Afro-Américains

Malcom x de son vrai nom Malcom Little, est né le 19 mai 1925 à Omaha aux états unis en Géorgie. Sa mère était Barbadienne et son père Afro-Américain. en 1926, la famille emménage à Milwaukee (Wisconsin), ou il retrouve son père assassiné par un tramway. Quelques années plus tard il rejoint un groupe nation of islam et y devient porte parole et prêcheur et attire la jalousie d'autres. Le 14 janvier 1958, Malcolm épouse Betty X (née Sanders) à Lansing, Michigan, Ils auront six filles. Malcom fonda

problèmes raciaux et politiques battent leur plein, un écrivain américain décide d’entamer ce qui risque d’être le voyage le plus déroutant et marquant de sa vie. Se posant des questions sur le point de vue du racisme global et le vison de chaque race l’une envers l’autre ainsi que les frontières qui les divisent, il choisit de répondre à ses questions en franchissant la barrière culturelle qui sépare un Américain d’un Afro-Américain : il veut devenir noir. Le chemin risque d’être long, et il le

l’université de Californie. Ses centres d’intérêt sont la philosophie féministe, et notamment le Black Feminism, les études afro-américaines, la théorie critique, le marxisme ou encore le système carcéral. En 1998, elle fait son coming-out auprès du magazine Out[2]. Elle fut à deux reprises, en 1980 et 1984, candidate à la vice-présidence des États-Unis pour le parti communiste américain en tandem avec Gus Hall. Hugo : maintenant je vais vous parler de ses études supérieures fréquente l’école primaire

mythique Scarlett O'Hara a 16 ans, un charme envoûtant, un caractère bien trempé, un tempérament superficiel, et elle aime être entourée de l'attention des jeunes gens des plantations alentour. On est en 1860, quelque part en Géorgie, et la société américaine du Sud est à son apogée. La vie de Scarlett n'est que rires, goûters, bals, flirts. Le livre débute avec un pique-nique chez les Wilkes, voisins des O'Hara. Scarlett est amoureuse en secret du fils Wilkes, Ashley. Mais ce dernier doit épouser très

Voilà une étrange et amère récolte. THEME : Dénonciation des lynchages pendant la ségrégation Introduction : Cette œuvre est tirée d'une chanson tirée d'un poème d'Abel Meeropol datant de 1939 puis repris en chanson par la chanteuse afro-américaine B. Holiday considérée comme l’une des plus grandes chateuse que le Jazz ait connue. Elle l’interprète pour la 1ere fois en 1939 au café Society à NY. -Poeme mis en musique (blues). C’est une complainte, une chanson triste. -Pourquoi Abel Meeropol

realisation : 1967 Auteur : Claude Nougaro Duree : 2:52 min Effectif instrumentale : Tropette, batterie, contre-basse,saxophone,guitare, trombone et le piano Le thème : Claude Nougaro a faite cette chanson en hommage au celebre trompettiste afro-americain Louis Armstrong. Cette chanson fait partit du mouvement du jazz et denonce le racisme II- Description et Analyse : "Armstrong, je ne suis pas noir, je suis blanc de peau". C'est par cette très célèbre phrase que débute l'une des plus célèbres

peintre naturaliste de la vie américaine du XXe siècle. Il est célèbre pour avoir illustré de 1916 à 1960 les couvertures du Saturday Evening Post. En 1935, il illustre les romans de Mark Twain, Tom Sawyer et Huckleberry Finn. En 1943 il participe à l'effort de guerre de la Deuxième Guerre Mondiale en publiant l'affiche The Four Freedoms qui a été distribuée dans le monde entier. Dans les années 1950, il est considéré comme le plus populaire des artistes américains et il fait les portraits des

have a dream : Martin Luther King" Je vous le dis ici et maintenant, mes amis, bien que, oui, bien que nous ayons à faire face à des difficultés aujourd'hui et demain je fais toujours ce r^ve: c'est un rêve profondément ancré dans l'idéal américain. Je rêve que, un jour, notre pays se lèvera et vivra pleinement la véritable réalité de son credo:" Nous tenons ces vérités pour évidentes par elle-mêmes que tous les hommes sont créés égaux". Je rêve qu'un jour sur les collines rousses de

Brève biographie de l’auteur : Norman Rockwell est un illustrateur américain né à New York en 1894 et mort en 1978. Peintre naturaliste de la vie américaine du XXe siècle, il est célèbre pour avoir illustré de 1916 à 1960 les couvertures du magazine Saturday Evening Post. Il illustre les romans de Mark Twain, Tom Sawyer et Huckleberry Finn. Dans les années 1950, il est considéré comme le plus populaire des artistes américains et fait les portraits d'Eisenhower, de Kennedy et de Nasser. Il peint

Luther, car la thèse constitue tout de même « une contribution intelligente au savoir »5. On trouve également des emprunts tacites dans certains discours de King, mais Keith Miller soutient6 que dans ce dernier cas, c'est une pratique courante des Afro-américains et que l'on ne peut considérer cela comme du plagiat. Toutefois, comme Theodore Pappas le note dans son livre sur le sujet7, Martin Luther avait en fait suivi un cours sur les normes de la production intellectuelle et le plagiat à l'université