Analyse Roman 19ème

département de Langues et Littérature françaises Constantine Merci à tous. 2 Le sommaire Introduction 1ère partie : Sources d’inspiration 2ème partie : Effet-chronique - Structure narrative dans Le Rouge et le Noir ……………………………14 - Théorie du romans-miroir………………………………………………...29 - Le réalisme subjectif……………………………………………………...30 - Les modalités du récit………………………………………………….....31 - Le rythme de la narration………………………………………………....34 - L’effet de réel……………………………………………………………..36 3ème partie

politique en créant un institut en 1989 et en créant une revue scientifique reconnu, qui existe toujours : « Hérodote ». Il a eu un positionnement très clair et a voulu se démarque des politiciens, Il va expliquer les rivalités de pouvoir et analyser les conflits, il ne va pas qu’être un conseiller mais un vrai chercheur. Il a une approche un peu novatrice : il considère qu’un territoire a une valeur émotionnelle (ethnique et religieux dedans) : les territoires ont une psychologie façonné par

et ses effets d’incantation dans le discours (répétitions, groupements binaires, expansions ternaires, groupes croissants) - le renversement final ironique en forme de déclaration galante qui vaut comme explication de l’amour - les éléments d’une analyse clinique (narcissisme, mélancolie, sadisme) 3) Les axes à retenir (qui permettraient de structurer un commentaire composé) Le renouvellement de la forme du conte (dans le sens de l’inquiétante étrangeté) La duplicité du style : l’incantation mélancolique

marche et dans ses résultats avec une rare puissance. Il semble qu'il raconte une histoire arrivée sous ses yeux, et que son unique but soit de vous faire dire : il ne pouvait en être autrement ». Pensez-vous comme elle que Madame Bovary est un roman de la fatalité ? 2) Selon George Sand, « On s'est alarmé à tort, suivant nous, de la moralité de l'oeuvre. Tout au contraire, le livre nous a paru utile, et tous, en famille, nous avons jugé que la lecture en était bonne pour les innombrables

prose philosophie qui tourne à l’expression dramatique de la sensibilité humaine. D’autres poètes comme André Chénier, rapportent l’inspiration poétique à la science. C’est le début aussi d’une création poétique fondée sur l’art de la description. Au 19ème siècle le romantisme peut être considéré comme un courant littéraire qui relève d’une vision de l’homme et de ses rapports à lui-même et au monde. Une vision qui établit des relations de sensibilité étroites entre le poète et son moi propre. Par ailleurs

MASARYKOVA UNIVERZITA FILOZOFICKÁ FAKULTA Ústav románských jazyků a literatur L'analyse des personnages dans le roman La jalousie d'Alain Robbe-Grillet Bakalářská práce Vypracovala: Vedoucí práce: Petra Slobodová prof. PhDr. Petr Kyloušek, CSc. Brno 2009

dans les faits, par l’expérience. Il est donc resté en phase avec les idées qui prévalaient à l’époque. Montesquieu : est considéré comme le fondateur de la discipline comparative. Il a voyagé (Italie, Angleterre...) et va tenter d’apporter une analyse du droit naturel à la lumière de ses voyages et de ses découvertes. D’après lui les lois ne peuvent être que différentes d’un pays à l’autre. L’esprit des lois, qui fut publié en 1748, se fixait comme objectif d’établir que l’esprit des lois consiste

lois qui forment l’ossature de la justice générale ne st pas le droit. Ainsi, la justice particulière est une vertu ms une vertu purement sociale. Le but de cette justice particulière est de na pas détenir plus que sa part, ni moins que sa part. Analyser cette justice particulière revient tt simplement à définir le droit chez Aristote. Le droit ne poursuit ni la vérité, ni l’utilité, le droit est la mesure du partage des biens. « Suum cuique tribuere » => attribuer à chacun le sien. Aristote va

lois qui forment l’ossature de la justice générale ne st pas le droit. Ainsi, la justice particulière est une vertu ms une vertu purement sociale. Le but de cette justice particulière est de na pas détenir plus que sa part, ni moins que sa part. Analyser cette justice particulière revient tt simplement à définir le droit chez Aristote. Le droit ne poursuit ni la vérité, ni l’utilité, le droit est la mesure du partage des biens. « Suum cuique tribuere » => attribuer à chacun le sien. Aristote

spirituelle. Le commentaire de Jean Hyppolite[1] propose les mots de Goethe: « J'ai eu soudainement la semaine dernière une inspiration singulière qui par bonheur dure toujours. J'ai été pris d'une envie de mettre sur le pied le livre religieux de mon roman, et, comme le sujet repose sur les plus nobles duperies et sur la plus subtile confusion du subjectif et de l'objectif, il m'a fallu une application plus intense et plus de recueillement[2]». Hegel ne cherche pas moins à se recueillir sur la question