Adjudant

chien). [...] mais le vieux palefrenier, déjà retombé à la résignation de sa chienne d'existence, ne se fâchait plus de la mort de ses enfants, répondait simplement d'un geste de conciliation. É. Zola, Germinal, t. II, p. 192. Chien de quartier « adjudant », chien de bord « commandant en second d'un navire », chien de régiment (vx) « caporal », utilisent le sens de chien de garde. Chien du Commissaire (vieilli) « secrétaire du Commissaire de Police » est plus péjoratif; le complément étant un nom

En 2000, la commission accepte de commencer le processus de révision du procès car cette fois un nouvel élément existe : la présence de Francis Heaulme sur les lieux du crime. Cette présence à était découverte par hasard en janvier 1992 par un adjudant de gendarmerie Jean-François Abgral. Le gendarme interrogeait Heaulme à la maison d’arrêt de Brest pour un autre dossier criminel et c’est à ce moment là, que spontanément sans être sollicité que Heaulme confirme sa présence à Montigny-Lès-Metz.

appelle une ambulance, il y a donc une enquête et le lendemain il reçoit un blâme... et s’embarque tout guilleret pour l’Afrique. Chapitre 37 Sur le bateau. 15 jours de traversée. Il y a de jolies anglaises. Anecdote amusante : méprise d’un adjudant chef qui dans l’obscurité lui baise les mains en le prenant pour une fille ! « Conversations » avec sa mère le soir sur le pont du bateau. Il se remet à écrire des nouvelles. Il a un pressentiment (mort de sa mère) : sa mère lui dit de se dépêcher

3 Le Monde, Les officiers du 1er R.E.P. et l'adjudant poursuivi pour le meurtre du maréchal des lo gis chef Brillant bénéficient tous du sursis, 11 juillet 1961, https://www.lemonde.fr/archives/article /1961/07/11/les-officiers-du-1er-r-e-p-et-l-adjudant-poursuivi-pour-le-meurtre-du-marechal-des-lo gis-chef-brillant-beneficient-tous-du-sursis_2266676_1819218.html 5 En un mot, la décision de recourir à l’article 16 et les actes législatifs du Président pendant sa mise en œuvre ne font l’objet d’aucun

plusieurs centaines de ses dessins de guerre sont exposés à Dresde. Ils constituent aujourd’hui une importante source de documentation sur la Grande Guerre. Son courage lui vaut d’être décoré de la Croix de Fer (deuxième classe) et promu au rang de vice‐adjudant. À la fin de l’été 1918, il s’inscrit à une formation de pilote et passe les dernières semaines de la guerre en Silésie En 1920 Dix participe à la Première Foire Internationale Dada à Berlin, avec notamment George Grosz, Rudolf Schlichter et John

de l'esprit, le miroir de l'âme (les yeux), etc. Il y a toujours des emprunts, surtout dus aux guerres ; de l'allemand (bivouac [Biwacht = patrouille supplémentaire de nuit]) ou de l'espagnol, par l'intermédiaire des mercenaires en particulier : adjudant [cf aider], mirador [cf regarder]... Quelques nuances concernant la période classique : la langue populaire est mal connue, et la langue parlée cultivée se corrompt dès le début du XVIIIème siècle. 2.4. Le français moderne (XVIIIème - XIXème) Le

règlement au niveau de la chevelure que l’on impose, etc., bon ben elles peuvent pas ressembler à une fille vraiment quoi, je parle, elles peuvent pas s’imposer au niveau… la féminité s’impose pas quoi. Elles doivent rentrer dans un certain nid » (un adjudant, 30 ans moniteur terrain EPMS). Ainsi s’affirme la nécessité d’une homogénéité des personnels de l’armée de terre : c’est au cours de cette période de socialisation secondaire (formation initiale) que les modes de comportement et les valeurs sont

forts du texte correspondent les temps forts de la musique et les images fortes du texte sont atténuées par la voix de baryton puissante et chaleureuse de Yves Montand. Analyse plus détaillée : - introduction : chant SS avec ordres criés (d'un adjudant ou caporal) et bruit de bottes - Bruit de bottes seul et son aigu tenu en guise de pont  - Couplet 1 : arrêt des bruits de bottes, persistance du son tenu (qui provoque inquiétude et tension) voix a capella (contraste fort avec l'introduction)

prochain et le plaindre, nous soumettre à lui et ne pas prendre cette soumission au sérieux, ou encore parler d'un meurtre avec effroi, et de mille avec sérénité. » (L'étonnement du voyageur, 1987-1989, p.80, Gallimard/nrf, 1990) Les adjudants, les dirigeants, les philosophes, les idéologues, les penseurs m'ont tous dit qu'ils allaient m'apprendre à vivre. Mais après les avoir écoutés cinq minutes, j'ai préféré rester autodidacte. (L'étonnement du voyageur, 1987-1989, p.83, Gallimard/nrf

blessés. On nous a dit que c'était somme toute assez peu pour une compagnie. Tout le monde était pâle et avait le visage défait. Je ne vais pas vous en raconter davantage sur notre misère, je pense que ça suffit. Nous étions commandés par un certain adjudant Uffe. On ne l'a pas vu. Mais le Seigneur m'est venu en aide. Là-dessus, nous sommes repartis pour Spincourt où on nous a chargés sur des véhicules à destination de Grandpont, puis nous sommes revenus en deux jours à nos positions devant Chapelle