Alexandrin

tercet, un quatrain et un sonnet (voir page 42 du cahier). -Séparer les pieds dans un vers en respectant les règles de la versification (attention aux E muets!), les compter et identifier s’il s’agit d’un octosyllabe, d’un décasyllabe ou d’un alexandrin (voir pages 42 et 43 du cahier). -Souligner la figure de style employée dans une phrase (antithèse, comparaison, énumération, euphémisme, métaphore, personnification ou gradation) et l’identifier correctement (voir pages 53 à 56 du cahier).

publications : La Revue indépendante, janvier-février 1889 ; Reliquaire, Genonceaux, 1891 ; Poésies complètes, Vanier, 1895. Ma Bohème, sonnet de forme traditionnelle (deux strophes de quatre vers suivies de deux strophes de trois vers) ; écrit en alexandrins, Rimbaud décrit ses fugues et sa volonté adolescente de fuir un milieu étouffant et conformiste. Le type de rimes utilisé dans la première strophe est embrassé, ainsi que dans la deuxième strophe. Les vers 9 et 10 ont des rimes plates, ainsi

1955 dans son recueil roman inachevé. A travers ce poème, Aragon dénonce la xénophobie et rend hommage au groupe Manouchian, il révèle qu’ils étaient des résistants et non des terroristes comme le disait l’affiche rouge. Ce poème est écrit en alexandrins avec des rimes embrassées, beaucoup de figures de style sont utilisées. Le titre de ce poème montre que l’évènement s’est déroulé il y a déjà quelques temps et qu’il est écrit dans le but de dénoncer quelque chose, en l’occurrence le nazisme. Il

(1555). A) Amours de Marie, de Pierre de Ronsard, est un poème écrit en 1555. C'est un sonnet :deux quatrains en rimes embrassées et deux tercets en rimes suivies. Ce mètre permet d'insister sur la destinataire du poème, « Marie », car les alexandrins la mettent en relief, et plus précisément le « e » qui accentue la syllabe et le prénom. B) Le verbe « aimer » est répété à différents vers et avec différents modes et temps verbaux tout au long du poème : Vers 2 : « aimer » forme à l'infinitif

naturelle provoquée par la société. Dans « L’Échafaud », Victor Hugo s'insurge de l’usage de la guillotine et réprimande le peuple qui agit en vengeur assoiffé de sang face au condamné qui s'apprête à mourir sur l'échafaud. Dès les deux premiers alexandrins, « Œil pour œil ! Dent pour dent ! Tête pour tête ! A mort !», Victor Hugo donne la parole au peuple pour mieux les interrompre et leur reprocher leurs « cris sauvages ». Deux discours discordants s'opposent, la voix du peuple et celle du poète

= ennéasyllabe | 10 = décasyllabe | 11 = endécasyllabe | 12 = alexandrin | ≠ Prose * Retour à la ligne * La rime n’est pas obligatoire « Le ciel est comme la tente déchirée d'un cirque pauvre dans un petit village de pêcheurs  En Flandres Le soleil est un fumeux quinquet. Et tout au haut d'un trapèze une femme fait la lune. » 2) Le Rythme a) La césure et les hémistiches. * LAMARTINE « Le Lac » Alexandrin * Césure = sépare les vers supérieur à 8 syllabes en 2 hémistiches

comme victime de la « fièvre » qui les « maigrit » à travers une personnification, la fatigue qui les rend « bien las », le poète s’exclame également « quelle pâleur ! » tant leur teint est livide. Dans un deuxième temps, la métrique du poème, en alexandrins, donne une certaine régularité à cette strophe, reflétant la lassitude des enfants, les gestes qu’ils doivent répéter sans cesse. Ensuite, le fait qu’ils soient dominés tout au long du poème insiste également sur leur chétivité. En effet, l’adverbe

boue - recueil censuré et condamné pour pornographie et atteinte aux mœurs « A une passante » : - une dédicace, un hommage - suggère l’impact très fort de la rencontre Construction du texte : Sonnet : 14 vers (2 quatrains et 2 tercets) Alexandrins Rimes ABBA ABBA CCD EED Charnière entre les 2 quatrains et les 2 tercets + Chute au 14e vers Les procédés rhétoriques et leur interprétation : Procédés Interprétations Antithèse « éclair » et « nuit » (v.9) Insiste sur l’opposition

l'amour de Chimène, à punir Don Gormas ? Le texte étudié est le monologue délibératif de Rodrigue Ce monologue est un monologue lyrique, avec une forme poétique et un registre lyrique. Chacun des six dizains est composé d’un octosyllabe, quatre alexandrins, deux hexasyllabes et trois décasyllabes, tous ces vers créent des rimes (de forme ABBACCDEDE) Les quatre premiers vers sont embrassé , les deux suivant sont suivi et les quatre derniers sont croisé (cœur ,mortelle ,querelle ,rigueur ,abattue

peine et la joie de l’amour. Même que les idées semblent étranges et un peu folles, la structure stricte du poème impose l'idée d'un ordre dans le désordre de la passion. Ce poème est un sonnet, mais il est écrit en décasyllabe au lieu de vers alexandrins, avec deux quatrains et deux tercets. Il y a des allitérations en [m] du vers 9 (« Amour inconstamment me mène »). Elle fait des rimes embrassées dans les quatrains et les rimes croisées et plates dans les tercets. Le poème a seulement quatre