Analyse Pauca Meae

l'élégie, etc. Quelques années plus tard, Hugo déclare, à propos des Contemplations qui paraissent en 1856 : « Qu'est-ce que les Contemplations ? — Les mémoires d'une âme » [108]. Apothéose lyrique, marquée par l'exil à Guernesey et la mort (cf. Pauca Meae) de la fille adorée : exil affectif, exil politique : Hugo part à la découverte solitaire du moi et de l'univers. Le poète, tout comme dans les Châtiments, se fait même prophète, voix de l'au-delà, voyant des secrets de la vie après la mort et qui

l'élégie, etc. Quelques années plus tard, Hugo déclare, à propos des Contemplations qui paraissent en 1856 : « Qu'est-ce que les Contemplations ? – Les mémoires d'une âme109 ». Apothéose lyrique, marquée par l'exil à Guernesey et la mort (cf. Pauca Meae) de la fille adorée : exil affectif, exil politique : Hugo part à la découverte solitaire du moi et de l'univers. Le poète, tout comme dans les Châtiments, se fait même prophète, voix de l'au-delà, voyant des secrets de la vie après la mort et qui

de la question dans les esthétiques du XIXe siècle, l’on ne s’interdira pas, après s’être assuré de ce que les textes n’ont pas fait l’objet d’une étude en classe de seconde, de faire appel notamment aux sections « La Mort » des Fleurs du Mal, « Pauca meae » des Contemplations, comme à des poèmes précis de Gautier, Baudelaire, Vigny ou Mallarmé. 2. Formes et représentations Entre la mort spectaculaire et l’effacement, entre la mort intime et la mort de tous, la mort de soi et celle de l’être

Molière, où tu tiens la rime. L’Art Poétique : construction de cet ouvrage est rigoureuse et symétrique. Les chants I et IV sont consacrés à des considérations générales : le chant I définit les grandes règles de l’écriture tandis que le chant IV analyse le comportement de l’écrivain. Ils encadrent les chants II et III qui contiennent des études particulières :le chants II se penche sur les formes littéraires mineures, comme l’ode ou le sonnet, et le chant III envisage les grands genres : la tragédie

conclusion : un homme issu d’un empire, royaume de France qui a été un empire expansionniste, dit qu’il faut arrêter de se croire si avancé. Il faut un renouveau politique et culturel. Densité du propos dans cette préface. 
 32
 4) Extraits et analyses : Il privilégie des images qui vont s’assortir d’impressions rythmiques Le Feu du ciel (p. 585) : s’inspire d’un épisode biblique, transposition poétique de la destruction légendaire de Sodome et Gomorrhe. Il veut faire renaitre cette image apocalyptique

du thème linguistique dans l'œuvre de Verlaine, ensuite à tenter d'en apprécier l'incidence sur le plan littéraire. Verlaine en effet ne jouit peut-être pas d'un grand prestige en ce qui concerne la composante verbale de son œuvre ; après avoir analysé ses connaissances linguistiques, Franco Petralia (1960, p. 19) dénie au poète l'appellation de « grammairien » que lui avait accordée Mallarmé ; pour Paul Viallaneix, il serait « méfiant à l'égard du langage » (1982, p. 87) et Claude Cuénot, l'un

l'élégie, etc. Quelques années plus tard, Hugo déclare, à propos des Contemplations qui paraissent en 1856 : « Qu'est-ce que les Contemplations ? – Les mémoires d'une âme[104] ». Apothéose lyrique, marquée par l'exil à Guernesey et la mort (cf. Pauca Meae) de la fille adorée : exil affectif, exil politique : Hugo part à la découverte solitaire du moi et de l'univers. Le poète, tout comme dans les Châtiments, se fait même prophète, voix de l'au-delà, voyant des secrets de la vie après la mort et qui

chacune : « Un abîme les sépare : le tombeau ». « Autrefois », dont les poèmes sont supposés avoir tous été écrits avant 1843, raconte en 77 poèmes le bonheur familial passé et perdu. « Aujourd’hui » comporte 59 poèmes et s’ouvre par le livre « Pauca meae » d’où est extrait notre texte, livre superbe d’émotion, entièrement consacré à la mémoire de l’enfant perdue. n 2. La structure d’un récit poétique (questions 7 et 2) Les 26 vers de ce poème peuvent être ainsi découpés : – vers 1 à 6 : les

perceptions et sentiments. Le héros romantique est un être qui ne cache pas ses sentiments. Il les analyse pour lui-même et les confie aux autres, ce qui se marque par l’utilisation fréquente de la première personne. Celui qui parle (« je ») parle de lui et se prend pour objet d’étude sous la forme du « moi ». Ce phénomène est particulièrement net au théâtre (le monologue permet l’auto-analyse et l’expression des sentiments personnels) et en poésie. Les sentiments et les états d’âme : *

la personne humaine, la tolrance LEncyclopdie, linitiative de Denis Diderot, dfinira parfaitement ces termes chers ces penseurs. Ainsi claireront-ils les esprits plongs dans lignorance, le sicle des Lumires porte bien son nom. Mais les froides analyses de la raison finiront par lasser et ce sicle sera aussi celui de la sensibilit. Cest la dcouverte du cur et des sentiments. En exaltant les sentiments, indissociable de la nature, Jean-Jacques Rousseau ouvrira la voie au romantisme du XIXme sicle