Acte de Médiation

Attention, médiation, réflexion = force de l’esprit qui rapproche et compare les sensations. Etre sensitif et passif + actif et intelligent. Vérité dans les choses, non dans mon esprit qui juge. p-60 : Dans le corps, 2 sortes de mouvements : * Mvt communiqué > cause motrice étrangère au corps * Mvt spontané > cause motrice en lui-même p-62 : Evocation Descartes-Newton Cause mouvement ne sont pas dans la matière p-63 : 1 volonté meut l’univers et anime la nature Notion de Volonté = Acte diffère

poeisis (François Imbert) Poiesis : c’est une fabrication qui cesse dès que le but est atteint (il y a un objet à fabriquer). C’est une activité. Praxis : c’est une action qui n’a d’autre fin qu’elle-même. Il n’y a pas d’objet à fabriquer mais un acte à accomplir sans fin extérieure Peut-on faire de l’enfant un homme libre ? La situation est un face à face de l’éducateur avec quelqu’un dont il veut faire quelque chose. Meirieu avance la notion d’éducabilité. L’éducateur veut bien faire l’autre

c’est-à-dire une interrelation basée sur le sens, par les émotions, les sensations et les significations que l’espace perçu évoque chez l’usager. Cette communication urbaine traduit alors la façon dont les espaces urbain deviennent un terrain de médiation. La communication de la ville, à travers ses propres signes, peut alors contribuer à construire ou reconstruire l’identité de la ville-même et la qualité de son image, par la recomposition d’un tissu urbain désormais très fragmenté à la fois morphologiquement

droit suppose la représentation d’une limite conceptuelle du possible ou d’une norme de ce qui doit être. Il garantit la coexistence pacifique en imposant des normes à tous au nom de la représentation de l’accord des volontés. Le droit régule par la médiation d’une représentation et d’une force elle-même médiatisée par la puissance publique. Il favorise ce qui peut ne pas être, il limite ou écarte ce qui ne doit pas être. Or la vie est de fait ; elle ne peut pas ne pas être. Comme telle, elle échappe

motivation intérieure. Pour être généreux il ne suffit pas de faire des actes de générosité. Il faut avoir la motivation de donner sans rien demander en retour. Ce qui compte dans une obéissance véritable morale, c’est la résolution intérieure de mon acte. Le sujet moral véritable puise en lui-même la source du devoir. Il ne l’a cherche par ailleurs, c’est dans sa vertu moral, force de sa volonté que réside cette source. Un devoir devient un devoir véritable lorsqu’un sujet se l’impose lui-même. Socrate

III - La sincérité de la politesse - La politesse n'est pas seulement coercitive, elle n'est pas qu'une norme, une règle imposée de l'extérieur par la société ou l'éducation. En effet la politesse peut partir du sujet : elle est alors un choix, un acte de liberté, et non plus seulement une norme subie. Elle reste contraignante, puisqu'elle est toujours une règle, mais une règle à laquelle je choisis d'adhérer et qui, par conséquent, ne m'ampute pas de ma liberté. Ce choix se fait sur la base d'une

bel et bien en déduire que la discrimination est une incivilité Diapo 4 Toute infraction à l'article 261bis qu'on va vous lire est poursuivie d'office. Cela signifie qu'il suffit de signaler, par exemple au poste de police le plus proche, un acte jugé contraire à cet article. Les autorités sont tenues de vérifier les faits et, en cas de violation effective de l'article, d'entamer des poursuites judiciaires. Malgré un arsenal juridique important pour lutter contre les discriminations raciales

rapports avec autrui - qui, comme sa pièce de théâtre « Huis clos » tend à montrer, sont souvent « tordus » - notons cependant que la vision sartrienne n'est pas entièrement négative. Sartre, à la suite de Hegel, reconnaît que j'ai besoin de la médiation d'autrui pour obtenir quelque vérité sur moi. Des sentiments comme la honte ou la pudeur ne me découvrent-ils pas des aspects essentiels de mon être que j'ignorais sans autrui ? Avoir honte, n'est-ce pas reconnaître que je suis tel qu'autrui me voit

dommage que l’on voudrait faire réparer par le responsable, tout le problème consiste à établir les responsabilités. Il est nécessaire que le dommage soit le résultat d’une faute ou qu’il s’explique par une omission. La faute peut se manifester dans un acte ou dans une omission contraire aux règles de la prudence. Pour qu’il y ait responsabilité, il faut prouver un lien causal entre la faute et le dommage : Exemple : laisser en pédiatrie, à proximité des enfants, des produits ou des matériaux dangereux

Hegel : 3e moment de la dialectique, qui unit en les dépassant et en les conservant tout à la fois, la thèse et sa négation, l’antithèse. 3. Science (chimie) : reconstitution d’un tout à partir de ses éléments. 4. Philosophie de la connaissance : acte intellectuel qui – au contraire de l’analyse – procède du simple au complexe, la synthèse correspond au 3e précepte de la méthode cartésienne. Nécessaire 1. Logique : ce qui est universellement vrai, ce dont la vérité ne peut être niée 2. Sens ordinaire :