Accords de Matignon

gouvernement (non participation au gouvernement des communistes). Une réponse aux crises : le Front populaire en 1936 Léon Blum - Les accords de Matignon en juin 1936 : Après la victoire du Front populaire en mai 1936, des grèves « joyeuses » avec occupation d’usine vont pousser le patronat à négocier avec les syndicats les accords de Matignon qui prévoient : - une augmentation des salaires, - la mise en place de conventions collectives - la création des délégués du personnel - la

approuver par les Français les accords d’Evian. Dans un climat de soulagement créé par la perspective de la fin de la guerre d’Algérie, les « oui » l’emportent avec 90,81% des suffrages exprimés, alors même que le taux d’abstention n’est que de 24,66%. Le référendum du 28 octobre 1962 Ce référendum porte sur une révision constitutionnelle de très grande ampleur : l’élection du Président de la République au suffrage universel Suffrage et le droit de vote accordé à tous les citoyens majeurs. direct

défense de la République et de la démocratie française. - « le pain » : politique de redressement économique (accords Matignon) - « la paix » : défend la paix humaine alors que les pays voisins s’orientent vers la guerre. -« la liberté » : tolérant, il est contre l’antisémitisme, la xénophobie. Il est opposé à la montée des ligues en France. 4. Ce programme politique est-il en accord ou en opposition avec le choix de l’Allemagne à la même époque ? Justifiez votre réponse. (0.25 pt + 0.75 pt)

et permettre la reprise du travail, Léon BLUM organise alors des négociations entre les représentants du patronat et la CGT, à Matignon. Le 7 juin, les accords de Matignon sont signés : ils prévoient une hausse des salaires, l’établissement de conventions collectives et un renforcement du droit syndical (droit pour les salariés d'avoir des délégués du personnel). Ces accords sont complétés quelques jours plus tard par une législation qui réduit le temps de travail : la loi des 40 heures hebdomadaires

la semaine de 40 heures, les conventions collectives qui protègent les ouvriers contre les patrons et l'augmentation des salaires. - Le FP apporte des améliorations dans les conditions de vie des ouvriers (voir le texte). | - Signature des accords Matignon début juin 36. - les Français partent en vacances et découvrent le sport et les loisirs - création de la SNCF (nationalisation) | Barème : /1 pt : respect du sujet ; / 1 pt : organisation des idées, plan ; / 1 pt :le paragraphe s'appuie

Nous voici donc au cnur de ce qu'on appelle le partage du pouvoir exécutif, car il s'agit plus de l'esprit des Institutions que de la lettre des textes. Quand j'étais, dans les années 1967 et 1968, directeur du cabinet de Georges Pompidou, à Matignon, Etienne Burin des Roziers, le secrétaire général de l'Elysée, m'appelait souvent pour me faire remarquer que le général de Gaulle, dans une appréciation extensive des dispositions constitutionnelles, considérait que « le Gouvernement », c'était

(protectionnisme très marqué), chute de la production, chômage… le succès des nazis aux élections de 29 renforce les inquiétudes et accélère le retrait des capitaux étrangers, qui accentue la dépression et renforce Hitler - l’Allemagne nazie : politique qui accorde une place démesurée à la production de biens non consommables (armes, infrastructures) et qui se traduit donc nécessairement par un recul de la consommation (baisse des salaires réels et baisse en part du revenu national) ; si l’on veut finir par

devient président du conseil. On verra plus tard ses motivations, les mesures qu’il a prit et les conséquences qu’elles eurent sur le pays. Cependant, il démissionna le 21 juin 1937 devant une crise économique et politique. Mais il revient à l’Hôtel Matignon, pour une présidence éphémère en mars 1938. Durant la Seconde Guerre Mondiale, il fut emprisonné et déporté au camp de concentration de Buchenwald en mai 43 mais s’en sortit par miracle. Il revient ensuite au pouvoir en 1946 où il dirigea le dernier

gouvernement débouchèrent sur les accords de Matignon le 7 juin 1936. Ceux-ci prévoyaient une augmentation des salaires de l’ordre de 7 à 15%, instauraient le respect du droit syndical, créaient des délégués du personnel dans les entreprises et posaient le principe de la généralisation des conventions collectives, instituées par la loi du 25 mars 1919. Devant la poursuite du mouvement de grève, malgré les appels de Léon Jouhaux à la reprise du travail, ces accords furent bientôt complétés les jours

remportent les élections législatives, le 3 mai 1936, ce qui suscite un espoir sans précédents chez les ouvriers : cette espérance, cette dignité retrouvée s’exprime dans un vaste mouvement de grèves spontanées et se traduisent par la signature des accords Matignon (7 juin 1936) et le vote de grandes réformes telles que les congés payés et la semaine des « 40 heures ». C’est de juin 1936 à mars 1938, que Léon BLUM incarne le Front Populaire, suite au succès électoral. Cependant, Léon BLUM annonce la « pause »