Abric Jean Claude

pratique et concourent à la construction d’une réalité commune à un ensemble sociale. Egalement désignée comme savoir de sens commun ou savoir naïf, nature. Cette forme de connaissance se distingue de la connaissance scientifique. ABRIC (2002), quant à lui parle de d’ensemble structuré et organisé, d’organisation, de croyances, d’opinions et d’attitudes qui constituent un système sociocognitif. C’est le produit de ce processus d’une activité mentale par laquelle, un groupe reconstitué

des infirmiers. Afin de répondre à notre question de recherche, notre technique de recueil des données est tirée des travaux de Jean-Claude ABRIC (2003), permettant de mettre en évidence les quatre zones des représentations sociales, notamment à travers l’utilisation de questionnaires. Puis nous utiliserons une méthode d’analyse prototypique, également inspirée de ABRIC (2003), qui consiste à un croisement de données par leurs fréquences d’apparition et leurs rangs d’apparition, afin d’analyser les

Psychologie de la Communication Jean-Claude Abric Armand Colin (Cursus) Communication interpersonnelle et de groupes 7 Le communicator M. H. Westphalen Dunod Communication des entreprises 8 Gestion des conflits Pierre Pastor, Gérard Bréard Editions Liaisons Dépassement des conflits et négociation 9 L’argumentation dans la communication Philippe Breton La Découverte (repères) Argumentation et manipulation 10 La gestion des ressources humaines Jean-Pierre Citeau Armand Colin GRH

infectieuses, intoxications, traumatismes crâniens,…). Il y a actuellement en France 3,5 millions de personnes handicapées dont 2 millions sévèrement touchées. 0,2 % d'entre elles sont handicapées intellectuelles, soit 700 000 personnes.[?] [1] Jean-Claude Abric : « Exclusion sociale, insertion et prévention », Editions Erès, Saint-Agne, 1996 [i] L’encyclopédie hachette multimédia [ii] L’encyclopédie hachette multimédia [iii] www.frbeiger.com/html/le-handicap-mental [iv] Handicap et maladie

(5/5). L’infirmière D dit : « quand vous avez eu des patients atteints d’un même cancer, vous savez dans quelle proportion il va falloir agir » L’infirmière E dit : « Si l’on connaît la maladie, on applique les protocoles du service » A ce sujet Jean Claude Abric4 précise : «L’existence d’une représentation de la situation préalable à l’interaction elle même fait que dans la plupart des cas les jeux sont faits d’avance,les conclusions sont posées avant même que l’action ne débute » On déduit par rapport

involontaire, consciente ou inconsciente • “Si l’on admet que dans une interaction, tout comportement a la valeur d’un message, c’est-à-dire qu’il est une communication, il suit qu’on ne peut pas ne pas communiquer, qu’on le veuille ou non” (Abric, 2003) Les facteurs de la communication Les facteurs de la communication 1. Les acteurs • Selon Lewin, l’individu est un organisme soumis à un ensemble de forces (positives ou négatives), issues de l’environnement et de l’individu lui-même

les autres : l’écoute active Pour améliorer l’efficacité relationnelle il est nécessaire d’écouter l’autre, de pratiquer l’écoute active. « L’écoute est la caractéristique fondamentale de la communication visant l’expression d’autrui » (Jean-Claude Abric). Il faut donc renoncer « au plaisir de dire ». L’écoute active est donc une attitude compréhensive qui traduit un désir authentique de faciliter la parole de l’interlocuteur. L’écoute active est avant tout une attitude qui se manifeste par

l'analyse de contenu qui vise l’examen à l'aide d'indicateurs des conditions de production du discours et de leur signification réelle pour la communication, les connaissances sur les dynamiques des représentations sociales sont très utiles. Pour Claude Flament, les représentations sociales sont « un ensemble organisé de cognitions relatives à un objet, partagées par les membres d’une population homogène par rapport à cet objet » (Flament, 1994, p. 37-58). Selon cette définition, il existe trois

l'analyse de contenu qui vise l’examen à l'aide d'indicateurs des conditions de production du discours et de leur signification réelle pour la communication, les connaissances sur les dynamiques des représentations sociales sont très utiles. 6Pour Claude Flament, les représentations sociales sont « un ensemble organisé de cognitions relatives à un objet, partagées par les membres d’une population homogène par rapport à cet objet » (Flament, 1994, p. 37-58). Selon cette définition, il existe trois

représentatifs de notre être autant que de notre paraître ; il renseigne le récepteur sur l’état émotionnel de l’émetteur; il favorise « l’expression silencieuse » et peut de cette façon renforcer l’impact d’un message. ------------------ *Jean-Claude ABRIC (2012) : Psychologie de la communication, Ed. Armand Colin.