Allocation aux adultes handicapés

Le handicap reste aujourd’hui une notion très subjective, souvent mal utilisée et presque toujours connotée de façon négative. Dans la représentation collective, il est systématiquement associé à l’image stéréotypée de la personne en fauteuil roulant ou de la canne blanche. Pourtant selon une enquête de l’INSEE, publié en 2002, 12 millions de Français, soit plus d’une personne sur quatre, se déclarent victimes d’une déficience. Sur 38 millions d’actifs, près de 13% indiquent une limitation de leur

ans et plus Votre situation professionnelle : □ en activité □ retraité □ en recherche d’emploi □ au foyer □ autre (préciser) : …………… ……………………. □ Oui □ Non □ API (Allocation Parent Isolé) □ autre …………… …………. Bénéficiez-vous d’une allocation ? Si oui : □ RSA (Revenu de Solidarité Active) □ AAH (Allocation Adulte Handicapé) Cabinet ARGOS – Enquête de satisfaction sociale - Aix les Bains - 2011 2 Votre avis sur votre quartier Quelle appréciation globale portez-vous sur l’évolution

| |Forme du contrat : Destiné aux allocataires du RMI, de l’ASS, de l’API ou de l’AAH. Ils perçoivent une partie de leur allocation | |actuelle, plus un revenu minimum d’activité. Ils peuvent bénéficier de formation dans le cadre de ce contrat. L’employeur signe une | |convention avec l’ANPE ou le conseil général, et perçoit des aides. 

Les enjeux de la politique du handicap :Un accompagnement par l’assistant social, le CESF ou l’éducateur spécialisé amélioré et facilité grâce à la création d’un guichet uniqueObjectif d’insertion professionnelleObjectif d’insertion scolaire en milieu ordinaireAutonomie des PH : aide à domicile ; PCH ; AAHCitoyenneté par une meilleure accessibilité 2 LES DIFFÉRENTES LOIS RELATIVES À LA POLITIQUE SOCIALE DU HANDICAP Loi de 1909 sur les classes de perfectionnement et les écoles autonomes : accueil

lutter contre les formes de pauvreté. Elle consiste à assurer un revenu minimum, qui ne couvre pas forcément un risque spécifique. Il est versé sous condition de ressources, mais non de cotisations préalables (revenu minimum d’insertion, allocation adulte handicapé) ; * Une logique de protection universelle, qui a pour but de couvrir certaines catégories de dépenses pour tous les individus. Les prestations sont donc accordées sans conditions de cotisations ni de ressources, mais sont les mêmes

la réinsertion sociale. C'est pour cela que la loi du 2 Janvier 2002 affirme le droit des usagers. D’autres mesures contribuent à l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap. L’une des mesures est instituée par la loi du 10 juillet 1987 en faveur de l’emploi des travailleurs handicapés, réaffirmée par la loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, relative à l’obligation d’emploi des personnes

logique d’assurance sociale, Prémunir contre un risque de perte de revenu (chômage, maladie, vieillesse, accident du travail). 2 Une logique d’assistance, Instaurer une solidarité entre les individus pour lutter contre pauvreté. (RMI, Alloc Adulte Handicapé) 3 Une logique de protection universelle, Couvrir certaines catégories de dépenses pour tous les individus.(prestations familiales) Les dépenses sociales représentent: 29% du PIB en France en 2004 Majoritairement financées par les cotisations

taux de prise en charge sont déterminées par arrêté préfectoral. Au maximum : 95 % du SMIC horaire brut (105 % dans les ateliers et chantiers d’insertion). Exonérations : -  es cotisations patronales au titre des assurances sociales et des allocations familiales, à l’exception des d cotisations accidents du travail et maladies professionnelles dans la limite du SMIC ; - de la taxe sur les salaires ; - de la taxe d’apprentissage ; - de la participation à l’effort de construction. Pas d’indemnité

la naissance ou à l’adoption : elle est versée sous condition de ressources au septième mois de grossesse ou à l’arrivée au foyer d’un enfant adopté, pour permettre à la famille d’assumer les premières dépenses liées à cet événement ; • une allocation de base : sous condition de ressources, elle est versée chaque mois pendant les trois années qui suivent l’arrivée de l’enfant pour aider la famille à couvrir les dépenses liées à son éducation ; • un complément de libre choix d’activité (Clca)

travers des tests d’évaluation psychologiques et cognitifs, et d’un programme de prise en charge à l’aide d’outils divers. La psychologue effectue un travail d’accompagnement et aide le patient à intégrer les répercussions psychologiques dues au handicap et à la rééducation proposée. L’assistante de service social, au travers de l’accueil et de l’écoute accompagne le patient et la famille dans l’élaboration du projet de vie afin de lui permettre de retrouver une place dans la famille, de retourner