Accords de Matignon

élections législatives de mai 1936, le Front Populaire (alliance des socialistes, des radicaux et des communistes) est voté à la majorité. Léon Blum devient le président du conseil jusqu’en 1938. Le 7 juin 1936, il signe les accords de Matignon avec le patronat et la CGT. Ces accords désignent : hausse des salaires des ouvriers ;élections de délégués du personnel ;des congés payés ;des semaines de 40 heures ... Mais le Front Populaire ne dura que deux ans jusqu’en 1938. En 1940, Blum est arrêté par

Confédération générale de la production française (syndical patronal) et de la CGT, ainsi que le président du Conseil, signent les accords de Matignon. Ils garantissent une hausse des salaires de 7 à 15%, mettent en place des conventions collectives. Le droit syndical est également reconnu dans les entreprises en prévoyant l'élection de délégués syndicaux. A ces accords de Matignon, s'ajoutent le 10 et 11 juin 1936, une série de lois qui ont pour but d'améliorer les conditions de vie des Français. Ces lois

politique du front populaire et revient à une politique de rigueur. Malgré une baisse du taux du chômage et des productions augmentant, l’activité économique reste inférieure à celle de 1929. La crise économique n’est pas résolue même après l’accord Matignon (7 Juin 1936) et les congés payés, les divisions politiques au sein du FP emportent le gouvernement de Léon Blum en Juin 1937 à cause des sénateurs radicaux. Léon Blum démissionne alors le 21 Juin 1937. Le FP est donc dans une très mauvaise phase

français Logo du Gouvernement français. Titulaire actuel Jean-Marc Ayrault depuis le 15 mai 2012 1 an, 6 mois et 17 jours Création 4 octobre 1958 Mandant Président de la République Premier titulaire Michel Debré Résidence officielle Hôtel Matignon, Paris Rémunération 14 910 € bruts par mois1 Site internet www.gouvernement.fr/premier-ministre modifier En France, le Premier ministre est le chef du gouvernement sous la Ve République française. La France est une république constitutionnelle

principalement ( confederation generale du travail: l'un des prncipaux syndicats ouvriers) se mirent d'accord sur les accords Matignon. Substantielles augmentations de salaires, conventions collectives garantissant des conditions minimum d'embauche et de travail par profession, droit syndical reconnu dans les entreprises, élection de délégués ouvriers furent les principales mesures de ces accords. La loi sur la semaine de 40 heures et celle instituant les congés payés complétèrent ces réformes.Ainsi la vie

1919 : les conventions collective -> négociation des accords entre représentant des salariés et représentant des entreprises. 1936: accords Matignon : congé payé, délégués du personnels, semaine de 40h 1946 : création de la

grève générale de mai-juin 1936 déclenché par les travailleurs. Deux millions de salariés occupent leurs entreprises "sur le tas" souvent dans une ambiance festive. Léon Blum met fin à la grève grâce aux « accords de Matignon », signés le 8 juin 1936 par les syndicats et les patrons. Ces accords établissent la reconnaissance des syndicats par les patrons, la création de délégués du personnel, l’établissement des premières conventions collectives et des augmentations de salaire. Blum prend d’autres

participation ». Pour la première fois il y a trois femmes ministre. On a un ministre des loisirs, Léo Lagrange. Les grèves paralyse la France Léon Bloum décide de convoqué les syndicats et les patronats a Matignon, et le 7 juin 1936 les syndicats signent les Accords Matignon (page 251). Ces accords permettent aux ouvriers d’obtenir de forte augmentation de salaire de 7 à 15%. La semaine sera de 40 heures. Il y aura 15 jours de congés payés. C’est une victoire pour la classe ouvrière qui obtient assez

éclatent immédiatement, auxquelles près de 2 millions de salariés prennent part. Il s’agit pour eux de faire pression sur le nouveau gouvernement pour que les revendications – notamment dans le domaine social – aboutissent. Le 7 juin 1936, les accords Matignon sont signés entre l’Etat, les organisations syndicales et patronales : ils donnent deux semaines de congés payés aux salariés, augmentent les salaires de 7 à 15% selon les branches et limitent la durée hebdomadaire de travail à 40 heures.

la reprise du travail, Léon Blum organise alors des négociations entre les représentants du patronat et la CGT, à Matignon, sous l’arbitrage de l’État. Le 7 juin, les accords Matignon sont signés, ils prévoient une hausse des salaires, l’établissement de conventions collectives et un renforcement du droit syndical (droit pour les salariés d'avoir des délégués du personnel). Ces accords sont complétés quelques jours plus tard par une législation qui réduit le temps de travail : la loi des 40 heures