Analyse Sonnet En X Mallarmé

...................................................115 Chapitre VIII ..........................................................................131 Chapitre IX ............................................................................ 149 Chapitre X ............................................................................. 163 Chapitre XI ............................................................................ 174 Chapitre XII .............................................................

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répondra qu’en avril 1846. Flaubert lit dans son lit le 1er volume du Rouge et le Noir, de Stendhal. Flaubert a un énorme clou : « Je suis un bougre curieusement avarié » et, pour ses « maux de nerfs », prend « du quinquina au lieu de valériane ». Il analyse le théâtre de Voltaire : « C’est ennuyeux, mais ça pourra m’être utile plus tard ». Il a fini l’Égypte d’Hérodote, Timon d’Athènes de Shakespeare, et lit l’Histoire d’Alexandre de Quinte-Curce. Il projette de faire des scénarios, l’hiver suivant,

non, il me disait ce qu’il avait fait. Chère mère, et tout comme ça, plein de noblesse et de solennité. Je cesse mes études pour te soulager du poids financier de mon entretien. Eu égard à l’état d’Ellen, aux énormes frais médicaux, aux satanés x et y et z, et tout comme ça. J’étais furieuse. Un garçon comme lui qui jette ses études aux orties pour rien. C’était un acte de sabotage mais je ne pouvais rien y faire. Il était déjà parti. Un de ses amis à Harvard était le fils de quelqu’un qui

peu mégalomaniaques sans doute, du héros. Mais quand on sait que ceux qui souffrent d'hydrocéphalie (qui ont de l'eau dans la tête) souffrent de débilité mentale, on voit mieux que le "compliment" de Brassens est à double tranchant. -61- 4 ) Eau(x) du robinet : Beaucoup moins prestigieuses que celles des fontaines royales ! L'hydrocéphalie n'en est que plus pathétique. 5 ) Petit à petit : Musicalement, dans l'enregistrement, Brassens effectue une modulation à cet endroit en chantant ici par exception