Analyse Spleen Et Ideal

nettement dans la dernière question avec les deux exclamations : « Eh ! … donc »L'identité de l'étrangerSens de l'article défini dans le titre :Un effet puissant de chiasme entre le début et la fin :- dès le début un homme énigmatique : difficile donc à analyser, à comprendre- à la fin un « extraordinaire étranger » : redondance qui marque la distance (sens de étranger, sens de extraordinaire) : irritation ? admiration ?Un écart entre le questionneur fictif qui ne semble pas percer le mystère et nous lecteur

Analyse de Poème Vocabulaire : Éthers : Par delà l’univers Confins : limites d'un pays, zones situées à ses frontières Pâme : s’évanouir Indicible : Qu’on ne peut exprimer par des mots. Volupté : Jouissance intellectuelle. Plaisir des sens. Miasmes morbides : Microbe ou virus, Histoire sordide, discours empoisonnés Essor : Progrès, développement Eléments de versification : Alexandrin, avec césure médiane dans la sixième syllabe ; division du vers en deux parties appelé hémistiches

commun, celui d’un espace idéal envisagé comme métaphore de l’amour parfait et de la femme aimée. ? Le poème en prose pousse plus loin l’identification de la femme aimée et du pays idéal que ne le fait le poème en vers, même si ce dernier l’annonce dès le 6ème vers : « Au pays qui te ressemble ». ? Le poème en prose figurant dans Le Spleen de Paris insiste plus nettement aussi sur le caractère illusoire de cette rêverie poétique. ? Problématique : en quoi le pays idéal décrit dans le texte fonctionne-t-il

nous analyserons comment est perçue la mort par le personnage, puis nous étudierons de quel manière la mort devient méliorative, et pour finir nous verrons les clefs qui nous aident à comprendre le texte ; Dans un premier temps, nous allons analyser la perception de la mort par le personnage. Ce poème est un sonnet en alexandrins, ce qui nous montre d'ores et déjà que le sujet traité est un sujet sérieux. Les quatrains sont formés de vers en rimes croisés où l'alternance des rimes masculines

dernière question avec les deux exclamations : « Eh ! … donc » L'identité de l'étranger Sens de l'article défini dans le titre : Un effet puissant de chiasme entre le début et la fin : - dès le début un homme énigmatique : difficile donc à analyser, à comprendre - à la fin un « extraordinaire étranger » : redondance qui marque la distance (sens de étranger, sens de extraordinaire) : irritation ? admiration ? Un écart entre le questionneur fictif qui ne semble pas percer le mystère et nous

une description du narrateur et du lieu où il se trouve, il plonge ensuite dans des rêveries hyperboliques pour enfin redescendre sur terre. Ainsi le poète nous fait partager ses émotions et ses sentiments sur la vie qu'il mène. Au cours de notre analyse nous allons tenter de voir de quelle manière l'auteur nous dévoile-t-il ses sentiments pour répondre à cela nous étudierons les différentes étapes émotionnel dans lesquelles le poète passe et pour finir nous observerons son retour à la réalité.

dans la dernière question avec les deux exclamations : « Eh ! … donc » L'identité de l'étranger Sens de l'article défini dans le titre : Un effet puissant de chiasme entre le début et la fin : - dès le début un homme énigmatique : difficile donc à analyser, à comprendre - à la fin un « extraordinaire étranger » : redondance qui marque la distance (sens de étranger, sens de extraordinaire) : irritation ? admiration ? Un écart entre le questionneur fictif qui ne semble pas percer le mystère et nous lecteur

Baudelaire, Les Fleurs du mal, dans : Œuvres complètes, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, 1961, p. 20. Attention ! Le commentaire composé étant une épreuve d’analyse synthétique d’un texte littéraire, il ne peut se confondre avec une analyse linéaire ; c’est-à-dire avec une explication linéaire du texte. L’analyse linéaire est le moment préalable au commentaire composé ; elle permet : de repérer les difficultés lexicales, sémantiques et syntaxiques qui pourraient conduire à des erreurs

1821, et est mort le 31 Août 1867. C’est un grand poète du 19 eme siècle, il est aussi connu pour sa vie bohème. Ce poème a été inspiré a Baudelaire lors d’un voyage sur un navire qui devait le mener jusqu’en Inde. Ce poème est un extrait de « spleen idéal », la deuxième partie du recueil « les fleurs du mal ». Résumé : Strophe 1 : Les marins prennent des albatros, vaste oiseaux de mer, lors de leur périple. Strophe 2 : Les albatros perdent toute leur élégance dès qu’ils sont sur le pont

dernière question avec les deux exclamations : « Eh ! … donc » L'identité de l'étranger Sens de l'article défini dans le titre : Un effet puissant de chiasme entre le début et la fin : - dès le début un homme énigmatique : difficile donc à analyser, à comprendre - à la fin un « extraordinaire étranger » : redondance qui marque la distance (sens de étranger, sens de extraordinaire) : irritation ? admiration ? Un écart entre le questionneur fictif qui ne semble pas percer le mystère et nous