs aboutissant sur des relations auprès de prestataires. Après avoir analysé la valeur qu’elle peut dégager d’activités essentielles de l’amont à l’aval de la production (la conception, les achats, la production, la distribution, la vente, le service après vente), l’entreprise, dans une démarche inspirée des travaux de

l’entreprise à prendre des décisions d’externalisation. La multiplication des décisions d’externalisations entraîne mécaniquement des procédures de recherche des meilleurs fournisseurs aboutissant sur des relations auprès de prestataires. Après avoir analysé la valeur qu’elle peut dégager d’activités essentielles de l’amont à l’aval de la production (la conception, les achats, la production, la distribution, la vente, le service après vente), l’entreprise, dans une démarche inspirée des travaux de Ronald

décisions stratégiques sont prises en situation d’incertitude. Exemple : L’éditeur américain de jeux Electronic Arts (EA) ne s’est pas allié à Nintendo et n’a pas produit de jeux pour les consoles DS et Wii. « EA a commis l’erreur de ne pas y croire », analyse Pierrick Fay, un blogueur spécialiste de jeux vidéo. EA a enregistré une perte de plus de un milliard de dollars pour l’exercice 2008-2009 alors que les ventes mondiales de jeux ont augmenté de 18 % dans la même période, notamment grâce au succès