Álvaro Uribe

Lunes 17 Mayo 2010 SPORT Negredo se pierde la final Sevilla Redacción BARCELONA Negredo quiere que el club recurra para estar en la final de Copa EFE E l técnico del Sevilla, Antonio Alvarez, no podrá contar con el delantero Alvaro Negredo en la final de la Copa del Rey del próximo miércoles en el Camp Nou debido a su expulsión el pasado sábado en Almería. Será muy difícil que el Comité de Competición le perdone la sanción después de leer el acta que redactó el colegiado

violation des normes des relations internationales » (LM 18/10/07). CHYPRE (Voy. Union européenne). COLOMBIE (Voy. Cour internationale de justice). mai 11. Afin d’obtenir de la guérilla la libération des otages qu’elle détient, le président Uribe propose de libérer tous les guérilleros des FARC à la condition qu’ils s’engagent à ne pas reprendre les armes (LM 31/05/07). juin (K 2007, n° 6, 47975). 1. Le processus de libération des ex-combattants des FARC est engagé (LM 3-4/06/07). 12. Malgré

en Equateur pour supprimer sa cible. La découverte sur son ordinateur de la preuve de liens entre le Venezuela et l'armement des FARC, même démenti par Caracas, a vivement attisé les tensions et suspicions37. Avec l’accord du Président colombien Alvaro Uribe et du ministre de la défense Juan Manuel Santos, ces informations ont été divulguées à quelques médias influents tels que le Wall Street Journal ou El Pais. Ces médias occidentaux se sont empressés d’accuser le Venezuela et l’Equateur de complicité

ou qui, si elle n’a pas de nationalité se trouve hors du pays dans lequel elle avait sa résidence habituelle à la suite de tels événements, ne peut ou, en raison de ladite crainte, 36 Sur le contenu de cette troisième génération de droits : Diego URIBE VARGAS, La troisième génération des droits de l’homme, R.C.A.D.I., 1984, tome 184, p. 362 et Karel VASAK, Pour une troisième génération des droits de l’homme, in Etudes et essais sur le droit international humanitaire et sur les principes de la Croix-Rouge

contrôle », admet Haroldo Rodas, le ministre des relations extérieures du Guatemala. Outre la question de la prolifération du crime organisé à partir de réseaux formés par d’anciens officiers ou de policiers, le gouvernement du président socialdémocrate Alvaro Colom ne dispose que d’une armée ramenée en dix ans de 45 000 à 16 000 hommes. « Les accords de paix qui ont mis fin à des décennies de guérilla et de massacres nous engageaient à diminuer d’un tiers les forces armées, mais c’est allé bien audelà