Analepse

|La temporalité dans le récit ( rythme= ellipse, sommaire, ralenti, | | |pause, scène) et ordre des actions( chronologique, analepse ou | | |prolepse) | | |RELIRE TOUTES LES PAGES DE

apparait remarquable. II] La prépondérance du portait moral A-Portrait moral et psychologique Le narrateur plus que la description physique fait un portait morale du personnage. L’œuvé entre donc dans la catégorie des romans psychologiques. l.5-20 : analepse, renseignement vie personnage 5 : père mort jeune don éducation féminine 7 : élevée loin de la cours (galanterie) 8 : Elle ignore la galanterie et gardera son humilité grâce à l’éducation de sa mère B-Une mère et une éducation exceptionnelle l.6 :

conte le présent et l’autre le passé Ex 2 Une trame narrative bouleversante : Ex 3 L’enrichissement narratif : un système de la mise en abyme romanesque qui multiplie les médiations et les figures de lecteurs : une illusion de théâtre, analepses et prolepsesB) Des liens sentimentaux hiérarchisés : Ex 1 Le dévouement familial de DG Ex 2 L’amitié : un sentiment raisonnable et dénué d’excès. Il est sans conteste le remède le plus sûr face au risque de marginalité amoureuse. Ex

suit la marche de la bande révolutionnaire, après avoir quitté Plassnas. Tandis que la bande insurrectionnelle continue sa marche, Silvère et Miette firent une pause ensemble car Miette était fatiguée. Cette pause permet d’introduire une nouvelle analepse dans laquelle on assiste à leur première rencontre et l’évolution de leur relation. La narration revient au temps du récit, un peu avant la fin du chapitre.

« vois-tu » Analyse : Cela donne l’impression que le poète rend compte immédiatement de ce qu’il vient de voir. Le poète est comme si il était un voyeur qui observait le couple à leur insu. C) La nostalgie d’une histoire d’amour * Procédé : analepse + tutoiement +présent Citation : « extase ancienne », « vois-tu » Analyse : Le dialogue confirme l’hypothèse du couple amoureux. On peut le constater avec la première voix qui évoque le souvenir d’une époque heureuse. Le tutoiement marque un lien

Il s’agit donc à ce moment d’un récit enchâssé ou emboîté, dont le narrateur est Don José, mis en abîme dans le récit-cadre, dont le narrateur est un archéologue. Les évènements racontés par Don José sont antérieurs aux évènements du récit-cadre (analepse narrative). Le récit est en prose et utilise la focalisation interne. Le quatrième et dernier chapitre constitue une rupture stylistique nette, en revenant au discours scientifique qui constituait l'entame du premier chapitre. Chapitre 2 On

: 1. Une évasion vers l'extérieur : - Un domestique casse deux vitres qui attire le regard d'Emma : "aperçut dans le jardin". - Dehors, un monde différent de celui du bal : "des faces de paysans". 2. Les souvenirs de l'enfance : - Analepse : "Alors le souvenir des Bertaux lui arriva", Emma se remémore "la ferme, la mare boueuse, son père" et finit par se revoir "comme autrefois". - L'enfance de cette campagnarde tranche avec la mondanité du bal. 3. Le refoulement du passé :

Mvt 2 : MdM montre conséq. de sa format° et en tire leçons. (l.12-23) Prob : Eb quoi portrait que MdM dresse d’elle dans lettre 81 des Liaisons Dang. illustre carac. hors-norme du perso. (l.1) « entrée » + « dans le monde » Pt passé + métaph > analepse  intro permet sentir le danger entre âge et statut (l.1) « j’ » ProN 1ere perso  MdM fait son portrait femme frêle > indépendant (l.2) « Observer et réfléchir » VS « étourdie ou distraite » Antithèse  contraste être/paître > MdM feint

Chartres » on a donc une précision de l’identité sans toutefois nomme le personnage, le suspense est maintenu : c’est un personnage de haut rang. -Mme de Chartres d’ailleurs n’est pas nommée sa mère mais c’est la femme du père de l’héroïne.-On a ici une analepse, un retour en arrière avec l’évocation la mort du père qui permet d’expliquer l’éloignement de la cour et qui peut donner l’impression que l’héroïne peut être un profit facile dans ce monde sans pitié de la cour, elle n’a pas de père pour la protéger

anaphorique (le monde de l'énoncé est différent du moment de l'énonciation). Donc, ancrage personnel, spatial, temporel ou distance. Paroles rapportées (ou mode de discours rapporté : discours direct, indirect, indirect libre Ruptures temporelles : analepse, prolepse, pause, scène, sommaire, ralenti, ellipse (implicite), digression. Le traitement du temps donne le rythme (durée, temporalité). Ou ordre chronologique (= diachronique). Un récit peut commencer in medias res (c'est-à-dire au milieu de l'action)