Ambition Rastignac

son enterrement l’avait était aussi. Aucun des résidents de la pension dans laquelle il vivait n’étaient venus et il n’était pas très sociable, c’est peut-être pourquoi aucun des résidents ne lui adresser la parole et n’a voulue venir. Eugène de Rastignac était sûrement le seul à trouver du bon en le père Goriot et le seul qui lui portait de l’intérêt ou alors il faisait tout ça uniquement afin de pouvoir essayer de se rapprocher de Delphine, l’une de ses filles. Et même ses propres filles pour lesquelles

aucune valeur morale et restera assoiffé à vie de pouvoir et de richesse. Par exemple nous pouvons citer Le Père Goriot de Balzac 1835 un roman réaliste. En effet dans ce roman, l’un des personnage principaux est un jeune homme appelle Eugene de Rastignac, celui-ci rêve d’entrer dans la société de Paris et d’y faire fortune. Ce personnage fera tout pour avoir du succès tout comme Georges Duroy. La seule différence est que Eugène est une personne honnête et agréable. Ce roman à en commun avec Bel-Ami

février 1835, le roman va figurer parmi les Scènes de la vie parisienne puis être classé dans les Scènes de la vie privée. Il s’agit initialement d’une simple nouvelle inspirée d’un fait authentique : l’agonie d’un père délaissé par ses filles. Rastignac est à l’image des jeunes ambitieux contemporains de Balzac. Quant à Vautrin, il fut souvent identifié à Vidocq, ancien bagnard devenu chef de la police. Le roman est également proche de l’expérience de Balzac, avec le thème de la paternité : Balzac

 Ce passage constitue le dénouement du roman. Le Père Goriot est mort sans avoir pu revoir ses filles et Eugène de Rastignac assiste, seul, à l'enterrement. La mort du Père Goriot coïncide avec la mort du jeune homme qu'était Rastignac et s'accompagne de sa révolte. «À nous deux maintenant!» Cependant, au moment où le corps fut placé dans le corbillard, deux voitures armoriées1, mais vides, celle du comte de Restaud et celle du baron de Nucingen, se présentèrent et suivirent le convoi jusqu'au

deux tendances de romans au 19ème siècle avec les romans de « personnages ». Le héros, jeune homme souvent plein de grâce est à la conquête de la capitale (héroïsme) tels que Julien Sorel, Georges Duroy de Bel-Ami de Maupassant ou encore Eugène de Rastignac, personnage romanesque d'Honoré de Balzac dont les aventures débutent dans Le Père Goriot et dont l'évolution va se poursuivre dans un nombre considérable de romans de La Comédie humaine. C'est un jeune homme ambitieux, qui regarde la « bonne société

debut du roman commence par la description de la pension Vauquer, qui n'est autre que le nom de la directrice Mme Vauquer. Plusieurs pensionnaires y logent : • Eugène de Rastignac, venu à Paris pour y étudier le droit. À la maison Vauquer, il rencontre Vautrin, qui va lui proposer des marchés pour faire fortune. Toutefois Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu'au bout les conseils criminels de Vautrin. Très vite il fait son chemin dans les hautes hiérarchies sociales. Chaque relation lui

d'amidon. Il a consacré tout son argent au bonheur de ses deux filles, Anastasie, l'ainée et Delphine, la cadette. Goriot fait les sacrifices pendant toute sa vie pour faire plaisir à ses filles. Il finit par mourir sans un seul sou. Eugène de Rastignac- jeune "ambititeux" qui rêve de s'introduire dans la haute société parisienne. Rastigniac prend gout aux soirées parisiennes. Il se rend compte qu'il est possible de réussir dans la société à travers les femmes. Rastigniac finit par accepter ses

Goriot. C'est lors de la création de ce roman que l'auteur conçoit son grand projet, La Comédie Humaine, où il se propose d'être historien de la société de son époque. Dans ce roman, un juene étudiant en droit sans fortune, Eugène de Rastignac, vit dans une pension sordide, la maison Vauquer, où il côtoie une faune aussi pauvre qu'électrique. Là, il s'est pris de sympathie pour le Père Goriot, le bouc émissaire des pensionnaires. Après une altercation entre pensionnaire, Vautrin, un homme

la vie elle-même est prise avec le Désir, principe de toute passion[14]. » Honoré de Balzac a brossé un vaste tableau de la société de son temps créant des archétypes comme celui du jeune provincial ambitieux à la conquête de Paris Eugène de Rastignac, de l'avare tyran domestique : Félix Grandet, l'icône du père : Jean-Joachim Goriot, ce « Christ de la paternité[15]», ou le bagnard reconverti en policier : Vautrin. Il a influencé directement des auteurs comme Gustave Flaubert dont le roman

parfaitement avec l'aspect de sa pension et qui a à peu près cinquante ans. 2. Victorine Taillefer semble atteinte d'une maladie grave, a la taille trop mince et est pleine de grâce et de tristesse. Heureuse, elle aurait été charmante. 3. Eugène de Rastignac a la peau blanche, les cheveux noirs et les yeux bleus. Il a des sentiments forts, sincères et possède une honnêteté de coeur. D'un autre côté, c'est un ambitieux déterminé de réussir. 4. Vautrin a un regard qui semble aller au fond de toutes les