Analepse

-On note de plus la présence d’un écrit encadré (Chants IX à XII narrateur= Ulysse= « je ». - Récit encadré est une longue analepse (= « Flashback ») : Chant IX : -Ulysse chez les Cicones -Ulysse chez les Lotophages -Ulysse chez le Cyclope (Polyphème) Chant X : -Ulysse chez Eole (arrivée/retour)

et surtout madame la dauphine le lui avait dépeint d'une sorte, et lui en avait parlé tant de fois, qu'elle lui avait donné de la curiosité, et même de l'impatience de le voir. · L’extrait débute par une analepse permettant au lecteur de comprendre d’où est né le sentiment de passion amoureuse éprouvé par Mme de Clèves. En effet l’avis qu’elle portera sur le prince de Nemours, lors de la première rencontre, est conditionné par ce qu’elle sait de lui comme

sur moral, sur sa vision de lui même. Il faut noter cependant que certains chapitres ne sont pas dans le même ordre que dans le film. Dans le film les événements se passent dans un ordre chronologique, alors que dans le livre l'auteur fait des analepses ce qui lui permet de parler à la fois du passé et du présent.

Paronomase : revient toujours à l’argent mais à un double sens : L’argent qu’on donne au soldat est « peu », le fait que soldat soir juste avant « c’est peu », on peut dire que sa vie est également courte, et que leurs vies ne valent pas beaucoup.-Analepse de la l.12 à 33 et 43 jusqu’à la

nazisme est une maladie qui se soigne ». Pour nous raconter cette histoire Fred Uhlman utilise une analepse qui fait remonter de «  plus d’un quart de siècle », « deux jours après mon seizième anniversaire », en « février 1932 ». Il montre au début du roman son retour en arrière dans son passé « En fermant les yeux, je vois encore le dos de mes camarades de classe ». (Chapitre 1) Cette analepse dure jusqu’au jour où Hans, une trentaine d’années après, reçoit la liste de ses anciens camarades de

Ch.6 : L’éducation et les rêves de la jeune Emma au couvent . Introduction  : La focalisation passe de Charles à Emma. Par une analepse , retour en arrière, le chapitre évoque l’influence de la littérature, des images et du couvent sur « un tempérament sentimental  » lorsque, jeune fille, elle fut mise au couvent par son père.

répétition de « ma mère ». L’aveu à soi-même et au lecteur de cet amour incestueux entraine une meilleure connaissance de soi. La nécessité de se raconter est soulignée par le déni de cette évidence, c’est pourquoi ce texte commence par une analepse (retour dans le passé). Ainsi, depuis longtemps il ressent le besoin de se raconter et cela devient nécessaire, une sorte d’urgence à faire cette confession « je me hâte ». Celle-ci est liée à la difficulté que cela représente. Néanmoins, la chronologie

souvient de la vie luxueuse qu'elle avait auparavant ; question de la place sociale. La nuit turque: Quatre unités séparées par des blancs typographiques; ellipses sans transition = changement de lieu. Des passages digressifs (scène du thé) Analepses renvoyant au passé d'Anna; le narrateur l'a connue à Biarritz en 1917. Doute sur l'enjeu de la nouvelle : la quête de la pelisse commence tardivement Beaucoup d'images morbides et funèbres, pessimisme. En quoi la fin de cette nouvelle peut-elle

« adultes » de l’histoire semble aussi dépassé, c’est le thème de l’incompréhension des adultes à l’égard des plus jeunes qu’eux. Ils se demandent poutquoi sont-ils si compliquer Temporalité : Le déroulement de l’histoire est dans l’ordre. Aucune analepse ou prolepse n’est présente. Lors de la première scène, les deux maîtres respectifs de Perdican et de Camille vantent les qualités de leurs qualités, ils dressent leurs portraits. On apprend donc que Camille sort du couvent et vient juste d’avoir

est aussi victime du discours religieux qui favorise le fatalisme et l'exploitation des hommes. II -CRITIQUE DES RELIGIONS a) La religion des colonisateurs: Paroles rapportées de la mère « bénis nos fétiches », « ils te feront vivre heureux »: analepse ironiquement démentie par la situation présente; elle adopte une fois de plus le discours des blancs qui se présentent comme des bienfaiteurs (ironie). Paroles rapportées des prêtres : syllogisme incomplet « nous sommes tous frères (dicours des