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d’empêcher la mainmise des Zengides sur l’Egypte. Ces derniers avaient cependant échoué, car Shirkuh le général turc chargé de la conquête de la vallée du Nil est mort en 1171, laissant le pouvoir à son neveu Saladin, qui refuse de se soumettre à Nur ad-Din. La situation est tout aussi catastrophique pour les Francs, car la mollesse des derniers Fatimides est remplacée par la fermeté des Ayyoubides. Baudouin IV est immédiatement couronné, le 15 juillet. Il n’a que treize ans, et le sénéchal Miles

revient au Pape. Le pape choisit les membres de son entourage propre. Accusation de corruption et de simonie. Les évêques et les abbés doivent 1/3 du revenus annuel au Pape, à cela s’ajoute les cadeaux fait au pape et à son entourage. La visite ad limina : la taxe versé au Pape sous forme de cadeaux. Les bénéficies mineures = annates : revenu perçu par l’évêque lors son entrée est revenu au Pape. Le Pape intervient dans les affaires des fidèles -> demande des divorces. Chaque jour le Pape

vis-à-vis de l’Égypte et le royaume se place dans une position défensive. À Alep, Nur ad-Din laisse également un enfant, As-Salih Ismail al-Malik, mais les lieutenants de Nur ad-Din luttent pour la régence, et un neveu écarté du pouvoir se révolte. Durant les vingt années qui lui restent à vivre, Saladin se consacre à deux tâches : d’abord, reprendre à son compte le programme de Zengi puis de son fils Nur ad-Din et unifier les musulmans de Syrie et d’Égypte sous une seule autorité pour faire

comparaison qui a une force de conviction l'absurde : une situation peu réalisable est envisagée pour faire réfléchir. Les types d'arguments les arguments d'autorité : références majeures empruntées à la culture ou à la science indiscutables arguments ad hominem : visent un individu particulier dans le but de discréditer ses arguments arguments de valeur : se réfèrent à la morale ou la religion, s'appuyant sur des lois et des principes couramment admis. arguments par la cause ou la conséquence :

d'hyperboles et d'un langage mettant en valeur les qualités des Indiens. A partir de la ligne 9 jusqu'à la ligne 11, Las Casas utilise de nouveaux des phrases exclamatives afin de montrer leur capacités. De la ligne 15 à 19, il utilise un argument ad hominem afin de contredire l'argument de Sépulvéda et le compare aux renards. Puis il s'énerve en se servant d'une question oratoire pour rabaisser le philosophe, et donc d'attaquer Sépulvéda. De la ligne 24 à 28 nous voyons de nouveau des questions

qui parle plutôt que de discuter de| |ad hominem |ses idées.  Si un politicien suggère de baisser les impôts pour relancer l'économie, certains diront| |et |alors qu'il ne connaît rien à l'économie, qu'il n'est pas économiste etc.  C'est peut-être vrai | |Le procès d'intention |qu'il n'est pas économiste, mais il peut quand même avoir raison.  Lorsqu'on procède par l'argument | | |ad hominem, on s'évite de discuter sérieusement

progressivement.Elle doit être illustrée par des arguments, s'accompagnant si possible d'exemple.La thèse tient compte des objections. -Utiliser témoignages, argument d'autorité (exemple : Aristote à dit, tout le monde sait bien que...), argument ad hominem (montrer qu'un argument est faux var il est contradictoire avec l'attitude de son auteur : ex. : « Ce n'est pas à vous de donner des leçons pour baisser les impôts, car vous les avez augmentés ! ») argumenta fortiori (rapprocher deux choses

moralisatrice (vocab. moraliste + modalisateurs) ce qui est paradoxal fermée, hermétique -catégorique, bornée pitoresque = sotte agitée («on a peine à vous suivre») Argumentation ridicule (basée sur des arguments ad hominem) ★ Comique de mots: ironie avec une antiphrase désignant Tartuffe : " ce beau monsieur là" v48; antiphrase de Dorine: "l'exemple est bon" (exemple qu'elle critique ensuite) Comique de situation: - Paradoxe inatendu et surpenant, Dorine

Saladin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir Saladin (homonymie) et An-Nasir. SaladinAl-Malik an-Nâsir Salâh ad-Dîn Yûsuf[1], ou Saladin (Tikrit, 1138 ; Damas, 4 mars 1193)[2] est le premier dirigeant de la dynastie ayyoubide, qui a régné en Égypte de 1169 à 1250 et en Syrie de 1174 à 1260. Lui-même dirige l’Égypte de 1169 à 1193, Damas de 1174 à 1193 et Alep de 1183 à 1193. Son nom, an-Nâsir, signifie « celui qui

appel à la raison de l'interlocuteur) l'argument d'expérience (« l'expérience montre que...») l'argument d'autorité qui s'appuie sur une personne célèbre ou reconnue (ex. : « Aristote dit que... », « le journal Le Monde écrit que... », etc.) l'argument ad hominem qui met en cause la vie privée de l'interlocuteur. Argument par la cause Il s'appuie sur la ou les causes d'un phénomène. Parmi les causes possibles, l'argumentateur sélectionne celles qui s'accordent avec sa thèse. Thèse défendue : TOINETTE