Analyse Filme Titanic

Retour à la fiche principale Voici une réalisation d'élève(s) et l'opinion du professeur. ANALYSE D'UN FILM : Titanic 1. Le récit Le 10 avril 1912, le plus beau paquebot jamais vu, est prêt à larguer les amarres du port de Southampton et à faire son voyage inaugural d'une durée de trois jours pour l'Amérique. Malheureusement, la dernière nuit, vers 23h40, il percute un iceberg et il ne reste que 2h40 précisément aux passagers de ce paquebot dit "insubmersible " pour essayer vainement de sauver

produit le court-métrage Xenogenesis, qui est financé par un consortium de dentiste. Les films importants : Terminator, Aliens, Abyss, Terminator 2, Titanic et Avatar. Son 1er succès : En 1984, Il produit le film « Terminator » pour 6 millions de dollars et il lui en rapportera 80 millions de dollars. Son 2ème succès : En 1997, Il produit le film « Titanic » pour 200 millions de dollars et il lui en rapportera 1,8 milliars de dollars.

subjective ou non? C'est quand la caméra est à la place de l’œil du personnage. Les films avec une caméra subjective sont très nombreux mais rares sont ceux qui sont entièrement filmer ainsi. La dame du lac de Robert Montgomery (1947) est entièrement filmé en caméra subjective. Rec, Cloverfiel, Le Projet Blair Witch, Chronicle … C'est justifié par la narration. Toy Story (1995) Débullage, la bulle n'est pas au centre. Lorsqu'Andy se saisit de Woody et monte les escaliers, on est en caméra subjective

seulement si elle remplie ces trois conditions : - être à instances multiples ; - être diffusée par une technologie de masse ; - être accessible sans le moindre effort. Une œuvre d’art de masse c’est une chanson de U2, de Madonna, c’est le film Titanic, ce sont les livres tels qu’Harry Potter. 1 Roger Pouivet, L’œuvre d’art à l’âge de sa mondialisation, un essai d’ontologie de l’art de masse, La Lettre volée, Bruxelles, 2003. Les objets temporels Cette expression est utilisée et analysée

création d’un storyboard, il faut bien comprendre le découpage d’une histoire en séquences, scènes et plans. Le plan est la plus petite unité d’une production : c’est une vue filmée de manière continue avec une seule perspective. On peut le concevoir de cette façon : à chaque fois que la caméra est mise en route, qu’elle filme quelque chose puis qu’elle est éteinte, on obtient un nouveau plan. Si la position de la caméra est changée pour montrer un autre point de vue, on obtient aussi un nouveau plan

tous ces moyens, composer peut revêtir plusieurs formes, et apporte désormais, plus qu’en esthétique, une dimension supplémentaire chargée de sens qui participe au récit. De cette manière, plusieurs auteurs ont pu se populariser comme James Orner ( Titanic… ) qui a pleinement utilisé l’utilisation des chœurs de voix, Vangelis, ou encore Johns Williams pour son interprétation des « Dents de la Mer » dans lequel il innove avec l’invention du leitmotiv, un procédé aujourd’hui courant qui permet d’associer

aucune réponse tranchée si ce n’est celle que chacun veut entendre. Certes le documentaire est censé être objectif, montrer et analyser la réalité, disent certains, mais quelle réalité ? En se plaçant où et la réalité de qui ? Nous avons également observé que l’analyse en générale est également orientée dut qu’elle est menée dans un but précis. Ainsi, rares sont les analyses qui pèsent simplement le pour et le contre, sans aucune marque de subjectivité, sans que l’auteur exprime son point de vue personnel

cinéaste burlesque Charley Bowers utilisa énormément d'effets spéciaux, notamment des animations d'objets image par image image. En 1914, l’invention du rotoscope par les frères Dave et Max Fleischer, qui permet de Fleischer transformer une scène filmée en un dessin animé, ouvrit la voie à de nouvelles techniques de trucage, comme la retouche et le découpage King kong (1933) associe mer différents types d'effets d’images pour supprimer certains éléments ou en ajouter spéciaux. d'autres. Les cinéastes

de films comme «Harry Potter» ou «Le seigneur des anneaux» sont devenus d'immenses succès. B. Préparer le tournage Avant le tournage, le réalisateur va entreprendre le découpage technique, plan par plan (un plan étant ce que la caméra filme en une seule prise de vue). Ce découpage précise le cadrage, les mouvements de caméra, les angles de prise de vue, les décors, les lumières, les attitudes des personnages, les effets sonores... Parfois ce découpage est complété par une bande dessinée

gothique et diverses manifestations sataniques, où le Mal n'est plus marginalisé ou dépassé, mais accepté». En clair, il n'y a plus de mal à se faire du mal. L'actualité le prouve dramatiquement tous les jours: on s'étrangle dans les cours d'école, on filme ses actes de violence en détail... On joue avec la mort. "Le cinéma d'épouvante est une catharsis, précise Christophe Gans. Entre l'exécution de Daniel Pearl ou les exactions à Guantanamo diffusées sur le Net, le public cherche à connaître ses limites