Analyse Spleen Et Ideal Les Fleurs Du Mal De Baudelaire

nettement dans la dernière question avec les deux exclamations : « Eh ! … donc »L'identité de l'étrangerSens de l'article défini dans le titre :Un effet puissant de chiasme entre le début et la fin :- dès le début un homme énigmatique : difficile donc à analyser, à comprendre- à la fin un « extraordinaire étranger » : redondance qui marque la distance (sens de étranger, sens de extraordinaire) : irritation ? admiration ?Un écart entre le questionneur fictif qui ne semble pas percer le mystère et nous lecteur

Charles Baudelaire, poète du XIXe siècle, écrit en 1857 Les Fleurs du mal où nous trouvons cet extrait-ci. Dans “Une Charogne”, poème de la section « Spleen et Idéal » l’auteur fait la comparaison de sa femme et la charogne qu’ils trouvent avec l'utilisation de l'ironie et au même temps avec érotisme et cynisme. Nous pouvons étudier ici comment l’auteur exprime sa modernité et, paradoxalement, son classicisme par rapport à la tradition poétique. Pour voir ceci, nous verrons trois axes : premièrement

compter deux syllabes pour deux voyelles habituellement prononcées en une seule syllabe : c’est la diérèse (« division »). Dans le vers suivant, il faut prononcer vi-olon : - Le vi-olon frémit comme un cœur qu’on afflige. (Baudelaire) - L’ennui, fruit de la morne incuri-o-sité, (Baudelaire) Parfois, il faut lier deux voyelles que l’on prononce habituellement séparément : c’est la synérèse (« rapprochement ») : extasié[zje] : une syllabe = synérèse (extasié[zie] : deux syllabes = diérèse) ou bien : Et le

, a l’image de l’appétit de découverte et de science de leur créateur et de leur époque . Leurs aventures sont l’occasion d’une critique sociale et politique . Ils permettent aussi , sur un mode burlesque et sérieux a la fois , l’expression d’un idéal d’éducation , de gouvernement , de justice. Michel de Montaigne ( 1533 / 1592 ) Issu d’une famille aristocratique , Montaigne reçoit une éducation très riche qui illustre l’idéal nouveau de la renaissance - Antiquité , textes bibliques ,arts

Laura VANEL-COYTTE Le paysage dans les oeuvres poétiques de Baudelaire et Nerval  Mémoire de Maîtrise sous la direction du professeur Patrick Marot, soutenu le 25 septembre 2001 à l’université de Toulouse le Mirail, UFR  de Lettres, Philosophie et Musique, département de Littérature Française. TABLE DES MATIERES (avec modifications post-impression et soutenance) Page N° INTRODUCTION

dernière question avec les deux exclamations : « Eh ! … donc » L'identité de l'étranger Sens de l'article défini dans le titre : Un effet puissant de chiasme entre le début et la fin : - dès le début un homme énigmatique : difficile donc à analyser, à comprendre - à la fin un « extraordinaire étranger » : redondance qui marque la distance (sens de étranger, sens de extraordinaire) : irritation ? admiration ? Un écart entre le questionneur fictif qui ne semble pas percer le mystère et nous

fin du baroque & du classicisme opposés aux Lumières. La Terreur va noyer dans le sang les idéaux de cette révolution que l’esprit des Lumières avait préparé. Au début du XIX, la conception du

attentes liées à l’exercice (un devoir organisé autour d’un projet de lecture cohérent, rédigé dans une langue correcte ; une démarche interprétative étayée par des analyses précises) - d’autre part, tous les éléments qui pourraient valoriser, jusqu’à l’excellence, le travail du candidat (la finesse et la pertinence des analyses et des interprétations ; un devoir qui mènerait progressivement à une démonstration aboutie ; la mobilisation de connaissances personnelles au service d’une lecture

sa propre existence au monde. On peut notamment citer la poésie baudelairienne et plus particulièrement la section « Spleen et Idéal » du recueil poétique Les Fleurs du Mal dans laquelle Baudelaire exprime son instabilité et sa déchéance dans le spleen, ce qu’il considère comme le mal, la débauche, les tentations et le désespoir, au travers de ses quatre poèmes intitulés « Spleen ». A l’inverse, la poésie peut également être le lieu de l’expression des sentiments heureux tels que le bonheur, la joie

résultat d’un simple hasard ou d’une volonté humaine. Le spectateur est attendrit. • le registre lyrique : il exprime des émotions ou des sentiments heureux ou malheureux, suscités par l’amour, la nature, la beauté, la poésie, la foi dans un idéal, la douleur,…. Enonciation à la première ou deuxième personne. Lexique affectif, apostrophes, exclamation, interrogation, figures de style. Recherche de la musicalité => exprime la sensibilité individuelle. Le lyrisme est avant tout présent dans le