Analyse De Le Soleil De Baudelaire

louis Labé Melancholia, de Victor Hugo Oradour, de Tardieu Le veilleur du pont au change, de Desnos Objectifs Œuvres et textes que nous avons lus Lecture - Lire des poèmes de formes et de visées variées Caractériser un poème Pouvoir analyser un poème en acquérant quelques bases de versification Une peinture romantique : Le radeau de la Méduse Affiche sur le travail des enfants Ecrire un poème engagé Ecrire un poème lyrique Rédaction : intégrer une description dans un récit Mise en voix

 Au lecteur est issue du recueil Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire. Baudelaire un poète symboliste du XIXème siècle. Au Lecteur est le poème liminaire du recueil Les Fleurs du Mal, placé hors numérotation, il a été placé en tête dans toutes les éditions. Il a donc une importance majeure : il présente et ouvre le recueil. Il montre l’esthétique moderne de Baudelaire qui associe le Beau et le Mal. Au Lecteur est un portrait de la condition humaine. Ce poème aborde des thèmes qui seront récurrents

qui ont précédé. Nous pouvons aussi comparer cette extrait du 10eme chapitre avec le tableau intitulé ,, Le voyageur’’ par Friedrich. *(LECTURE CURSIVE) * D’après cet extrait, on peut observer trois plans qu’on peut analyser : le décor, le combat et l’allégorie. Tout d’abord, on peut comparer la nature qui environne Julien a son propre destin. On découvre un style particulière par la préposition, ,,et’’ qui nous aide à prendre la même haleine que Julien. Ce premier

qu'en ce point du monde que je pressens, elle prépare et traduit ce monument de l'éloquence physique, où paraitra le jour qu'elle désire, partout ailleurs enseveli... Poésie et voyage sont d'une même substance, d'un même sang, je le redis après Baudelaire, et toutes les actions qui sont possibles à l'homme, les seules peut-être utiles, les seules qui ont un but. Je me suis égaré, si tant est que la vérité que j'appelle contredise de tels arguments. J'opposais d'ailleurs au concept la réalité du

Baudelaire a voulu élevé la poésie en véritable art d’où on peut considérer la boue comme un symbole qui est le propre de son courant. Citation : "J’ai pétri de la boue et j’en ai fait de l’or". Dans cette citation il nous apparait quelques mots assez importants donc voici leur interprétation selon moi. Il y a tout d’abord le "j" qui laisse penser que l’on parle de l’auteur a travers l’Alchimiste dont le travail premier est de transmuter des métaux et à les purifiés par divers moyen. L’alchimie est

bourgeoisie, le poète révolté contre cette laideur du monde ne vit plus en harmonie avec le temps et l'espace qui lui sont infligés et s'éprouve comme un faux accord dans la Divine symphonie de la vient le sentiment d'exil. Qui peut rattacher ? Baudelaire. Au SPIN, le poète fait l'épreuve d'une séparation essentielle. Avec une antériorité heureuse en avant, à jamais évanouie. Lorsque les battements du cœur étaient accordés à la pulsation de la nature. De fait, ils ne cherchent plus qu à fuir ce monde

Mal a pour but de présenter la transformation et la transmutation d’un élément sensible et matériel : une charogne en un objet poétique et recomposé en œuvre d’art grâce a l’agent alchimique du soleil et grâce a la beauté du verbe poétique cher à Baudelaire. Nous avons donc ici un exemple d’alchimie et de transposition de la boue (la charogne) et l’or (œuvre d’art). Ce poème est à la fois, étrange, bizarre, macabre et étonnant car il définit une espèce d’esthétique

vignes se mirent Tout l'or des nuits tombe en tremblant s'y refléter La voix chante toujours à en râle-mourir Ces fées aux cheveux verts qui incantent l'été Mon verre s'est brisé comme un éclat de rire Guillaume Apollinaire (1880 - 1918), Alcools Analyse : I- L'univers fascinant des légendes. Ici le poème se met à l'écoute d'un autre poème (" Écoutez la chanson... " => mise en abyme). Cet autre poème raconte une hallucination (sans doute due à l'absinthe, évoquée par les femmes aux cheveux verts,

représente une notion abstraite de manière imagée, concrète (ex : la Justice comme une femme tenant une balance, la Mort comme un squelette tenant une faux). Elle a été très utilisée au Moyen Âge, dans la poésie romantique (Vigny, Nerval) ou moderne (Baudelaire, les symbolistes). « Mon beau navire ô ma mémoire Avons-nous assez navigué Dans une onde mauvaise à boire » (Guillaume APOLLINAIRE, Alcools) : l’allégorie d’un navire à la dérive sert ici à désigner les errances de la mémoire dans l’ « onde

de la terre. Ce ruisseau remonte en sa source,  Un bœuf gravit sur un clocher,  Le sang coule de ce rocher,  Un aspic s'accouple d'une ourse,  Sur le haut d'une vieille tour  Un serpent déchire un vautour,  Le feu brûle dedans la glace,  Le Soleil est devenu noir,  Je vois la Lune qui va choir,  Cet arbre est sorti de sa place. Théophile de Viau, Œuvres poétiques 1621 Explication : Le thème dominant est celui de la mort et du drame -> registre tragique et fantastique (Mort, malheur, renversement)